Blasphème

respirait Laure et chantait son amant. Vous dont chaque pas touche à la grâce suprême, Cest vous, la tête en fleurs, qu'on croirait sans souci, C'est vous qui me disiez qu'il faut aimer ainsi. Et c'est moi, vieil enfant du doute et du blasphème, Qui vous écoute, et pense, et vous réponds ceci : Oui, l'on vit autrement, mais c'est ainsi qu'on aime Le tendre et dangereux visage de l'amour m'est apparu un soir après un trop long jour C'était peut-être un archer avec son arc

ressentir de façon exacerbée tous les sentiments humains : l’amour, l’amitié, la haine, la solitude, la tristesse, la difficulté de vivre.. C’est aussi ne pas avoir peur de briser tous les tabous : de regarder la mort en face, de flirter avec le blasphème, d’agir avec pour seules limites les limites de son propre cœur.

L’allitération est présente dans la première strophe(quatrième vers) avec la répétition des consonnes « l » et « m ». Finalement on peut constater l’usage de l’énumération dans la neuvième strophe (premier et deuxième vers) : « Ces malédictions, ces blasphèmes, ces plaintes, / Ces extases, ces cris, ces pleurs, ces Te Deum » Pour conclure, on peut constater l’appréciation de Baudelaire pour l’art. Il expose l’art comme le meilleur témoignage que nous puissions donner de notre dignité et de nos limites

sang-froid cruel, sachant qu’en promettant le mariage à l’ingénue jeune fille et en l’abandonnant, il l’expose au déshonneur public et au ressentiment de Pierrot. Le raffinement dans l’érotisme de la séduction est porté à son comble avec l’usage du blasphème. Charlotte accuse Don Juan de la railler. Celui-ci, alors qu’il ment effrontément, se défend en invoquant Dieu : « Moi, me railler de vous ? Dieu m’en garde ! » Il pousse l’insolence jusqu’à se faire allégrement passer pour un envoyé divin : « le

la société et la condition humaine → critique de l’importance de l’apparence : le rire déclenche le rire → critique de l’être humain et de son orgueil: « l’autre coin du côté des dieux, par le blasphème » : l’homme veut égaler les dieux en transformant certains êtres, or il n’est qu’un homme, d’où le blasphème. → G représente finalement tt être humain : un mélange de plusieurs sentiments « la somme de soucis, des désillusions, des dégoûts et des chagrins » mais dont l’apparence est trompeuse : « front

communistes. Dans les années 20, George Grosz sera l’un des principaux représentants du mouvement de la Nouvelle Objectivité, période où il peint des portraits réalistes. L’artiste sera plusieurs fois condamné pour publication d’images indécentes et pour blasphème. Invité pour enseigner à l’Art Students League de New York, George Grosz émigre aux Etats-Unis en 1933 (quelques jours avant l'arrivée d'Hitler au pouvoir) et acquiert la nationalité américaine en 1938. Il dessine essentiellement des paysages qui

ami » doit aussi être considéré comme une forme de familiarité. B-Un grand seigneur méchant homme Le libertin est particulièrement cruel avec le pauvre dans cette scène.Il entreprent de jouer avec lui en lui proposant un loins d’or contre un blasphème. Dj semble beaucoup s’amuser commele montre l’interjection « ah ! » ligne 133.153. Le pauvre semble mis à la torture par le jeu de DJ. On remarque que c’est le jeu de Dj qui choque le pauvre, plus que la persective de jurer. Dj apparaît comme une

respirait Laure et chantait son amant. Vous dont chaque pas touche à la grâce suprême, 
C’est vous, la tête en fleurs, qu’on croirait sans souci, 
 C’est vous qui me disiez qu’il faut aimer ainsi. Et c’est moi, vieil enfant du doute et du blasphème, 
Qui vous écoute, et pense, et vous réponds ceci : 
 Oui, l’on vit autrement, mais c’est ainsi qu’on aime. Othon de Grandson « S’il ne vous plaît que j’aille mieux... » Othon de Grandson 
 S’il ne vous plaît que j’aille mieux, 
 Je prendrai

cause de l’aumône C) LE MELANGE DE CES REGISTRES Révélateur des classes sociales, Don Juan les défie toutes  Pièce originale, baroque CONCLUSION Dans les deux cas, le libertin s’enferre, s’enlise dans sa provocation, dans un cas il y a blasphème, dans l’autre transgression des valeurs dictées par la société  Don Juan est en marche vers son châtiment final Sganarelle est à la fois fasciné et troublé par cette audace. Molière n’a pas hésité à mêler les registres, et insérer dans la comédie

se lance sur la piste d’une nouvelle proie. C’est ainsi qu’il ravit à son couvent Elvire, et provoque sa malédiction lorsqu’elle se sait bernée. Irrespectueux envers son père, impie et fier de l’être, Don Juan sera finalement châtié pour tous ses blasphèmes par la statue du Commandeur qu’il tua jadis en duel. L'erreur à éviter quand on parle de Don Juan: « Molière fait l'apologie du libertinage » «Libertin», à l'époque, qualifie les athées, les matérialistes et les esprits irréligieux, adeptes