Bleu ciel

empira et qu’il lui fallut porter un corset de métal. ETAPE 2 DECRIRE ET EXPLIQUER L’ŒUVRE Le tableau est composé de deux plans : au premier plan, Frida, et au second le champ et le ciel. Le personnage est au centre, il prend presque toute la place. Le Bleu du ciel, en arrière- plan, contraste fortement avec la couleur chair, chaude et lumineuse du corps de la femme. D’ailleurs, il semblerait que la lumière émane du corps de manière autonome. Elle est indépendante du

hétéroclite même si cet ensemble est réparti selon un ordre bien précis : les couches se succèdent de bas en haut en partant du plus foncé (quasi noir), en traversant de nombreuses déclinaisons d'ocre, de jaune, de vert et de blanc pour arriver au bleu du ciel. Cet étalement en couches de couleurs différentes s'explique facilement par le fait que cette œuvre représente les mouvement de la terre, évolution exprimée par ces couleurs mais aussi par de nombreuses lignes de force délimitant ces espaces colorés

lié à l’intérieur de la cellule et au poète lui-même. Puis, peu à peu, il se tourne vers l’extérieur de la cellule, au-delà des murs : « tous ces pauvres cœurs battants dans la prison » (4) »j’écoute les bruits de la ville », «  je ne vois rien qu’un ciel hostile »(6)… Les derniers vers du poème mettent un terme à cette quête du monde extérieur. L’espoir est presque éteint, sauf une petite lueur… Enfin ce qui est remarquable dans ce poème est la création d’un univers sonore dont la base est paradoxalement

qui illumine mes jours. 5 2. Je t’aime parce qu’il fait toujours beau au Paradis de ton cœur. 6 3. Je t’aime parce qu’il y a dans tes yeux tout le velours des émeraudes. 4. Je t’aime parce que tes baisers sont un coin de ciel bleu dans le bonheur. 7 5. Je t’aime parce que chaque pensée de toi est un souffle d’air pur qui allège mes journées. 6. Je t’aime parce que tu es l’arrivée attendue de la belle saison. 8 7. Je t’aime parce que tu es le beau temps

pseudonyme de Lord Auch en 1929 : L’histoire de l’œil évoque des souvenirs d’enfance et d’Espagne. Il est largement influencé par les lectures de Sade, hantise d’une généalogie décalée dans le désordre d’une existence dissolue. En 1936 il écrit le Bleu du ciel, récit qui ne sera publié qu’une vingtaine d’années plus tard. Inscrit dans l’Europe des années trente, Troppmann voit se dérouler les événements politiques devant ses yeux avec une indifférence maladive, regarde sans optimisme les mauvais présages

toi l'horloge, dépêches toi! ____14h. Enfin! On sonne a la porte, Sophie et Laura vont ouvrir, c'est Cyril. Après avoir discuter quelques minutes, l'impatience se fait sentir, les amis sortent voir dehors, un grand soleil rayonne au milieu d'un ciel bleu clair, sans nuages. Soudain, ils aperçoivent Baptiste au loin craignant de ne pas trouver la maison, Laura est soulagée. Il arrive lentement vers eux, ne l'ayant vu qu'une fois en Août, Laura a du mal a se remémorer son visage. Il arrive enfin à

incorruptible, indivisible, impérissable. C'est un point de feu qui est en nous, qui est immortel et infini, que rien ne peut borner et que rien ne peut éteindre. On le sent brûler jusque dans la moelle des os et on le voit rayonner jusqu'au fond du ciel. Ô amour! adorations! volupté de deux esprits qui se comprennent, de deux cœurs qui s'échangent, de deux regards qui se pénètrent? Vous me viendrez, n'est-ce pas, bonheurs! Promenades à deux dans les solitudes! journées bénies et rayonnantes! J'ai

LA VUE Les couleurs : Omniprésence du rouge qui suggère la violence et est associé au feu qui l’accentue. Seules autres couleurs : l’or qui dénonce le luxe du clergé (+ champ lexical) et le noir qui exprime le deuil des mères Le bleu du ciel, seule note positive renvoie à la nature et est annihilé par la rime en « feu » du vers 4. Les couleurs : Omniprésence du vert qui souligne l’importance de la nature et suggère l’éclat de la vie, d’autant plus qu’est associée l’image de la

corps. Il lui semblait que le sol de la place oscillant s'élevait le long des murs, et que le plancher s'inclinait par le bout, à la manière d'un vaisseau qui tangue. Elle se tenait tout au bord, presque suspendue, entourée d'un grand espace. Le bleu du ciel l'envahissait, l'air circulait dans sa tête creuse, elle n'avait qu'à céder, qu'à se laisser prendre ; et le ronflement du tour ne discontinuait pas, comme une voix furieuse qui l'appelait. Ma femme ! ma femme ! cria Charles. Elle s'arrêta

qu'aucune parole humaine ne pourrait exprimer. Mais un observateur, et surtout un avoué, aurait trouvé de plus en cet homme foudroyé les signes d'une douleur profonde, les indices d'une misère qui avait dégradé ce visage, comme les gouttes d'eau tombées du ciel sur un beau marbre l'ont à la longue défiguré. Un médecin, un auteur, un magistrat eussent pressenti tout un drame à l'aspect de cette sublime horreur dont le moindre mérite était de ressembler à ces fantaisies que les peintres s'amusent à dessiner