Blondeur

Quand ils retrouvent les « revenants » qui avaient été oubliés dans un trou d'obus, Volpatte est blessé et est heureux car il va être évacué. Alors qu'ils longent un village, apparaît pour la première fois Eudoxie, « Svelte, la tête tout allumée de blondeur », une jeune réfugié à la beauté enchanteresse et presque irréelle dont Lamuse et tombé amoureux d'elle mais malheureusement celle-ci préfère Farfadet. Chapitre 5 : « L'asile » Après une nuit de marche, l'escouade gagne un village dans le Pas-de-Calais

tête légèrement allongée, un petit nez bien droit, des joues roses un petit peu creusées et des lèvres rouges pulpeuses. Ses yeux étaient d’un bleu en qui n’avait rien à envier à la couleur de la mer Méditerranée. Ses cheveux longs étaient d’une blondeur qui pouvait aisément rivaliser avec le soleil. Elle partageait une amitié profonde et sincère avec Suzanne-Mary, surnommée Suzy. Elles avaient en commun leur parcours universitaire. Elles envisageaient la même orientation professionnelle. Cette amie

terre-femme : - les « raisins noirs mêlés avec l’or de la tresse » (vers 4) revient à dire que la femme est tissé avec le végétal, c ‘est à dire le terre. Dans ce vers l’alliance de la terre et la femme est double. « l’or «  de la tresse représente la blondeur mais aussi le métal qui renvoie à la richesse de la Terre [symbole de la coupe]. La « coupe » (vers 5) renvoie à la coupe de Bacchus et à la coupe de l’inspiration. La coupe, est un objet domestique qui annonce au vers 9, l’image du volcan qui lui

Explication linéaire du portrait de la princesse de Clèves (p. 19‑20, l. 213-248 classico)Prob :Montrez en quoi ce portrait laisse présager un destin exceptionnel ?Lignes 213 à 219 : Une arrivée remarquéea. Dans la première phrase, comment le narrateur souligne-t-il la grande beauté de l’héroïne ? Le narrateur souligne la grande beauté de l’héroïne en insistant sur l’unanimité des réactions des membres de la cour : « attira les yeux de tout le monde » (l. 213-214). Il emploie également l’adjectif

dans A «La constellation», qui sont «les oiseaux de Paradis», et pour sa chevelure, une partie du corps qui a toujours fasciné les poètes. D’ailleurs, dès Le Paysan de Paris, Aragon lançait un hymne à la chevelure et à la blondeur. S’il fait référence à la blondeur d’Elsa quand il écrit «Cheveux […] roux comme vous êtes/ o mes cheveux adorés et dorés», il pense aussi à la «jolie rousse» d’Apollinaire, dont les «cheveux d’or», semblables à «un bel éclair», incarnent la «raison ardente» de

le bois. A la corne du bois, soudain une forme de femme surgit à contre-jour. Le jeu des rayons la délimitait de lumière. Elle se dressait debout à la lisière des arbres, qui formaient un fond de hachure violâtres - svelte, la tête tout allumée de blondeur ; on voyait, dans sa face pâle, les taches nocturnes de deux yeux immenses. Cette créature éclatante nous dévisageait en tremblant sur ses jambes, puis brusquement elle s'enfonça dans le sous bois comme une torche. Cette apparition et cette disparition

elle, composé de mots comme « blonde » (v. 1), « beauté » (v. 4), « belle » (v. 5 et 37), « brillaient » (v. 26). Mais les yeux et les cheveux sont des éléments essentiels de sa beauté. Les expressions qui évoquent sa chevelure accentuent sur sa blondeur : dans « Loreley » on entend le mot « l’or », ce qui renvoie à la couleur, « blonde » (v. 1), « cheveux de Soleil » (v. 38). Mais le regard est attribué encore plus d’importance : d’abord, les yeux sont « pleins de pierreries » (v. 5), ce qui fait

lecteur, par ce personnage sorti tout droit d’un conte de fées. Un portrait physique et moral. Le portrait physique évoque la perfection : « la blancheur (du) teint », « ses cheveux blonds », « ses traits [...] réguliers ». La notation de la blondeur aura son importance par la suite : au tournoi, M. de Nemours choisit de porter le jaune, la couleur aimée de Mme de Clèves qui « était fâchée d'être blonde parce qu'elle n'en pouvait mettre ». Quant aux deux autres détails, ils servent à accumuler

La personnalité de votre prénom Fatma  La beauté de Fatma est somptueuse et éblouissante. On peut la reconnaître de loin à sa démarche altière, à sa silhouette élancée, à ses mouvements précis et nobles. Elle est souvent blonde, d'une blondeur incendiaire. Si elle est brune, ses cheveux ont la couleur de la plus belle ébène et revêtent un aspect éminemment troublant. Elle a en général une poitrine bien développée et d'un galbe parfait. Le ventre plat, la cambrure des reins légèrement accusée

comme par enchantement. On devine alors que le héros va tomber amoureux. Stendhal emploie deux procédés descriptifs opposés. Il procède par touches de couleurs, à la manière des peintres impressionnistes : le « vert perroquet » des persiennes, la blondeur de la jeune femme forment deux taches vives qui « impressionnent » l'œil et le héros au milieu des taches noires ou blanches de l'environnement (le « blanc » du mur ; « la boue noire »). L'esquisse de la ville est tracée vigoureusement, comme au