Blondeur

tourne en ridicule auprès de bien des gens » (I,1, v.108). Alceste est donc, lui aussi, objet de la satire, car il exagère, et en cela il est puni. Mais sa punition est amère, comme les fontaines du désert : si le personnage d’Alceste hésite entre la blondeur de Célimène et celle des dunes, on hésite aussi à rire ou à compatir.   III. Une pièce classique avant d’être une comédie             A. Le respect des règles :      Les trois unités sont respectées : l’action unique, c’est évidemment l’amour

contre Créon et posent les jalons du mythe. Ismène se définit par des termes qui mettent en valeur son opposition radicale avec sa sœur. On insiste sur sa beauté avec les termes « belle », « éblouissante » sont repris tout comme la mention de la blondeur et terminent un portrait dissemblable. L’allusion à son bonheur apparaît à travers le lexique mais aussi à travers le verbe « riait aux éclats » et « Ismène qui bavarde et rit avec un jeune homme ». La danse revient également à plusieurs reprises

insecte qui pique à pas qu’une lettre d’éloge, d’amour – souffrance relative : oxymore « meurt avec bonheur » v.4 · 2ème partie : à partir des « cheveux » : la comparaison n’est plus ambigüe > « scorpions » = piqures, douleur à remise en cause de la blondeur, femme semble méchante, agressive – passé composé = bilan « ont tué mon cœur » > synecdoque de son amour – pourtant cette souffrance est amplifiée du vers 18 à 20 : indifférence car 3 vers sans structure rhétorique, clarté des propos à souffrance

que jeune fille d'où l'appellation de "dame" (permettant aussi une transposition aisée : le cavalier = le chevalier devant sa "dame") ; sa beauté : "jolie figure", "cheveux magnifiques" présentés comme un attribut essentiel de sa personnalité : sa blondeur se précise au fil du texte "la dame aux cheveux d’un blond cendré" ; voisinage valorisant du " rideau de mousseline brodée", signe de raffinement ; beauté radieuse mais conventionnelle, celle d’une princesse de conte de fées. - son comportement

fascinant, tantôt sous la forme d’un spectre, tantôt sous la forme d’un être séduisant, alors que Pierre aurait toutes les raisons de lui en vouloir. Madame Rosémilly : Jeune veuve de 23ans, c’est la voisine des Roland. En dépit de sa jeunesse, de sa blondeur et de ses yeux bleus, elle est bien loin de l’héroïne sentimentale. C’est une personne clairvoyante car elle est la première à voir la jalousie de Pierre. De même, son carctère vif est exprimé lors de la demande en mariage de Jean, puisqu’elle le

par leur origine et leur nom : Tristan est orphelin , comme de nombreux héros de conte, Iseut est fille de reine. Leurs prénoms ne sont pas réalistes et contiennent des significations symboliques (la tristesse pour l’un et la beauté liée à la blondeur pour l’autre ), de même que pour Blanchefleur ou Iseut aux mains blanches. De plus, on retrouve le schéma narratif traditionnel du conte : le motif de la quête d’un héros (ici celle de « la belle aux cheveux d’or) confronté à

père, lui dire qu´il viendra plus tard. Mais plus tard, c'est l'épouse de Michel Arc qui vient rejoindre Monsieur Andesmas. Un peu figée, un peu décidée à tout dire. Dire quoi? Tout dire sur la fille de Monsieur Andesmas, sur cette fille à la blondeur éblouissante, sur cette Valérie qui s'affiche de plus en plus avec Michel Arc. Et Monsieur Andesmas, malgré l'amour infini qu'il porte à sa fille, doit comprendre, entendre des choses, à défaut de les deviner. Ce roman, écrit à la troisième personne

même expression : « Ô belle Loreley » reprise dans le dernier distique par « la belle Loreley ». Plus précisément, ce sont sa chevelure et ses yeux qui la rendent fascinante. Les expressions évoquant sa chevelure sont nombreuse et en souligne la blondeur : « une sorcière blonde » v. 1, « ses cheveux de soleil » v. 38, c’est-à-dire aux premier et au dernier vers du poème, ce qui en souligne l’importance. Le prénom de la jeune femme « Loreley », « Lore » par ses sonorités renvoie au métal, et donc

la description, cette femme, la femme du directeur du camp est caractérisée par sa jeunesse et sa beauté. Elle représente parfaitement le type de beauté défendu par les nazis, celle caractérisant la prétendue race aryenne. « faite d’un excès de blondeur et de blancheur » -La description qui en est fait par le narrateur est laudatrice en effet elle donne l’image d’une femme raffinée, soucieuse de son apparence, coquette, faisant attention à son corps. *termes touchant les sensations visuelles et

ressort indemne de la maladie, tandis que cette pauvre marquise est défigurée. Faut-il y voir une punition divine?.On peut aussi supposer que la marquise est brune (de par les illustrations de l'édition originale, mais aussi par contraste avec la blondeur innocente de Cécile) mais c'est là un fait non avéré, qui de prime abord peut apparaitre comme purement subjectif de la part des illustrateurs, et, sans importance. En fait c'est une affaire plus délicate qu'il n'y parait et sur laquelle nous reviendrons