Blondeur

une allusion a l’arc-en-ciel, qui lui-même signifie le beau temps après la pluie est symbole de réconciliation, c'est-à-dire l’armistice, donc la paix après la guerre. Une allusion au physique d’Elsa par l’image des champs de blés caractérisant la blondeur de ses cheveux et le ciel bleu à ses yeux : « Le ciel n’est jamais bleu comme il l’est sur les blés ». Des allitérations soulignent que l’auteur est esclave de cet amour piège : « pris au filet des étoiles Filantes », « comme un marin qui meurt

celle «simplicité» ! Alors, que vous soyez «électrochoc», «jeune fille en fleurs» quelque soit la saison, «Jean Louis David» vous rendra encore plus belle grâce à ses nouvelles inspirations. Et même si vous appréciez plutôt «l'esprit rock», la «blondeur californienne», les «ondulations vaporeuses» ou même les «franges pop»...ou mieux encore, si vous avez besoin d'un «relooking coiffure» c'est sûr, chez le coiffeur «Jean Louis David», vous ne serez pas déçue ! C'est pourquoi, les dernières tendances

beauté, de l’importance est donnée sur sa chevelure « cheveux de soleil », « cheveux déroulés » mais aussi « Lore » v.23 l'abréviation du prénom qui renvoie à la couleur du métal. Ces expressions font référence à l'abondance de la chevelure, à sa blondeur, à sa longueur exceptionnelle. Elle apparaît fascinante mais elle est alliée dès le début à un maléfice : v.1 « sorcière blonde ». → Quant aux yeux ils exercent un pouvoir similaire. On note dans ces citations le champ lexical de la lumière en mouvement

et blanc de la nymphe située à droite et des notes plus foncées se dessinent au dessus (les ailes et le feuillage). Au dessous de la déesse (l’ombre sur l’onde et la terre), et les chevelures de tous les personnages féminins sont unies par la même blondeur. Là encore, la couleur structure la toile et participe à la mise en valeur du personnage de Vénus : Analyse du tableau : Le paysage Botticelli met ici en scène quatre éléments qui accompagnent la naissance de la déesse. L’eau:

faite de façon aléatoire, sans que soient respectées les différentes parties (4, 7 et 8) Interprétation de l’œuvre Ici, il accentue dans Marylin ce qui en fait l’image de la pin-up : les lèvres, le "maquillage" un peu vulgaire des yeux, la blondeur. Les pin-ups, à l’origine, étaient des images érotiques distribuées aux soldats pour remonter le moral des troupes.   Les couleurs utilisées sont vives, jusqu’à saturation. Les couleurs sont irréelles par rapport à celle de la carnation humaine :

à petit dans la destruction. Nana est accompagnée de toute une série de double (les prostituées) : Satin, Gaga, Catan, Néné, Lucie Stuart. * Toutes ses femmes ont en communs en dehors de la prostitution, une caractéristique physique soit la blondeur ou la lourdeur. Leur apparition rythme le roman. Dans la première partie du roman, elles voient le triomphe de l’actrice (Nana). Elles interviennent pour accompagner le triomphe de Nana et enfin la mort de Nana. La prostitution est un sujet d’actualité

d'un géant, dans un musée. ». Goujet est donc assez beau pour en devenir une œuvre d'art. Implicitement, ce passage compare donc Goujet à un dieu grec : Héphaïstos, le dieu de la forge, pour sa force, Zeus, le roi des dieux, pour sa puissance, sa blondeur et sa beauté. La description évoque aussi un Christ, par ses jeux de lumière : « s'allumaient, lui éclairaient toute la figure de leur fils d'or » la lumière et la couleur or confère à Goujet une aura divine. On peut aussi relever « tout-puissant

l’idée de révolte, de solitude et de mort prochaine. Contrairement à Antigone, Ismène présente des traits physiques et psychologiques opposés à sa sœur Antigone. Elle est caractérisée tel que « belle », « heureuse », « éblouissante », « sa blondeur ». Sa beauté est accentuée pour marquer l’incompréhension du geste d’Hémon. Ismène est également définie par le champ lexical du bonheur « son goût du bonheur, de la réussite » , « riait aux éclats », « son goût de la danse », « dans sa nouvelle

"Les colchiques", "Automne", "Signe", "Le pont Mirabeau", "Marie", "L’Adieu", "Mai", "Cors de chasse" sont tous des poème centrés autour de femmes que le poète a précisément aimées. Il en renvoie une image ambivalente par des symboles tels que la blondeur, la beauté, les yeux, les fées, tour à tour signes de séduction et de négativité malfaisante. Le poème "Nuit Rhénane" est très représentatif de cette ambiguité : les femmes sont celles qui fascinent et menacent (les sept fées aux cheveux verts

simple églantine rose, Payse aux lèvres de carmin, Pourquoi sembles-tu si morose ? - Je suis jalouse de son teint. Toi, beau lys, qu’en dis-tu ? - Que n’ai-je Le fin velouté, la blancheur, La fraîcheur d’aurore et de neige De sa diaphane blondeur ! Je comprends votre jalousie, Ô fleurs, c’est qu’hier, en ces lieux, Dans sa robe de fantaisie La Muse a passé sous vos yeux. Nérée Beauchemin, Patrie intime Le serpent qui danse Que j’aime voir, chère indolente, De ton corps si