Blâme D Un Personnage

résumée. Le code du théâtre est ainsi respecté, la scène cherche à bien diriger les spectateurs. B) Un dialogue préparatoire : (but : représenter Dom Juan) → Le dialogue se dévoile à travers un crescendo: effet d'attente et de suspense. Le personnage de Dom Juan est ainsi révélé. → L’incompréhension de Gusman traduit l’étrangeté de la personnalité de Dom Juan. Il y a une abondance négative « je ne sais pas », « je ne comprends pas ». Gusman est ainsi à la place du spectateur. → Une accumulation

pièce respecte la règle des trois unités : l’action (que l’on peut résumer à la tentative de Tartuffe, faux dévot et imposteur,pour s’emparer des biens d’Orgon, son bienfaiteur) se déroule dans un lieu unique : le salon d’Orgon où défilent les personnages. Le temps est celui de l’urgence tragique : Orgon annonce à plusieurs reprises que le mariage de Mariane et de Tartuffe se fera le soir même ; il est sur le point d’être contraint à fuir et la famille manque de se retrouver à la rue. Comme dans

( langage, classe sociale, lieux ) Genre littéraire: Roman, la comédie humaine de moeurs ( bourgeoisie moyenne de province ) Analyse psychologique, un type psychologique: l'Avare Type de texte: descriptif • caractérisation des personnages et des lieux • qui ? le point de vue: objective, subjective • argumentative ? • realiste ? Registre pathétique Thème: il nous décrit une soirée assez triste, morne, chez les Grandets avec l'arrivé de leur neveu Charles. But: I-

qui présente => phrases emphatiques « c'est ...qui... » A-les personnages • Le prologue est un personnage qui présente de façon démonstrative les personnages de la pièce : « Ce garçon pâle, là-bas, au fond, qui rêve... ». « Antigone, c'est la petite maigre qui est assise là -bas... » • les désigne au public. • Ce prologue ne rentre pas directement dans l'action, il fait juste une description physique et morale des personnages : « Cet homme robuste, aux cheveux blancs », « Ce garçon pâle »

est une pièce de théâtre contemporaine écrite par Marie N’DIAYE, auteur, romancière et dramaturge contemporaine (née à Pithiviers en 1967) et qui relate une histoire de famille. L’histoire se déroule en banlieue parisienne et raconte le retour du personnage de «Papa » ayant quitté sa femme et ses deux filles en bas âge. Entre temps un autre homme a pris sa place pendant les dix ans qu’a duré son absence. Personne ne pense plus à son retour. Mais un beau jour, il réapparaît sous une fausse apparence:

répondant à la problématique. Dans le texte « L'école des femmes » de Molière, l'auteur veut nous présenter un personnage qui est très machiste. Derrière une très fausse générosité, Arnolphe se montre très négatif et machiste dans sa façon de considérer l'éducation des femmes. Arnolphe se prend pour une personne qui agit de la meilleure des façons, mais en faite c'est plus un personnage faux et à double face. Il a un caractère borné, autoritaire, possessif, par exemple à la ligne 64 « En femme, comme

narrateur B. Le motif du clown est incongru et soulève des énigmes C. Une captatio efficace qui repose sur la mélange de langue et de registre LA n°2 : Michel Quint « Effroyables Jardins » Le portrait du père en clown : un portrait ambivalent entre blâme et éloge Un portrait péjoratif et grotesque A. Un mauvais clown B. Un piètre guerrier C. Le style héroï-comique Le recul analytique et l'évolution du point de vue : les marques de l'éloge A. Le regard de l'adulte et la place du

reprendre cette scène en renforçant la figure d’Alcmène. Il s’agit dans ces deux scènes d’un quiproquo, car le personnage prend une personne pour une autre ; Alcmène confonds Jupiter pour son mari : « ALCMENE (à Jupiter): Amphitryon, en vérité, Vous vous moquez de tenir ce langage […] » (l. 43 à 44). Le texte C repose lui aussi sur une situation similaire de quiproquo : les deux personnages, Sylvia et Dorantes, dont le mariage à été décidé par leurs parents, ont chacun de leur cotés décidés de se rencontrer

sociales, de faire réagir le lecteur face à de telles injustices. Face à un Gnathon égoïste, et vorace, qui « se rend maître du plat », et domine les « autres », insatiable, personnage grossier de La Bruyère, Les Caractères traite le thème de la nourriture, apport nécessaire à la vie, d’une toute autre manière. Les personnages de Hugo et de Prévert souffrent quant à eux de la faim, avec un homme « terrible » ayant été accusé d’avoir volé un pain, auquel reste indifférente une riche femme qui ne lui

souverain (« au secours des gens et des biens qui te sont confiés par le droit naturel »)• l'auteur utilise ici les principes du portrait héroïque traditionnel hérité du code de la chevalerie présent dans les récits épiques et confie à son personnage Grandgousier, le rôle traditionnel du « mandant » dans les contes : confier une mission au héros, une mission ici morale2ème paragraphe : • l'auteur justifie les mobiles de Grandgousier par une transition avec le thème du 1er paragraphe : l'interruption