BMG Entertainment

des boissons : Parts de marché - Etats-Unis en 1998 Coca-Cola Pepsi-Cola Cadbury Schweppes 44, 5% 31,4% 14,4% B2 - Le secteur de la musique : Marché des albums Etats-Unis en 1997-98 Universal/Polygram Warner Music Sony Music EMI Group Plc BMG Entertainment 24,5% 18,2% 16,6% 12,9% 12,2% C - Description du modèle Soit deux entreprises produisant un bien homogène en quantités q1 et q2 et qui ont des fonctions de coût identiques : Ci(qi) La production totale s’élève ainsi à Q = q1 + q2 D - Les hypothèses

en passant par l’électro, le jazz ou encore la musique du monde tout en rémunérant les artistes grâce à la mise en place d’accord avec la Sacem et le Sesam, et aux publicités diffusées sur le site. Le succès est immédiat, et des labels tels que Sony BMG, Because ou Believe auront leurs catalogues présents sur le site Deezer. Deezer shop : boutique de produits dérivés (tee-shirt, casquettes, mugs, stylos,…) classés par artistes. - B to B : La gestion de la sonorisation des lieux de vente et de

marketing - Warner Music France - Romain Pasquier, chef de Projets Spécial Marketing - Wagram - Mathieu Hannouz, chef de produit marketing - Neolane - Céline Kostia, Responsable communication & marketing - TV Cards - Alban Martin, auteur de « The Entertainment Industry is Cracked, Here is the Patch! », - Sylvie Krstulovic, auteur de la thèse « Les stratégies de différentiation des FAI dans la distribution de musique en ligne » Et surtout ceux qui partagent ma passion pour la musique: L’équipe du

est basé au sud de Strasbourg ou « Merge Records », créé en Caroline du nord aux Etats-Unis. Cependant, tous ces petits labels ne sont rien face aux géants de l’industrie du disque. Ils sont en nombre de trois : - Universal Music - Sony Music Entertainment - Warner Ils se partagent à eux trois plus de 50% du marché mondial, et ce depuis le début du XXIè siècle. Ces trois groupes sont américains et sont liés à des artistes comme Johnny Cash ou Nirvana. Si l’on compare les labels discographiques

droits, subventions exceptionnelles) pour venir en aide aux producteurs concernés. Universal Music group (filiale du groupe français de médias et télécommunications Vivendi universal) (labels Mercury Records, Polydor, Island…), Sony – BMG music entertainment (50 % Sony Corp. Of America et 50 % détenus par le groupe de média allemand Bertelsmann), EMI group (RU) (labels EMI, Capitol records, Virgin records, Mute records…), Warner music group. • • • Ces quatre majors représentent plus

de l'année 2007. E compil : Bien qu’étant le doyen du téléchargement de musique, avec 40 000 titres seulement dans son catalogue, ce site n'est pas le mieux achalandé. MSN Music : 350000 titres et 12000 artistes du catalogue od2 (Universal, Warner, BMG, EMI...) D’autres plateformes sont présentes sur le marché à plus petite échelle comme Jam Label (label thématique de 5000 titres de musique celtique), Uploud (regroupant uniquement des labels indépendants), Amazon MP3 (utilisable seulement des Etats-Unis)…

avant l'album puisqu'il est disponible à la vente dès le 7 septembre27,28. Trois autres chansons issues de l'opus paraissent en single pendant l'année 2003 : Times Like These le 20 janvier29, Low le 23 juin30 et Have It All le 22 septembre31. La major BMG s'est associée à l'entreprise de télécommunication O2 et le fournisseur de musique Musiwave afin de promouvoir l'album en Europe via une campagne de publicité axée sur les téléphones portables32. À sa sortie, One by One est publié avec deux pochettes

groupe Matmatah 331, Michaël Furnon, du groupe Mickey 3D et Guizmo du groupe Tryo 332), France 3 Bourgogne Franche-Comté diffuse un documentaire de 52 minutes333 sur le chanteur. 319 Les fils du coupeur de joints (Tribut à Thiéfaine), Sony Music Entertainment, Epic, Paris, 2002. 320 Hexagone 2001 … rien n'a changé, Virgin, 2001. 321 La tribu bouffe du Gotainer, Skalopards Prod'z, 2006. 322 Manifeste électronique - Hommage du mouvement électro au Bérurier Noir, Abyssa, 2007. 323 Génération Shériff, Folkolre

question posée est en fait de savoir qui, au sein du consortium constitué par l’alliance, détient ou est susceptible d’accaparer le rôle dominant. A titre d’exemple, dans les produits multimédias relatifs au champ de la distraction et des loisirs (entertainment), les détenteurs de catalogues de droits audiovisuels sont bien placés pour fédérer les autres catégories d’acteurs. Les opérations de rapprochement recensées par la banque de données d’APREDIA comportent aussi bien les alliances que les rachats

discussions avec plusieurs majors du cinéma. L’objet de ces négociations serait de proposer aux internautes du contenu payant sur la plateforme YouTube, rachetée par Google en 2006. Parmi les studios concernés par un possible accord, figurent Lions Gate Entertainment, Sony ou encore Warner Bros. Si YouTube a connu un franc succès depuis sa création en 2005, c’est avant tout par la gratuité d’accès à des centaines de milliers de vidéos diverses et variées, en étant financé par la publicité. Une modification