Bodhisattva

d’Asakusa et du temple Kannon : Continuez votre découverte de Tokyo en visitant certains de ces lieux les plus célèbres comme le parc Ueno avec ses cerisiers en fleurs et ses musées et le quartier d’Asakusa avec son temple Senso-ji dédié à la déesse bodhisattva Kannon et ses échoppes artisanales. Soirée karaoké : Venez-vous amuser et vous exercer à la chanson grâce à un des hobbies préférés des japonais, le karaoké ! Séance zen : Adoptez la zen attitude en vous promenant dans le quartier zen au

distendus et un chignon. Bouddha est presque toujours représenté assis, en tailleur, dans une fleur de lotus (symbole de pureté), il forme avec les doigts "l'anneau de méditation". Juste après Bouddha, dans l'ordre des êtres vénérés, arrivent les bodhisattvas. Contrairement à Bouddha, leurs poses sont variées. Autour d'eux gravite un peuple mythique. Au rez-de-chaussée trône le Mandala du Toji composé de 21 statues de divinités dorées et de taille humaine. En relation avec la communauté chinoise les

enseignement donné au Por­tugal, septembre 2007 2. Un auteur bouddhiste du VIIe siècle dont l’œuvre prin­cipale, L’Entrée dans la pratique des bodhisattvas (Bodhicharya vatara), est un grand classique. III. Comment méditer ? 1. Yongey Mingyour Rinpotché, Bonheur de la méditation, Fayard, 2008. 2. Shantidéva, L’Entrée dans la pratique des bodhisattvas Éditions Padmakara, 2007, I, 28 3. Dilgo Khyentsé Rinpotché (1910-1991) fut l’un des plus éminents maîtres spirituels tibétains du XXe siècle.

développe au début de notre ère. Il prône, dans ce qu’on peut appeler un schisme avec l’orthodoxie theravada, une plus grande ouverture de la doctrine (« grand véhicule », pouvant concerner davantage de personnes) et un altruisme incarné par le bodhisattva, « être d’éveil » qui a atteint l’état de conscience absolue et qui choisit non pas le nirvana auquel il a accès mais de rester parmi les hommes afin de les aider dans leur chemin vers l’Éveil, que tous portent en eux. Il est pratiqué dans le

des spiritualités : le tsaddiq, résidant dans le "SaintPalais" - ; l'hésychaste parvenu à la tranquillité parfaite (hésychia) dans le "Royaume des Cieux" - ; le walî, dans le "Jardin de l'Essence" -; le jîvan-mukta (le "délivré vivant"), ou le bodhisattva (l'"éveillé"), réalisant le "nirvâna" - ; le tcheun-jen (l'"homme transcendant") dans le "Séjour des Immortels" - ; ces différents lieux représentant en réalité des états, tous correspondant sous des termes différents au Point 30 central

manière entièrement neuve d'envisager la souffrance. Dans son petit livre intitulé A Guide to Wilking Meditation, au chapitre « Le monde contient toutes les merveilles de la Terre pure », Thich Nhat Hanh dit « Je ne crois pas que tous les bouddhas et bodhisattvas des trois temps m'en voudraient de vous révéler un petit secret, à savoir qu'il n'est pas nécessaire d'aller chercher ailleurs qu'ici-bas pour trouver les merveilles de la Terre pure. » Ce sens du merveilleux et de la joie est présent à chaque

est le courant le plus largement diffusé au Japon. On insiste surtout sur l’idée de salut, et sur la mythologie bouddhique, et son panthéon. Ainsi, on fait bien la différence entre trois types de personnages : le bouddha, qui a connu l’éveil, le bodhisattva, qui a failli sur le chemin de l’éveil pour le salut des hommes, et les dieux. On sait que ce sont les Soga qui ont introduit le bouddhisme à la cour du Yamato. Du VIIe au Xe siècle, le bouddhisme est réservé à la noblesse. Il s’est imposé au Japon

admettent l'existence des êtres surnaturels supérieurs aux humains que sont les deva du brahmanisme, ne leur accordent aucun rôle dans le salut. Les bouddhismes mahayanas et vajrayanas accordent, eux, une place importante à des entités surnaturelles (bodhisattvas et bouddhas « transcendants »), en général appelées déités. Dans la philosophie mahayana, les différentes déités sont des manifestations de la même nature, qui est aussi celle du pratiquant. La définition de ces systèmes comme athées n’est donc

de compassion envers tout être vivant. Cette compassion devient le cœur de son message et incite les méditants à reculer le moment de la libération définitive pour renaître afin d’aider les êtres ignorants et souffrants. L’idéal devient celui du bodhisattva, un être éveillé qui refuse d’accéder au nirvana pour le bien de tous. Les tenants de cette pensée se sont qualifiés eux-mêmes d’adeptes du Grand Véhicule (Mahayana) et ont qualifié le bouddhisme ancien de Petit Véhicule (Hinayana). Cette terminologie

du sacrificateur védique, c’est la foudre d’Indra (ce qui l’identifie au vajra). Elle est donc le feu les anges qui chassèrent Adam du Paradis portaient des épées de feu. En termes d’alchimie, l’épée des philosophes est le feu du creuset. Le Bodhisattva porte l’épée flamboyante dans le monde des assura c’est le symbole du combat pour la conquête de la connaissance et la libération des désirs ; l’épée tranche l’obscurité de l’ignorance ou le noeud des enchevêtrements (Govinda). Semblablement