Boléro

lecteur. L'ivresse est donc pour tous. L'enthousiasme lyrique.Ce poème s'appuie sur le pouvoir émotionnel du rythme. C'est une véritable incantation basée sur la répétition. De plus, cette incantation est progressive, elle va « crescendo » (Cf. Bolero de Ravel). Ce crescendo est renforcé non seulement par l'impératif « enivrez-vous », mais aussi par la variété des expressions de l'obligation : « il faut », « toujours », « sans trêve », « il est l'heure », « sans cesse ». Par ailleurs, l'expression

v=iAzP54py0qI (environ 30 secondes) premieres minutes : flute traversiere + caisse claire (marche de l’armée) picolo + flute traversiere puis clarinette et hautbois (dialogue) Intensite pas forte, calme arreter a 2’30 6slide: IV- Mise en relation Bolero de Maurice Ravel, 1928 rythme répéter comme pour la 7eme symphonie link youtube on entend la caisse claire et aussi le hautbois, comme dans la 7eme symphonie 7slide: Conclusion: Nous pouvons dire que la 7eme symphonie a marque l’histoire

les jambes, et les bras. Épaules carrées aux tailleurs et redingotes C'est ainsi qu'en 1946 apparaît la ligne tonneau qui marque le début d’une intéressante étape d’expérimentation du volume autour de la taille et du dos mais aussi de ses fameux boléros brodés d'inspiration espagnol Il invente des matières, dont le cracknyl pour les imperméables en 1949 qui étonnent par la souple rigidité. Dans les années 1950, les lignes droites et fluides enveloppent le corps sans l’oppresser, comme sur son

qu'aujourd'hui, ni autant de curiosité, d'originalité et de diversité. Jamais elle ne s'est imposée à l'attention du monde avec autant de force persuasive et de charme. → Les noms de Claude Debussy, Gabriel Fauré ( Pénélope) et Maurice Ravel (Boléro, Shéhérazade), représentent les aspects les plus caractéristiques et la personnalité essentielle de cette musique. 1 → Claude Debussy 1862 → 1918. Il entra au conservatoire de Paris à l'âge de dix ans. Claude Debussy fut engagé comme pianiste

Chloé (1912) et cultive un goût prononcé pour la danse. Après la guerre et la mort de Debussy (1918), Ravel connait une gloire internationale. Il compose de nombreuses œuvres de musique de chambre → Tzigane (1924) ainsi que des œuvres pour orchestre → Boléro (1928). La fin de sa vie est plus difficile en raison d'une maladie cérébrale qui le laisse très diminué. Il compose néanmoins ses derniers chef d'oeuvres, notamment les 2 concertos pour piano de 1931 eux aussi très virtuoses. Description de l'oeuvre

les sortilèges. sur un texte de Colette. La première française à lieu à l'Opéra-Comique de Paris le 1er février 1926. La même année il compose les Chansons de Madécasse. En 1928 il effectue une longue tourné au Canada et aux États-Unis. Le 20 novembre son Boléro est créé à l'Opéra de Paris. En septembre 1929, sa rue natale de Ciboure est baptisée « Quai Maurice Ravel ». Le 27 novembre 1931, le pianiste Paul Wittgenstein (amputé du bras droit) crée le Concerto pour la main gauche à Vienne, et le concerto en

(par exemple l’Espagne, la musique noire américaine avec Gershwin…) et il a su imposer son style dès ses premières œuvres. Ses œuvres sont remarquables par la précision de son dessin harmonique et son orchestration. Son œuvre la plus connu est le Boléro en 1928. • R.Strauss : 1864-1949. Compositeur et chef d’orchestre allemand. Fils d’un corniste talentueux de la cour, à quatre ans, Strauss montre un talent prodigieux au piano. À six ans, il compose déjà de petites pièces pour le piano.

plaisir et d'émotion;le da capo est une ravissante surprise et source de plaisir; la,répétition est un procédé courant et devient un progrès ( plus on entend, plus on appréce) même lorsqu'elle est obsessionnelle EXEMPLES la mélodie hyspano arabe du boléro de RAVEL (1928); 1ere gymnopédie de SATIE autres procédés en rapport avec la répétition : la variation (un équilibre entre répétition et innovation) et l'ornementation. EXEMPLE LE 3°scherzo de CHOPIN (deux «discours» qui sont construits de façon

Son thème dit « de l'Invasion », une marche désinvolte de 18 mesures, accompagnée par un rythme répété à la caisse claire, est répété douze fois, de plus en plus fort, avec une exploitation de l'orchestre similaire à celle de Maurice Ravel dans le Boléro. La marche dure environ onze minutes, et est la représentation de l'envahisseur. La marche s'achève brutalement, balayée par un adagio de basson à l'ambiance funèbre. L’impression qui ressort de ce 1er mouvement peut être comparée à celle d’un raz

cinéma. La même année, il se vit décerner un doctorat honorifique de la part de l'université d'Oxford. À partir d'ici et jusqu'en 1932, Ravel sera occupé à divers projets, certains plutôt inusités dont un ballet pour la danseuse Ida Rubinstein (Boléro), le concerto pour la main gauche (Paul Wittgenstein), et de la musique pour le cinéma (Don Quichotte à Dulcinée). L'année 1932 marque le début d'une fin tragique pour Ravel, période durant laquelle il sera totalement à la merci d'une maladie dégénérative: