Bonapartisme

universel direct comme étant nécessairement un dictateur en puissance. 170 Séquence 7-HG11 © Cned – Académie en ligne Le Second Empire 1852-1870 entre autoritarisme et libéralisme Problématique : Les contradictions politiques du bonapartisme (association d’un pouvoir personnel fort et du suffrage universel) étaient-elles surmontables ? PLAN – traitement de la problématique Notions - Clés Repères A – Un régime dictatorial (1852 – 1860) 1. Les instruments du contrôle Initiative

des tendances pro-pétainistes, soit qu’elles aient été envoûtées par la magie du verbe maréchaliste, soit qu’elles aient été convaincues de son impact dans l’opinion ». René Rémond (Les Droites en France) préfère rapprocher le RPF de la lignée du bonapartisme et du boulangisme, tout en observant que le RPF est, dans l'histoire du gaullisme, l'épisode le moins éloigné de « ce qu'en France on a l'habitude de qualifier de fascisme ». Après un grand succès en 1947-1948 (35 % des suffrages aux municipales

des tendances pro-pétainistes, soit qu’elles aient été envoûtées par la magie du verbe maréchaliste, soit qu’elles aient été convaincues de son impact dans l’opinion ». René Rémond (Les Droites en France) préfère rapprocher le RPF de la lignée du bonapartisme et du boulangisme, tout en observant que le RPF est, dans l'histoire du gaullisme, l'épisode le moins éloigné de « ce qu'en France on a l'habitude de qualifier de fascisme ». Après un grand succès en 1947-1948 (35 % des suffrages aux municipales

du référendum dépend de l’initiative du gouvernement. En France, l’élargissement du référendum a été laborieux, la tradition française n’est pas favorable à une consultation populaire. La crainte du référendum trouve son origine dans le « bonapartisme » qui est une approbation populaire à un régime populaire. Le système est construit sur une légitimité populaire. D’autre part, le référendum auquel le peuple est associé se fait à l’initiative d’autres pouvoirs publics. La souveraineté appartient

étaient conscients de ces problèmes-là. L’auteur André Taguieff est de ceux-là. Il a écrit en 1997, un article sur cette question. Il s’est laissé prendre par une sorte de piège de fausse continuité historique entre différentes idées politiques : le bonapartisme, le boulangisme et le poujadisme. Pourquoi y a-t-il eu un succès, un accord autour de la catégorie populiste pour parler de ces partis d’extrême droite ? Deux raisons : * Le recours à cette notion de populiste est élitaire (en provenance

des tendances pro-pétainistes, soit qu’elles aient été envoûtées par la magie du verbe maréchaliste, soit qu’elles aient été convaincues de son impact dans l’opinion ». René Rémond (Les Droites en France) préfère rapprocher le RPF de la lignée du bonapartisme et du boulangisme, tout en observant que le RPF est, dans l'histoire du gaullisme, l'épisode le moins éloigné de « ce qu'en France on a l'habitude de qualifier de fascisme ». Après un grand succès en 1947-1948 (35 % des suffrages aux municipales

presse (fin de la censure et baisse du prix du timbre amende dont doivent s’acquitter les journaux). 1870-1871 Guerre Franco-prussienne. Echec cuisant de l’empire. La capitulation de Sedan le 2 septembre 1870 met fin dans les esprits à 18 ans de Bonapartisme. 4 septembre 1870 : Proclamation de la 2nde République. Mars à Mai 1871 : la Commune de Paris est écrasée par le gouvernement Thiers. 8 juillet 1871 : La presse est de nouveau encadrée, les journaux satiriques sont particulièrement visés. 1-Une

Soucy, sur les Croix de Feu. Les deux positions traditionnelles sont bien connues. Pour les historiens français, René Rémond ou Pierre Milza, le fascisme est étranger à la tradition des droites françaises, et l'on ne saurait lui assimiler le bonapartisme ou l'esprit des Ligues. Il a bien existé, certes, des imitations des fascismes italien ou allemand, mais elles furent réduites tantôt, précisément, à quelques singeries d'agitateurs, tantôt à une attraction puissante sur une poignée d'intellectuels

des tendances pro-pétainistes, soit qu’elles aient été envoûtées par la magie du verbe maréchaliste, soit qu’elles aient été convaincues de son impact dans l’opinion ». René Rémond (Les Droites en France) préfère rapprocher le RPF de la lignée du bonapartisme et du boulangisme, tout en observant que le RPF est, dans l'histoire du gaullisme, l'épisode le moins éloigné de « ce qu'en France on a l'habitude de qualifier de fascisme ». Après un grand succès en 1947-1948 (35 % des suffrages aux municipales

plus qu’à ses moment de gloire en mettant l’accent sur la défaite et le désenchantement. >Delaroche : tantôt éloigné, tantôt proche de Delacroix. *Géricault, Le radeau de la Méduse, Salon de 1819, Louvre Delacroix grand nostalgique du bonapartisme. Garde toujours ce regret comme une grande partie des romantiques de son temps ; preuve en est dans Confession d’un enfant du siècle de Musset qui montre bien la nostalgie de l’épopée napoléonienne. Ici : le radeau impose cette vision contemporaine