Bonheur Impossible Schopenhauer

La difficulté à définir le bonheur (Kant) Selon Kant, le bonheur ne peut pas être défini : nous ne pouvons dire avec certitude ce qui nous rendra heureux car pour cela il nous faudrait une connaissance absolue de nous-mêmes et du monde. Le bonheur n’est pas un idéal de la raison mais un idéal de l’imagination : [L]e concept du bonheur est un concept si indéterminé, que, malgré le désir qu’a tout homme d’arriver à être heureux, personne ne peut jamais dire en termes précis et cohérents ce que

autant des animaux sauf que ces derniers, contrairement aux hommes ne sont pas capables de surpasser ces besoins. En effet c'est grâce à son libre arbitre que l'homme peut outre-passer ses besoins et ne pas en devenir un esclave, même si il est impossible de faire éternellement fi des exigence de notre corps au risque de ressentir une sensation douloureuse qui aboutirait à la mort (de faim, de soif, etc..). De plus le vivant veut toujours se conserver et s'accroitre, et cela se trahit par de multiples

accompli. Le fait de refaire surgir en nous ce qui n'est plus d'actualité peut nous rendre extrêmement nostalgique, que ce soit des anciens moments de bonheur comme de malheur. Par exemple, se rappeler une période de contentement amoureux peut anéantir l'homme si suite à cette période de bien-être a suivi un bouleversement tel une rupture. Il est impossible de revivre exactement le ravissement passé : rien ne sera plus jamais comme avant, c'est ainsi. De toute façon quoi que l'on fasse le passé est un

l’image mobile du temps immobile  ». II/ Le temps cyclique. Il y a dans la nature toutes sortes de changements cycliques. Tout advient, tout disparait, tout revient. La roue du temps de Schopenhauer est un cercle sans fin. L’absence du temps est la répétition. La feuille qui tombe en automne, le chat qui bondit, la mouche qui bourdonne... Toujours les mêmes. La volonté de puissance authentique, veut vivre et affirme

philosophie. Or nous avons souvent perçu la philosophie comme étant trop éloignée de la réalité. Cependant les héros des séries télévisées peuvent éventuellement devenir nos nouvelles références philosophiques, soient des concurrents face à Kant, Schopenhauer, ou encore Spinoza. De plus, l’auteur encourage les téléspectateurs de penser « productif » il ne suffit pas de regarder la télévision. Il faut pousser sa réflexion pour en tirer une conclusion intéressante. Le livre est bien répartit. Il

pensons spontanément que l’individu existe indépendamment des autres. Nous pensons même qu’il est en quelque sorte le principe et le but de la société, et que celle-ci doit assurer la liberté des individus et les conditions de la réalisation de leur bonheur. Pourtant, il n’en a pas toujours été ainsi : l’individu n’a pas toujours été pensé comme l’élément essentiel de la société. Au contraire, dans toutes les sociétés traditionnelles l’individu n’a pas d’importance, c’est la société qui prime. Ce n’est

dont le contraire est possible, c’est-à-dire tout ce qui, tout en étant, aurait aussi bien pu ne pas être. Le contraire de la contingence est la nécessité. Est nécessaire tout ce qui ne peut pas ne pas avoir lieu, ce dont le contraire est impossible. Si l’Histoire est gouvernée par le hasard, alors n’importe quoi peut sortir de n’importe quoi, l’Histoire devient imprévisible. On est dans l’incapacité de lire l’avenir dans le présent. Une Histoire gouvernée par le hasard incite au fatalisme

La recherche du bonheur et les exigences morales sont-elles conciliables ? “ J’aurais pu commettre n’importe quel crime pourvu que je passe de bons moments” en reprenant les paroles de Julien Schwarzer , le bonheur est un idéal pour certains, une réalité pour d’autres et sa complexité morale amène l’homme à différentes réflexions mais également à mener différentes actions pouvant témoigner de la personnalité et du caractère d’un individu

Nous pensons spontanment que lindividu existe indpendamment des autres. Nous pensons mme quil est en quelque sorte le principe et le but de la socit, et que celle-ci doit assurer la libert des individus et les conditions de la ralisation de leur bonheur. Pourtant, il nen a pas toujours t ainsi lindividu na pas toujours t pens comme llment essentiel de la socit. Au contraire, dans toutes les socits traditionnelles lindividu na pas dimportance, cest la socit qui prime. Ce nest que la socit moderne

passion à sa source, on trouve qu’elle est aussi nécessaire à l’âme que la chaleur l’est au corps. (P. JANET). Qui voudrait voir sa vie morne et endormie se traîner sans aucune de ces impulsions énergiques ? (Idem). Sans les passions, il est impossible de faire de grandes choses. (Idem). Les passions sont toutes nécessaires. (DE COULEVAIN). Il ne dépend pas de nous d’avoir ou de n’avoir pas des passions, mais il dépend de nous de régner sur elles. (J.-J. ROUSSEAU). C’est aux passions fortes