Bonne foi

de vous guérir ,c’est comme si une semence était plantée dans vos pensées et votre cœur. Elle n’est pas plantée tant qu’elle n’est pas connue et reçue dans la foi. Aucun pécheur ne peut devenir chrétien avant d’avoir su que c’est la volonté de Dieu de le sauver. C’est la parole de Dieu , planté , arrosée , et gardée fermement dans la foi, qui guérit l’ame et le corps. Cette semence doit rester plantée , et il faut l’arrosée , jusqu’à ce qu’elle produise la récolte attendue. Si vous dites : « je

remontrances chrétiennes »( l. 66-67) accusation forte portée sur son manque de foi, avec l’énumération : « qui ne croit ni Ciel, ni saint, ni Dieu », qui montre son refus total de la religion. c) portrait d’un être diabolique. champ lexical du mal très développé : « le plus grand scélérat que la terre ait jamais porté » (hyperbole), « un diable »(l.63), « méchant homme »(l.84) il est montré comme un ennemi de la foi chrétienne et de la civilisation européenne : « un Turc, un hérétique »(l.63), les

l’énumération des conquêtes, prouve que le chevalier agit par dévouement et obéissance au roi, non pas pour sa propre gloire. Idée expliquée 2 : Qui plus est, Roland représente le chevalier idéal, car il démontre aussi une grande piété — c’est-à-dire une foi religieuse — tout au long de l’extrait à l’étude. Sa fidélité à Dieu s’observe entre autres à travers l’amour que porte le chevalier à Durendal. S’il tient tant à cette épée, c’est parce que Dieu lui-même a demandé à Charlemagne de la lui remettre.

vie? Selon notre humble avis, toutes ces questions ne prennent racines que dans une seule: avons-nous besoin de la religion dans nos vies? Au risque d'être taxer de fou de dieu, je criai au haut et fort que oui. Il nous est même aisé d’avancer que la Foi est le départ essentiel dans le chemin qui mène à la salvation de l'homme.    Tout d'abord, comme le dit si bien un philosophe musulman: dire Dieu, c'est dire le Sens. Mot que nous mettons en majuscule pour souligner son importance. L'homme moderne

et Dieu : Pour l’homme : Dieu = être bon et intelligent  association d’idée. Dieu = (aussi) Père sévère mais juste  association d’idée. Agnostique car jamais vu Dieu mais pas preuves de son inexistence. Fondation de la foi religieuse par raison humaine = hérésie rationaliste. Foi >< raison IV. Conception du « moi » : Moi = noyau de la personnalité. Représentation du moi = association d’idées (humeur, caractère, amour, haine) se succédant et changeant constamment. Personnalité = infinité d’impressions

se comporte donc pas comme un homme qui devrait les repousser. b) Libertinage de pensée. figure d’un athée décrite dans le passage : « qui ferme l’oreille à toutes les remontrances chrétiennes »( l. 66-67) accusation forte portée sur son manque de foi, avec l’énumération : « qui ne croit ni Ciel, ni saint, ni Dieu », qui montre son refus total de la religion. Remise en cause des superstitions et des croyances populaires « ni loup-garoup » (l.64), adepte du rationalisme prôné par Descartes (philosophe

grande partie de l’Europe occidentale “ Il fut d'abord et avant tout un guerrier, bien que son but affirmé fût la paix. Profondément religieux, convaincu que Dieu avait confié au peuple franc et à son souverain la tâche de répandre et de défendre la foi chrétienne ainsi que les coutumes qu'elle apportait avec elle, il passa sa vie à combattre les Barbares, du nord au sud de l'Europe. Par le fer et le sang, il réussit à établir un empire chrétien sur la majeure partie de l'Europe occidentale, au point

la différence entre la croyance et la foi. Dans ce texte, Alain nous expose deux idées qui sont couramment confondues entre-elles. Il y aurait donc deux types de croyances auxquelles se réfèrel’auteur, qu’il développera tout au long du texte. Tout d’abord, on va situer notre attention sur un premier sens du terme « croyance », en s’appuyant sur des expressions du langage courant. Ensuite, on seplongera sur une deuxième partie qui reposera sur l’idée de « foi » et ce que celle-ci représente pour finir

à la religion et à ses croyances en ce sens que raison et foi composent deux ordres différents et incommensurables. · En réalité, il s'agir d'opérer une distinction fondamentale entre la dimension de la raison, de l'intelligence, et celle du coeur. Et c'est notamment l'entreprise pascalienne (qui définit trois ordres différents, tous incommensurables entre eux : l'ordre de la chair, celle de l'esprit et enfin celle du coeur). La foi religieuse est affaire de coeur et non pas de raison. En cela

au Québec. Les deux commissaires, Gérard Bouchard et Charles Taylor, un catholique pratiquant, y défendaient leur point sur ce sujet d’ordre philosophique. Ceci peut donc soulever des questionnements : est-il cohérent pour un philosophe d’avoir la foi religieuse? Les deux discours sont-ils si différents tel que l’annonce Richard Martineau ou présentent-ils des similarités? À mon avis, la religion et la philosophie ont quelques bases en commun, ce qui peut amener une certaine harmonie entre les deux