Bonté

Les parents de Jeanne Le baron Simon-Jacques Le Perthuis des Vauds : le père, qui est fidèle à Rousseau et anticlérical, généreux mais faible : « Sa grande force et sa grande faiblesse, c’était la bonté, une bonté qui n’avait pas assez de bras pour caresser, pour donner, pour étreindre, une bonté de créateur, éparse, sans résistance, comme l’engourdissement d’un nerf de la volonté, une lacune dans l’énergie, presque un vice. » Il est rousseauiste dans son amour pour la nature. Ce personnage est

réponds-moi, Eternel, mon Dieu! Donne à mes yeux la clarté, Afin que je ne m'endorme pas du sommeil de la mort, 4 Afin que mon ennemi ne dise pas: Je l'ai vaincu! Et que mes adversaires ne se réjouissent pas, si je chancelle. 5 Moi, j'ai confiance en ta bonté, J'ai de l'allégresse dans le coeur, à cause de ton salut; 6Je chante à l'Eternel, car il m'a fait du bien.     Proverbe 3 7Ne sois point sage à tes propres yeux, Crains l'Eternel, et détourne-toi du mal: 8Ce sera la santé pour tes muscles, Et un rafraîchissement

cette dernière. La Belle ne prend conscience de son amour pour la Bete que lorsqu'elle pense devoir en etre privée à jamais par la mort. La séparation est une évolution, l'éloignement a mis en évidence tous les autres aspects de la personne, sa bonté et sa vertu. L'amour est comfirmé par le fait que malgré le spectacle du chateau la Belle se retourne vers la Bete dont le danger occupe entièrement son esprit. 2. un conte merveilleux Au XVIII° siècle le conte a beaucoup de succès, le conte merveilleux

l’autobiographie se fonde aussi sur l’histoire familiale (raconter sa propre vie c’est raconter aussi celle de ses géniteurs). Pour ne pas accabler sa mère (car tel n’est pas son but), Sartre utilise la notion de bonté : « Anne-Marie eut la bonté de me cacher son chagrin » (c’est le mensonge par bonté, il est excusable). D’ailleurs, la mère ne parle pas, Sartre ne la fait pas intervenir ni en discours direct ni en discours indirect. Le jeune Jean-Paul, cependant, perçoit que la métamorphose qui a

| | |Ce m’est, je le confesse, une audace bien grande | | |que d’oser de ce cœur vous adresser l’offrande ; | |955 |mais j’attends en mes vœux tout de votre bonté, | | |et rien des vains efforts de mon infirmité ; | | |en vous est mon espoir, mon bien, ma quiétude, | | |de vous dépend ma peine

juger par lui même s’il est bon ou mauvais, car sa socialisation fait en sorte qu’il pense toujours être un homme bon. Chaque homme ici, possède sa vision du bon et du mauvais. Prenons Gandhi par exemple. Lui, étant un symbole de pureté de l’âme, de bonté, un être passif, a réussi, en se socialisant à être un homme bon, et à rester humain. Étant un grand philosophe indien, il prôna la non-violence toute sa vie, il offrit l’indépendance à l’Inde , sans violence ni menaces, à l’aide de grèves de la faim

l’éternité: « Dieu de tous les êtres, tous les mondes, tous les temps ». L’omniscience et la sagesse: « si égales devant toi » l. 10 (les différences sociales ne comptent pas pour Dieu) « Car tu sais… » l.18. La bonté: « à toi qui a tout donné » l.3, « tu ne nous as point donné un cœur » l.5, « ta bonté qui nous a donné » l.24. 1. 2. Les hommes définis à l’inverse: La petitesse: « les atomes appelés hommes » l.10, « perdues dans l’immensité, imperceptibles au reste de l’univers  » l.2. L’insuffisance

par Michel de Montaigne que ce soit «la dévotion, l'observance des lois, la bonté, la libéralité, la franchise,» ou encore « la hardiesse et au courage, quant à la fermeté, la résistance, la résolution contre les douleurs et la faim et la mort ». En conclusion, on constate que ce sauvages sont perçus de manière positive parce qu’ils ont su préserver une vie simple et honnête. Leur naïveté, leur franchise, leur bonté, leur courage et leur désintérêt pour les biens matériels font d’eux un modèle

| |[pi|Le vrai mérite ne réside pas dans la richesse, le rang social des privilégiés, mais dans la bonté du coeur, "la vertu" et "la | |c] |raison".  | |[pi|Adresse aux "honnêtes gens" : les "exemples" de pitié, de bonté, de pardon  sont donnés par les humbles. | |c] |

PITIE Selon Rousseau, c’est la pitié qui lie les hommes entre eux, pitié qui est une manifestation de la bonté naturelle de l’homme. Cette bonté consiste à ne faire aucun mal à autrui (sauf en légitime défense), c’est donc plus de la « non agression gratuite » que de la bonté au sens chrétien du terme. La pitié, qui est une manifestation de cette bonté, va faire prendre conscience à celui qui regarde un homme en difficultés, que ces mêmes difficultés pourraient lui arriver à lui