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internaliser le coût des externalités : normes (obligation ou interdiction), taxation (par exemple taxe carbone, bonus-malus écologique sur les automobiles adopté par le Grenelle de l'environnement en France...) et le système de marché de droits à polluer (protocole de Kyoto – 1997). • La prise de conscience des consommateurs encourage les entreprises à intégrer des préoccupations environnementales dans leur processus de production. B. La nécessaire volonté politique pour concilier croissance et développement

active, tout en améliorant le confort de vie. CONCLUSION L’avenir de la planète et donc celui de l’homme dépendra des mesures qui seront prises pour combattre le réchauffement climatique. Des mesures doivent être prises au niveau mondial (protocole de Kyoto), européen, national et local (développement des énergies renouvelables…). Mais nous devons aussi au niveau individuel changer notre mode de vie (transports…)

concernant les énergies, la part des énergies propres et ainsi renouvelables prend dès lors tout son sens. Le taux de renouvellement de l’énergie est le second indicateur de mesure. - les émissions de gaz à effet de serre : après la signature du protocole de Kyoto, la plupart des pays du globe se sont entendus pour réduire leurs émissions de gaz à effet de serre. Il est donc devenu important de respecter cet accord visant à protéger la planète. Les pays respectant leurs engagements bénéficient donc

climatique ? -Emettre moins de CO2 ( Remplacer les énergies fossiles par des renouvelables (éoliennes, solaire,.) ( Économiser l’énergie ( Respecter le protocole de Kyoto -Absorber le CO2 ( Protéger les puits de Carbone naturels (forêts, océans,…) ❖ Les causes naturelles de changements climatiques sont : a) Les causes astronomiques : Rappel : Paramètres astronomiques actuels : La Terre tourne

écosystèmes, en premier lieu des vastes forêts équatoriales, sont autant de risques liés au développement économique à l'échelle du monde. Or les tentatives de maîtrise des enjeux écologiques n'ont pas donné de réels résultats. Par exemple, le protocole de Kyoto (1997) sur la réduction des gaz à effet de serre ne concerne pas tous les pays et n'a pas été ratifié par les États-Unis, le plus gros émetteur dans le monde. De nombreux pays du Sud, comme le Brésil ou la Chine, estiment qu'ils peuvent

ou leur dégradation, ainsi que nombre de pollutions affectant le bien-être des populations, surtout les plus pauvres. La conférence de l’ONU de Rio de Janeiro (1992) a adopté une convention cadre sur le changement climatique qui a débouché sur le Protocole de Kyoto (1997). Celui-ci a fixé des objectifs de réduction des émissions des GES de 5,2% en moyenne, pendant la période 20082012 par rapport au niveau de 1990, aux 36 pays signataires. Trois mécanismes ont été retenus pour les atteindre : 1) la

Contribution des collectivités locales au  financement de quelques stations de  surveillance de la qualité de l’air. • Contribution à travers le partenariat  international Mécanisme de Développement Propre (MDP) Le MDP est un mécanisme de flexibilité mis en place dans le cadre du Protocole de Kyoto permettant aux pays développés d'obtenir des crédits de réduction des émissions en finançant des projets de réduction des émissions des gaz à effet de serre dans ces pays. Ce mécanisme permet de mobiliser une partie des  financements nécessaires à

de compensation économique, mais principalement de justice réparatrice – c'est-à-dire de rendre leur intégrité aux personnes et aux membres de la communauté de vie sur Terre. Nous déplorons la tentative faite par un groupe de pays d’annuler le Protocole de Kyoto, seul instrument légal inaliénable spécifique pour la réduction des émissions de gaz à effet de serre des pays développés. Nous avertissons le monde que, malgré leur obligation légale, les émissions des pays développés, au lieu de réduire

coalition de pays en développement, travaille sur une proposition visant à adopter à Cancun un mandat d’aboutir à un tel accord global. Néanmoins, il pourrait conditionner cette proposition à l’adoption par les pays riches d’une prolongation au protocole de Kyoto, initiative qui mettrait Washington, qui n’a jamais adhéré, au pied du mur. Des progrès ont tout de même été enregistrés et sans doute faut-il s’en contenter, malgré son côté moins sexy. Ainsi les parties ont-elles avancé sur la création

des matières premières ont forcé les nations à prendre des décisions. L’énergie nucléaire, représentant plus de risques que d’avantages (Fukushima à l’heure actuelle), a été écartée au profit des énergies renouvelables. [pic] Depuis 1997, le protocole de Kyoto a été mis en place et ratifié par 182 pays. Néanmoins la Chine et les Etats-Unis, qui sont les deux pays rejetant le plus de dioxyde de carbone, ne l’ont toujours pas ratifié. Pourtant, certains projets ont montrés l’importance des alternatives