Booz Endormi

contemporain. Ce jeu des rythmes, des sons, des images, ces harmonies imitatives, ce phénomène d’écho entre le sens et les sons qui le portent procurent un intense plaisir à celui qui y est sensible. Des vers comme ceux que Victor Hugo a placés dans Booz endormi : Un frais parfum sortait des touffes d’asphodèle ; Les souffles de la nuit flottaient sur Galgala. jouent avec délicatesse sur les allitérations de F et de L, évoquant en même temps que la nuit tiède, la douce brise qui parcourt le paysage

seul verbe prend en charge deux compléments qui appartiennent à des registres sémantiques différents (souvent un sens abstrait et un sens concret); voir aussi anacoluthe et syllepse. « Vêtu de probité candide et de lin blanc. » — Victor Hugo, Booz endormi sémantique l’allusion [littéraire] mot ou expression qui fait appel par analogie à une chose connue : un événement, un personnage, un ouvrage, etc. pour illustrer le discours. (voir aussi antonomase) « On ne poussa jamais plus loin la foi promise

seul verbe prend en charge deux compléments qui appartiennent à des registres sémantiques différents (souvent un sens abstrait et un sens concret); voir aussi anacoluthe et syllepse. « Vêtu de probité candide et de lin blanc. » — Victor Hugo, Booz endormi sémantique l’allusion [littéraire] mot ou expression qui fait appel par analogie à une chose connue : un événement, un personnage, un ouvrage, etc. pour illustrer le discours. (voir aussi antonomase) « On ne poussa jamais plus loin la foi promise

menstruel». Cette obsesion ne manque pas d’être inquiétante car le soleil levant, s’il représente une image traditionnelle de l'espoir, est aussi celui d’une virilité affirmée (« Quand on est jeune, on a des matins triomphants » regrettait Hugo dans ‘’Booz endormi’’). Le poème nous racontant en quelque sorte une journée de vingt-quatre heures, les deux derniers vers rappellent les deux premiers et les recoupent car on passe d’un premier matin à un second, b) derniers vers et dernier matin, t : «Adieu Adieu»

un flux menstruel. Cette obsesion ne manque pas dtre inquitante car le soleil levant, sil reprsente une image traditionnelle de lespoir, est aussi celui dune virilit affirme (Quand on est jeune, on a des matins triomphants regrettait Hugo dans Booz endormi). Le pome nous racontant en quelque sorte une journe de vingt-quatre heures, les deux derniers vers rappellent les deux premiers et les recoupent car on passe dun premier matin un second, b) derniers vers et dernier matin, t Adieu Adieu (sous-entendu

menstruel». Cette obsesion ne manque pas d’être inquiétante car le soleil levant, s’il représente une image traditionnelle de l'espoir, est aussi celui d’une virilité affirmée (« Quand on est jeune, on a des matins triomphants » regrettait Hugo dans ‘’Booz endormi’’).Le poème nous racontant en quelque sorte une journée de vingt-quatre heures, les deux derniers vers rappellent les deux premiers et les recoupent car on passe d’un premier matin à un second, b) derniers vers et dernier matin, t : «Adieu Adieu»

menstruel». Cette obsesion ne manque pas d’être inquiétante car le soleil levant, s’il représente une image traditionnelle de l'espoir, est aussi celui d’une virilité affirmée (« Quand on est jeune, on a des matins triomphants » regrettait Hugo dans ‘’Booz endormi’’). Le poème nous racontant en quelque sorte une journée de vingt-quatre heures, les deux derniers vers rappellent les deux premiers et les recoupent car on passe d’un premier matin à un second, b) derniers vers et dernier matin, t : «Adieu

Brillait à l'occident, et Ruth se demandait, Immobile, ouvrant l'œil à moitié sous ses voiles, Quel Dieu, quel moissonneur de l'éternel été Avait, en s'en allant, négligemment jeté Cette faucille d'or dans le champ des étoiles. HUGO, « Booz endormi », La Légende des siècles. 2. Les figures d'opposition Exercices Exercice 23 : Observez et étudiez la figure de l'antithèse dans ces vers : distinguez l'anti thèse des deux parties de la strophe, les termes antithétiques dans la deuxième partie

abondante, mais surtout le texte pastiche abondamment les autres textes. On retrouve dans le roman des poèmes de Queneau lui-même (« Si tu t'imagines », tiré de L'Instant fatal, p. 10) ou de Victor Hugo (« Les Djinns », tirés des Orientales , p. 84 ; « Booz endormi » tiré de La Légende des siècles, p. 102), des films (Le Ballon rouge d'Albert Lamorisse est cité p. 45 sous l'appellation « ballons Lamoricière », qui évoque aussi le nom du général Christophe Louis Juchault de Lamoricière), des pièces de théâtre

Maisonneuve et Larose, 2001. – 48 p. – (Victor Hugo et l’Orient). UBERSFELD, Anne. – Le Roi et le bouffon : étude sur le théâtre de Victor Hugo. – J. Corti, 2001 – 851 p. – (Les Essais). 3. Œuvres particulières Booz endormi GRIMAUD, Michel. – Poétique et érudition : microlecture du « Booz endormi » de Victor Hugo. – Lettres modernes, 1991. – 161 p. – (Archives des Lettres modernes. Archives Victor Hugo). Bug-Jargal NTSOBE, André Marie. – « Bug-Jargal » de Victor Hugo : étude historique et critique. –