Bouddhisme tibétain

RESUME : Londres, fin des années soixante-dix. Haroon Amir, dandy indien de banlieue, enseigne le bouddhisme à des Londoniens néophytes et ébahis. Expériences sexuelles, culturelles et hallucinogènes se mêlent gaiement pour le plus grand plaisir de Karim, fils du Bouddha. Mais celui-ci est tiraillé par sa double origine, indo-musulmane et anglaise. D'un côté, il y a la communauté "paki", en mal d'intégration avec l'oncle Anwar, Jamila la cousine militante et Changez, l'époux déboussolé. De l'autre

Le Japon en chiffres   Capitale Tokyo Superficie 372.487 km² Habitants 127.417.244 (en 2005) Habitants de la capitale 12.379.928 Densité de la population 335 hab./km² Religion Shintoïsme et bouddhisme, petite minorité chrétienne Heure au Japon   Le Japon a huit heures en plus par rapport à la France (si en France il est 12 heures, au Japon il est 20 heures), et cette différence d’horaire passe à sept heures durant notre période d’heure légale. Langue   La langue officielle est le japonais

Les ouvrages de Murakami révèlent une forme de surréalisme très rafraichissante qui, en se fondant sur une mélancolique banalité quotidienne, arrivent à former des récits originaux. Il utilise cette idée du lien qui relie dans la pensée asiatique (bouddhisme, shintoïsme) tous les événements et les êtres. Une action provoque même de façon lointaine et indirecte une réaction dans l'instant, dans la réalité ou ailleurs, dans un autre monde que Murakami sait parfaitement rendre. Au fil de ses romans, on

d'un modèle approchant un idéal théorique, tout comme le silence absolu ! Pour en revenir à la théorie quantique, les physiciens considèrent que le vide possède une énergie : cette idée nous renvoie au concept de vacuité développé dans le Bouddhisme : se remplir de vide …dans le cadre de la méditation, essayer d’interrompre le brouhaha extérieur, demander le silence à l’intérieur, arrêter le temps, et se sentir juste être présent au monde. Ce vide là, c’est le lâcher prise, le détachement

alors une illusion d’avoir comme règle de vie l’idée d’accomplir tous ses désirs, à vrai dire le seul qui nous importe serait le désir de nous libérer des désirs et de leur incohérence passionnelle. Faut-il aller plus loin encore et songer comme le bouddhisme nous y invite à nous libérer du désir même d’être libre du désir ? Ou bien faut-il considérer qu’il y a en nous une insatisfaction qui au cœur du désir le transcende dans ses formulations habituelles qui sont souvent empruntées aux autres et qui

  -550 * Perses Cirus fonde l’empire Achéménide * Confucius   -539 * fin de Babylone (et donc des chaldéens) prise par les perses   -525 * Siddharta Gautama reçoit l’illumination à Bodh-Gaya. * il devient Bouddha fondateur du Bouddhisme après le Sermon de Benares.   -509 * début de la république romaine   -490 * Les grecs forcent les Perses à se retirer en Asie Mineure * Lao tseu (Laozi) et le Taoisme   -427 * Naissance de Platon   -408 * Platon rencontre

préoccupation envers eux est donc avantageuse mais l’attachement à ceux-ci est nettement préjudiciable et se fait terreau de toutes les souffrances sous toutes les formes.  L’attachement chez l’adulte, dit « upādāna » en Pali et qu’on nomme « tchac » en tibétain, est synonyme de convoitise et ramène exclusivement à soi. Il représente une saisie sur l’objet et c’est le corollaire de l’envie égocentrique. Contrairement au désir, l’envie est anxiogène et toujours accompagnée de force et de tension. On s’accroche

Nous allons étudier le livre « 101 expériences de philosophie quotidienne » de Roger-Pol Droit (né en 1949- Encore vivant aujourd’hui). Les éditions choisies sont Odile Jacob, et le livre est paru en 2001. C’est un livre de philosophie, comportant des expériences (et non des chapitres) de une à deux pages, avec ici, comme le titre l’indique, 101 expériences. L’enjeu de ce livre est de réaliser des expériences simples de la vie quotidienne, pour apprendre à philosopher par soi même. Il consiste

shinigami, on ne peut rapprocher leur rôle de celui, par exemple, des dieux Izanami ou Hadès. Autres divinités japonaises de la mort Les divinités suivantes ne sont pas appelées Shinigami: Enma (-ō, -daiō) (閻魔、閻魔王、閻魔大王) Importé du Bouddhisme, son origine est le Seigneur de la Mort Yama de l'hindouisme. Il juge ceux qui vont au paradis (Nirvāna) ou en Enfer. Dans Dragon Ball, le roi Enma est le chef du purgatoire et décide qui va en Enfer, au Paradis ou s'entraîner avec Maître Kaïô.

Le confucianisme et le bouddhisme étaient venus se greffer sur la souche spirituelle autochtone (culte des esprits) fortement enracinée et très vivace même aujourd'hui. Dans le village traditionnel, les trois éléments - souche autochtone animiste, confucianisme et bouddhisme - s'harmonisent et s'amalgament. En particulier, le confucianisme et le bouddhisme se complètent en répondant à deux besoins de l'homme : le confucianisme, c'est le social et la raison, le bouddhisme, l'individu et le sentiment