Bouffon

personnages un roi et un bouffon Folial. Dès les premières pages, le roi semble maladif et colérique sans raison apparente, il interdit que les cloches sonnent et ordonne qu’on fasse taire les chiens par n’importe quel moyen. Après s’être entretenu avec le moine à propos d’une personne mourante, le roi appelle son bouffon. Celui-ci ne parvient pas à l’apaiser, c’est alors qu’il le questionne et oblige à rentrer dans un jeu pervers de domination et soumission. Le bouffon et le roi étant deux figures

compte. 2- La solitude désespérée du bouffon Les lignes 14 & 15 nous donnent la clé du texte, la ligne 14 représente le début du texte et « être affligé » (l.15) nous prépare à la fin du texte. Les lignes 16 à 20 nous décrivent le bouffon et son rôle. A partir de « tout ramassé » jusqu’à la fin, on nous exprime la solitude de ce bouffon. On peut donc distinguer deux parties : le rôle du bouffon et sa solitude. a) Le rôle du bouffon Le bouffon est le produit de la civilisation qui a

composé de deux extraits de journaux datant de 2010 , l'un intitulé « Quelle politique du rire ? », publié dans Le Monde, le 29 mai 2010 de Jean-Marc Moura ; l'autre publié dans Libération, le 27 mars 2010 intitulé « Quand les politiques bouffent du bouffon » de Bruno Icher et Gilles Renault, puis un extrait de l'ouvrage « Conclusion » de Yves Derai et Laurent Guez, Le pouvoir des Guignols de 1998 ; et enfin, un dessin qui a pour nom «  Bonne année 2009 » du dessinateur Plantu. Nous allons donc dans

où il se trouve d’inventé toujours plus tout en assumant des responsabilités. * Les observations sur les limites de leurs pouvoirs sans perdre de vue la première fonction du rire : le divertissement. | Entretien journalistique * La parole du bouffon sur le pouvoir de la dérision. * L’humour nous facilite d’aborder les sujets sensibles. * Utiliser la décontraction du public venu rire pour aborder des sujets de polémique. * Utiliser l’autodérision comme signe d’intelligence et d’ouverture

que la chaleur, rendant visibles les parfums, les fait monter vers l'astre comme des fumées.    Cependant, dans cette jouissance universelle, j'ai aperçu un être affligé.    Aux pieds d'une colossale Vénus, un de ces fous artificiels, un de ces bouffons volontaires chargés de faire rire les rois quand le Remords ou l'Ennui les obsède, affublé d'un costume éclatant et ridicule, coiffé de cornes et de sonnettes, tout ramassé contre le piédestal, lève des yeux pleins de larmes vers l'immortelle Déesse

"Le Fou et la Vénus" comporte sept strophes réparties autour d’un lien logique central : " Cependant ", qui souligne l’opposition entre la magnificence de la nature et le désespoir et la solitude du bouffon ; mais aussi entre la vision d’ensemble et détaillée centrée sur deux personnages : le bouffon et la Vénus dans le rayonnement d’une somptueuse journée d’été. La description de la nature montre qu’il s’agit d’un monde idéal. La première phrase traduit l’admiration du narrateur devant le spectacle

sont ridicules semblables à ceux d’un bouffon. Arlequin se comporte comme un bouffon. Il est goinfre, poltron, fanfaron, paresseux, cupide... Il est archétype même du mauvais valet bouffon. .Il fait preuve de peu d'intelligence, il est bête, famélique et crédule. Nous retrouvons toujours Arlequin dans le rôle de l'humble serviteur Arlequin est un bouffon dans la commedia dell‘arte car son costume est son caractère regroupe bien les traits d’un bouffon « vêtement avec des losanges multicolores

que la chaleur, rendant visibles les parfums, les fait monter vers l'astre comme des fumées. Cependant, dans cette jouissance universelle, j'ai aperçu un être affligé. Aux pieds d'une colossale Vénus, un de ces fous artificiels, un de ces bouffons volontaires chargés de faire rire les rois quand le Remords ou l'Ennui les obsède, affublé d'un costume éclatant et ridicule, coiffé de cornes et de sonnettes, tout ramassé contre le piédestal, lève des yeux pleins de larmes vers l'immortelle Déesse

attend la mort en regardant l’espace dans lequel il ne peut s’élancer »2. Indiquez ce qu’était un bouffon ou fou du roi. 0,5Le bouffon ou foi du roi était un personnage comique, dont la profession était de faire rire les gens par ses attitudes, par son langage. A l’époque les rois avaient leur bouffon attitré. Ils étaient les seuls à pouvoir se moquer de leur souverain sans conséquences. Les bouffons se donnaient souvent en spectacles lors de grands banquets où plusieurs vassaux festoyaient au côté

I : La rencontre. 1) - l’attaque d’Octave : - la réponse de Coelio : 2) –l’ enchaînement des réponses : effet de miroir.( à compléter) Octave Coelio O fou que tu es Tu as un pied de D’où te vient N’as-tu pas honte   Arlequin, le bouffon Pierrot, l’amoureux II : La requête de Coelio. - acceptation d’Octave : - La sollicitude inquiète de Coelio : - apparition du champ lexical de la mort : III : Deux autoportraits, comme deux parenthèses dans l’action. 1) Octave : a- structure de la tirade.