Bouffon

fait que les indiens sont des esclaves nés et doivent être dominés ?    Le bouffon    Le supérieur    Le colon    Le légat    Le pape Q13. Le légat fit venir trois indiens pour    Les convertir    Faire des expériences    Leur faire apprendre la religion des chrétiens    Les tuer    Personne n'est venu Q14. Après l'apparition d'un nouveau personnage le légat dit : >. Qui est ce personnage qui apparaît ? Le bouffon  Q15. Que fait-il et qui ne plaît pas aux chrétiens ? Ne sachant pas

fait venir un couple d'Indiens et leur fils de façon à montrer que ce sont des "humains normaux". C'est ainsi que le légat du pape fait venir un bouffon, le meilleur d'entre tous. Car selon lui une personne est dotée de rire, si les Indiens ne savent pas rire cela voudrait dire qu'ils sont pas des fils de Dieu. Les Indiens n'ont pas ri aux farces du bouffon, mais lorsque le Légat tombe ils rirent. Cela montre donc au Légat et au Supérieur que les Indiens sont des fils de Dieu. Après cette journée

Arlequin esprit critique Arlequin occupe dans la commedia dell’arte un rôle de zanni, c’est-à-dire de valet bouffon et comique. Il se caractérise par sa niaiserie et sa balourdise, par son attachement constant aux plaisirs du corps et à leur satisfaction immédiate : goût prononcé pour la nourri­ture et la boisson, pour le sommeil et l’amour. Cette animalité du personnage se retrouve, à des degrés divers, dans toutes les pièces de Marivaux où il apparaît. Par sa naïveté, son insouciance, sa bêtise

changé mais l’intensité est la même. Le vulgaire reste le vulgaire. Le burlesque est immuable ! Nous connaissons tous les bouffons. Êtres aux allures généralement repoussantes et aux comportements ridicules et moqueurs destinés à amuser les rois et leurs entourages. Ainsi dont le ridicule et la moquerie vecteurs du rire ? D’accord. Mais pas n’importe lesquels…Les bouffons devaient se ridiculiser eux-mêmes, être maladroits, stupides, ils pouvaient se moquer du peuple, se moquer d’eux-mêmes, se moquer

divertir les invités entre les services. Finalement, il serait impardonnable de ne pas parler des bouffons qui, au début, n'étaient que de pauvres individus simples d'esprit et difformes, dont la seule présence faisait rire les plus puissants. Par la suite, la fonction de bouffons s'est raffinée. A partir du XIIIe siècle, il s'agissait d'une fonction très délicate réservée au plus habile. En effet, les bouffons osaient dire tout haut au souverain ce que tout le monde disait tout bas, et ce, sans se voir

me parut possible et convenable que le maître d’une maison riche pût avoir de tels serviteurs. Et celui qui habillé en bouffon, avec un perroquet au point ? Il est là comme ornement Que fait le troisième personnage ? Il se cure les dents avec une fourchette. [...] Est-ce que cela vous parait convenable, dans la dernière Cène de notre seigneur, de représenter des bouffons, des Allemands ivres, des nains et autres niaiseries ? [...] Ne savez-vous pas quen Allemagne et autres lieux infestés d’hérésie

et Horace sont réunis, la jeune fille a retrouvé son père => Arnolphe est seul... (La mise en scène peut ainsi jouer sur la solitude du personnage...). C- Un personnage voulu comique • Pour Molière, Arnolphe était conçu comme un bouffon, un vieux barbon dont on se moque, un vieux ridicule. => Lorsqu'il le jouait, certains témoignages précisent que Molière roulait de manière extrêmement prononcée ses yeux et que cela faisait beaucoup rire le public. Arnolphe peut faire partie du comique

le classissime et ses différentes règles, et en quoi cette pièce heurte t’elle la morale. Tout d’abord, Molière multiplie les registres. Le registre comique bien sûr, avec principallement le personnage de Sganarelle, qui est l’héritier du vallet bouffon du théâtre espagnol ( gracioso), de part premièrement sa couardise. En effet, il fait preuve de lâcheté « je te fais cette confidence avec franchise (…) mais s’il fallait qu’il en vîint quelque chose à ses oreilles, je dirais hautement que Quelle

la chaleur, rendant visibles les parfums, les fait monter vers l'astre comme des fumées.     Cependant, dans cette jouissance universelle, j'ai aperçu un être affligé.     Aux pieds d'une colossale Vénus, un de ces fous artificiels, un de ces bouffons volontaires chargés de faire rire les rois quand le Remords ou l'Ennui les obsède, affublé d'un costume éclatant et ridicule, coiffé de cornes et de sonnettes, tout ramassé contre le piédestal, lève des yeux pleins de larmes vers l'immortelle Déesse

« courbettes » (vers 3), « bouffon favori » (vers 7), « son peuple » (vers 6), « dames d’atour » (vers 10). Le bouffon est là pour les distractions, les dames d’atour pour réveiller sa sensualité. Toute la cour est au service du roi mais semble impuissante à le sauver. II. L’expression de la mélancolie L’ennui Comme le poète le dit au vers 4, il s’ennuie. En fait, il s’agit du roi qui s’ennuie. Le roi n’a plus de désir. Rien ne le distrait, ni la chasse (vers 5), ni le bouffon (vers 7), pas même