Bourrage de crâne

ART ET LA PREMIERE GUERRE Art et propagande de guerre : le « bourrage de crane » [pic] [pic] à comparer à une vignette de Tardi [pic] [pic] Art d’après-guerre Apollinaire : calligrammes, 1918 ( à contre-courant L'adieu du cavalier     Ah Dieu ! que la guerre est jolie     Avec ses chants ses longs loisirs     Cette bague je l'ai polie     Le vent se mêle à vos soupirs     Adieu ! voici le boute-selle     Il disparut dans un tournant     Et mourut là-bas tandis

vit un enfer . de nouvelles armes . des champs de bataille meurtriers : Verdun 1916 b. Une guerre totale . adapter l’économie à la guerre . rôle des femmes . à l’arrière : rationnement, censure et bourrage de crâne III. 1917 : le tournant de la guerre a. La lassitude . mutineries . inflation à l’arrière et grèves . Des hommes résolus : Pétain et Clémenceau b. La guerre devient mondiale . Combats dans les

cherche à frapper juste tout est calculé c’est de la stratégie commerciale et non de l’art ! Ensuite la publicité tente de susciter un désir, chose que l’art ne fait pas, par exemple pour Noel toutes ces publicités pour enfants qui devient du bourrage de crâne… Ce que ne fait jamais une œuvre d’art l’œuvre d’art nous laisse libre. Surtout, une œuvre d’art crée des émotions ce que ne créer pas une publicité qui elle veut vendre, la publicité est plus de l’esthétique que de l’art, que la pub reprenne

politique de l’information cherche à mobiliser l’opinion pour gagner la guerre, dans le cadre national. Ainsi en façonnant l’information, le front intérieur se doit de tenir dans une guerre toujours plus longue (on parle ici du concept de « bourrage de crâne »). Cette information à également d’autres buts, comme gagner la coopération des opinions étrangères alliées et neutres, afin d’assurer leur engagement dans la guerre, ainsi qu’influencer et démoraliser l’opinion publique adverse. Il est donc

s’appelle la propagande. Elle nous offre une nouvelle vision de l’ennemi, celui d’une «  bête féroce ». Son 1er principe est de faire croire que l’armée française et bien meilleure que l’armée allemande. La propagande poussée à l’extrême conduit au bourrage de crâne. Son deuxième principe était de faire croire que c’est une guerre qui n’est meurtrière que par l’ennemi. Son troisième principe consistait en ce que les mots n’ont pas la même signification suivant qu’ils s’agissent des alliers ou des ennemis

L’embrigadement de la jeunesse La jeunesse devient un cible privilégiée de la propagande (doc.1). Les enfants sont embrigadés très jeunes, retirés de la garde de leurs parents et intégrés dans des groupes éducatifs para-militaires où l’on pratique le bourrage de crâne. Ils seront ainsi des auxiliaires dévoués du pouvoir, dévoués à leur chef, et prêts à se sacrifier ou à trahir leur famille, si nécessaire en dénonçant leurs parents, pour servir le régime. II. Une société qui vit en permanence sous la terreur

(USA) * Mobilisation de l’arrière : les femmes et les enfants. Les femmes qui sont employées dans le domaine de l’agriculture, les usines « Munitionnettes » et dans les hôpitaux « dames blanches ». * Mobilisation des esprits : censure et bourrage de crâne. c- Une guerre fondatrice de la violence. Par l’horreur des combats et la souffrance des hommes : * Sauvagerie des combats dans les tranchées. * Armes blanches, lance flamme, gaz, grenades. * Les conditions de vie des « poilus » :

des sectes et des gourous. La secte Moon a un chiffre d’affaire de 228 000 euros. b. psychologiques : déstabilisation mentale ; but : affaiblir l’adepte par de la relaxation, une discipline rigoureuse, des actes répétitifs, du bourrage de crâne, des souvenirs pénibles et humiliants, l’obéissance, la manipulation psychologique et endoctrinement. c. physiques : mauvais traitement, atteinte à l’intégrité physique, coups et blessures, séquestration, non assistance

trois recours à une propagande omniprésente et obsédante ainsi qu'à un embrigadement de la société. Les films, les affiches, les émissions de radio et les journaux glorifiaient l'œuvre du parti au pouvoir : la population subissait un véritable bourrage de crâne car le parti souhaitait le soutient du peuple. Dès leur plus jeune âge, les enfants étaient embrigadés dans des organisations qui tentaient de les faire devenir de bons sujets. C'était le rôle des Jeunesses Hitlériennes en Allemagne, des Komsomols

propagande pour mobiliser leurs sociétés. Des campagnes incitent les femmes et les enfants à remplacer les hommes partis au front, notamment dans les champs et les industries de guerre. L’Etat contrôle l’information par la censure et organise le ‘’bourrage de crâne’’ pour ne pas décourager la population face aux privations et aux souffrances liées au deuil. De même, l’Etat intervient dans l’économie afin d’organiser au mieux l’effort de guerre. Il contrôle l’approvisionnement du pays, encourage les entreprises