Bout-rimé

Le Chêne et le Roseau est une fable écrite par le poète français Jean de La Fontaine. Elle a été publiée pour la première fois en 1668 dans le premier recueil des Fables de La Fontaine et en est la vingt-deuxième fable du Livre I de cette œuvre. Cette fable, comme bien d'autres de l'auteur, se caractérise par son appartenance aussi bien à l'écriture poétique qu'à l'écriture narrative tout en présentant une dimension argumentative. En effet, la présence de personnages, d'un narrateur ou encore l'utilisation

Les formes poétiques du Moyen-âge Le lai: Le lai est une forme fixe de la poésie apparu au xiie siècle qui peut désigner plusieurs genres de poésie. Il existe deux types de lai. Le lai lyrique et le lai narratif. Le lai narratif est un lai qui abrège un récit comme le lai de Tristan et Iseut. Le lai lyrique est un lai composé d'octosyllabes, sans contraintes de rimes. Il devient une chanson composé de stances ( nombre défini de vers que l'on retrouve dans tous le poème) . Il devient vraiment

figures de styles et interdit le hiatus ( juxtaposition de 2 voyelles dans 1 mot ou entre 2 mots) et l’enjambement. C’est lui qui impose la césure à l’hémistiche dans l’alexandrin. Il interdit les chevilles ( mots de remplissage: ‘ Eh,Oh’ ) Il veut une rime simple sans jeux de mots. Proverbe de Malherbe: «  Ce que Malherbe écrit dur éternellement » «  Mais elle était du monde, où les plus belles choses      Ont le pire destin ;Et, rose, elle a vécu ce que vivent les roses,      L’espace d’un matin

accessible et moins emphatique. A la même époque Jules Laforgue dans La Cigarette, poème édité dans Le sanglot de la terre lui aussi respecte la forme classique du sonnet: emploi de l’alexandrin, deux quatrains suivi de deux tercets, reprise de la rime. Il préserve ainsi la musicalité et le rythme. Cependant, la fantaisie du vocabulaire : tantôt lyrique ("résigné, sans espoir, à mon sort, en attendant la mort »), tantôt surprenant (« éléphants », « moustiques ») et tantôt humoristique ("sornettes

INTRODUCTION : Pierre de Ronsard, 1524-1585, fut un grand poète du XVIème siècle. Contemporain de Du Bellay, ils suivirent les mêmes études, et fondèrent ensemble un groupe de 7 poètes : La pléiade. Ils avaient tous en commun le désir d’enrichir la langue française. Sa vie fut marquée en particulier par 3 femmes qui sont Marie, Cassandre et Hélène, pour lesquelles il écrivit beaucoup. On retient d’ailleurs le recueil des sonnets à Hélène. Il composa ses poèmes surtout sur le thème de la

la nudité de Junie qui n’est visiblement pas pour lui déplaire. Et si l’on se fie à la scène de violence qui vient d’avoir lieu, on pourrait même dire que le personnage de Néron est sadique. Ce nouveau trait de son caractère est confirmé lorsque la rime oppose « Grâce » et « menace », cela montre à quel point il peut passer de la douceur à la violence avec rapidité. S’infligeant lui-même cette souffrance, il en devient presque masochiste. Néron achève sa tirade par une métonymie : « Mes yeux, sans

Question préalable « Recueillement » Baudelaire sujet des S du 28 février 2012 Analyse du corpus Le corpus est composé de trois textes. Le premier que l’on peut considérer comme le texte d’inspiration, est un sonnet de Baudelaire ( 1821- 1867), extrait des Fleurs du mal ( 1868). Ce recueil fut condamné comme immoral à sa publication en 1857, ce qui n’empêcha pas le poète de continuer à y travailler toute sa vie. Le deuxième poème est un sonnet de Philippe Jaccottet ( né en 1925), poète et traducteur

I/ Une lamentation. A) Déplorer son sort. • « les pauvres » « de la confrérie » : des êtres condamnés et jugés. • Peine de la pendaison à venir évoquée • Décomposition du corps : os -> cendre -> poudre. B) La peur de la mort • Le terme « Epitaphe » (l’expliquer) : il s’agit de la stèle sur laquelle est marquée une phrase d’adieu de la personne défunte. • Période de la peste et de la guerre de 100 ans (1337 à 1457 ?) : nombreux morts. • L’importance du salut de l’âme et la peur de

viei/lle/ a/ccrou/pie, Re/gret/tant/ mon/ a/mour/ et /vo/tre/ fier/ dé/dain. » 2) Rimes et sonorités La rime est le retour d’un même son en fin de vers. La qualité de la rime dépend du nombre de sons communs : pour un son, elle est dite « pauvre » (bijou/caillou) ; pour deux sons, elle est dite « suffisante » (lion/émotion) ; pour trois sons, elle est dite « riche » (village / volage) - La rime est « féminine » quand elle se termine par un e muet (ange/fange), dans tous les autres cas, elle est

-Tournures exclamatives : v.9-10 -souffrance de l’albatros par humiliation et conscience de sa déchéance « maladroits et honteux » v.6, « veule »v.9 ; rappel de sa grandeur passée et de sa misère présente au v.10 -jeu phonique entre césure du v.9 et la rime du v.10 : « ailé »v.9 et « laid »v.10. -oxymore : « l’infirme qui volait » v.12. Partant d’une anecdote, le poète met en lumière une symbolisation et une identification poète/albatros. II/ Du Récit au symbole A/ Refus du pittoresque