Braguette

quoi s'articule la conformité des jeunes puis de quelles manières les jeunes cherchent néanmoins à se différencier. Branchés. Allumés, disjonctés. En jupette, en jeans; habits constellés de diam‘s, talons vertigineux. Piercings aux oreilles, braguettes ouvertes... Du rouge aux lèvres, du noir aux ongles. Des tailles de guêpes, des caleçons... Non, les jeunes ne vont pas nus! Pour nos enfants rois, que leur charge oblige à confondre être et paraître, l’habit fait bel et bien le moine. Et quel

« Jean », « Jeannot » ou les patronymes « Grosjean » signifiaient dans l’ancienne langue « cocu ». La Fontaine fait référence, sans doute, à la célèbre harangue de Janotus de Braguemardo dans « Gargantua ». Mais aussi à Jehan Jeudi, qui habite la braguette de Panurge dans le roman « Pantagruel » (chapitre XXI) : il désigne le pénis de ce héros de la chronique pantagruélienne obsédé par le macrogénitomorphisme des Lorrains. Enfin, dans le « Quart Livre » de François Rabelais, il est bien question d’un

ils lui léchaient , , ; ; badigoinces 11 Et sabez quoi, hillots ls ? Que mau de pipe vous bire 13 ce petit paillard toujours tâtonnait ses gouvernantes c'en dessus dessous, c'en devant derrière, harri bourriquet, et déjà commençait exercer sa braguette, laquelle un chacun jour ses gouvernantes ornaient de beaux bouquets, de beaux rubans, de belles fleurs, de beaux flocquars 14 et passaient leur temps à la faire revenir entre leurs mains, comme un magdaléon d'entrait ,s , les . ! , — i. 11

rouge de colère, le saisit par le col et le traine vers la sortie. — Chez monsieur le directeur, et tout de suite ! Pat se dégage en repoussant le prof et lui crie : — Je vais te mettre une tête, tu vas voir ! Madjid, mine de rien, referme sa braguette. — Toi aussi, hurle le prof. Allez, ouste ! — N’aie pas peur, fait Pat au prof : on ne va pas t’enculer ! » ( Le thé au harem p.37) · L’école Consentement :

qui se trouvent donc sur la couverture, « l’enseigne extérieure »(l.23) cet extérieur est ouvertement comique en annonce « joyeux titre » (l.20)et en réalisation notamment avec des titres scatologiques (L.21) « Fesse pinte » et « la dignité des braguettes ». L’attitude du lecteur face à cette apparence est alors expliquée, elle correspond à une hypothèse à partir de l’extérieur de ce qu’on trouve à l’intérieur. « On n’y traite que des moqueries, folâtreries et joyeux mensonges » (l.22) le pronom

Grandgousier, suivant la pédagogie des scolastiques, envoya son fils à Paris, afin de mener ses études là-bas. On peut remarquer que c'est un personnage plein de bonnes intentions mais il nous parait comme maladroit et disgracieux, vu ce qu'il fait de sa braguette et ce qu'il découvre comme torche-cul. C'est relativement bas comme découverte, raison pour laquelle il est assez répugnant au début. C'est également un personnage doté d'un coeur énorme. On le vois après la bataille aux chapitres 50-58 lorsqu'il

assimilés au mouvement de l’aiguille d’une horloge. Ainsi, Rabelais désacralise la sexualité en l’assimilant à un objet du quotidien et joue sur la démesure en exacerbant les capacités physiques. Cette même idée est reprise plus loin : « Ma seulle braguette espoussetera tous les hommes, et sainct Balletrou qui dedans y repose decrottera toutes les femmes. » (l.114-116) Ici, les verbes « épousseter » et « décrotter » assimilent le sexe à un objet ménager, imageant de cette façon la connotation du rapport

les joyeux titres » de ses œuvres, en commençant par Gargantua , puisque c’est celui-ci que le lecteur s’apprête à lire. Viennent ensuite ceux des œuvres précédentes : Pantagruel, Fessepinte, La Dignité des Braguettes, Sur les haricots au lard cum commento , tous aussi parodiques les uns que les autres, du fait de leur trivialité. Mais justement, s’en tenir au titre, c’est, aller trop « rapidement » en besogne et, selon la métaphore utilisée par Rabelais

considérables : une robe de mille six cents aunes, une chemise de neuf cents aunes ou encore des chaussures de cent quinze aunes pour « ses très belles jambes, bien proportionnelles à sa taille ». On note aussi une insistance de l’auteur sur la "braguette" de l’enfant, et dont on nous précise qu'elle n'est nullement un leurre : « 16 aunes ¼ », soit plus de 19 mètres de tissu, une émeraude « de la grosseur d'une pomme d'orange» ; le tout comparé... à une corne d'abondance. La multiplication des matières

vostre advis, tend ce prelude et coup d'essay ? Par autant que vous, mes bons disciples, et quelques aultres folz de sejour, lisans les joyeux tiltres d'aulcuns livres de nostre invention, comme Gargantua, Pantagruel, Fessepinthe, La dignité des braguettes, Des poys au lard cum commento, etc., jugez trop facilement ne estre au dedans traicté que mocque ries, folateries et menteries joyeuses, veu que que l'enseigne exteriore (c'est le tiltre) sans plus avant enquerir est communement repceu à derision