Braguette

d'interprétation plus fécond, exige de la part du spectateur ou du lecteur une certaine connivence ainsi qu'un travail de déchiffrement symbolique : c'est ainsi que le grotesque rabelaisien, qui fourmille de propos grivois comme "Fesse pinte, La Dignité des braguettes, Des pois au lard avec commentaire" est un appel à l'attention sur l'esthétique du rire autant qu'un réquisitoire contre l'immobilisme social. Le rire de la farce, envisagé dans sa dimension allégorique est donc un rire qui met à distance le risible

Analyse linéaire d’un extrait du chap. 15 de Gargantua de François Rabelais. Introduction :Après l’échec de l’éducation menée par les précepteurs sophistes qu’on appelle aussi sorbonnards (Tubal, Holophène et maître Jobelin Bridé). Gargantua va poursuivre ses études à Paris sous l’égit de Ponocratès. Confronté au harcèlement de la part des habitants de la capitale qui sont étonnés par son gigantisme le héros se réfugie sur les tours de Notre-Dame. -LECTURE-.Nous verrons en quoi

courant d'associer le rire à quelque chose de frivole, de puéril, dépourvu de toute profondeur en dehors de la simple distraction. Comme on peut le voir dans cette œuvre, par exemple au chapitre 17 Gargantua a peine arrivé à Paris “détacha sa belle braguette et tirant sur son membre en l’air les compissa si énergiquement qu’il en noya 260 418.”. On peut voir ici deux grandes caractéristiques de l’humour de Rabelais, la démesure et son humour scatologique. On peut retrouver cette démesure dans les chiffres

également qui s’il existe, il n’a fait que bâcler et saboter les Hommes par précipitation comme le tailleur avec son pantalon. Celui-ci avoue à chaque visite du client qu’il a raté un morceau du pantalon comme « le fond », « l’entre-jambes », « la braguette » ou encore « la boutonnière ». Le client lui reproche que Dieu a fait le monde en 6 jours alors que lui a pris 3 mois pour un pantalon. Le tailleur lui réplique que son pantalon est beau tandis que le monde... : Regardez – (geste méprisant, avec

humain est composé de tant de pièces qu'il en manque toujours.-Bossuet-Mais le vice n'a point pour mère la science, Et la vertu n'est pas fille de l'ignorance.-Les Tragiques d' Agrippa Aubigné- C’est l’amour explosif qui fait sauter les boutons de braguettes -Pierre Dac- Le seul moyen de se délivrer de la tentation, c'est d'y céder.-Oscar Wilde- Si je fais si bien l'amour, c'est que je me suis longtemps entraîné tout seul-Woody Allen- La jalousie est de toutes les maladies de l'esprit celle

quoi tend, à votre avis, ce prélude et coup d'essai ? C'est que vous, mes bons disciples, et quelques autres fous oisifs, en lisant les joyeux titres de quelques livres de votre invention, comme Gargantua, Pantagruel, Fesse pinte. La dignité des braguettes, des pois au lard avec commentaire, etc., vous pensez trop facilement qu'on n'y traite que de moqueries, folâtreries et joyeux mensonges, puisque l'enseigne extérieure est sans chercher plus loin, habituellement reçue comme moquerie et plaisanterie

Rabelais associe la vache a Badedec et le veau a Pantagruel. De plus l’auteur de Pantagruel utilise un langage comique accompagné d’u vocabulaire familier comme : « Peton ; couillon ; mon petit con (Qui parle des génitales de l’homme) et ma petite braguette (Partie intime de la femme) l’usage du comique de langage permet de donner a l’histoire un coté amusant pour justement valoriser le coté optimiste de la vie. Pierre De Ronsard nous permet d’emblée grâce au titre ; Je n’ai plus que les os » de remarquer

pas à prendre ... Un jour tu verras, à l'improviste, j'te prendrais par le bras, et on partira loin de tous ces gens, rien que toi et moi, parce-qu'en réalité rien n'est plus important ... L'amour ne se résume pas qu'à l'ouverture d'une braguette Ne marche pas sur l'herbe, Fume la, C'est plus rigolo J'veux pas tout les gars à mes pieds J'veux juste lui à mes cotés La vérité... C'est que des fois tu me manques tellement, Que j'ai l'impression de crevé tant ça fait mal...

vêtements et vertige des mesures (ou démesure physique), proprement « horrifiques » ... et d’autant plus comiques que l’histoire se situe dans un lieu bien réel, et aux dimensions modestes. * Un personnage burlesque : insistance sur la mesure de la braguette p. 99 et sur les noms donnés à cette partie du vêtement par les nourrices p.125, sur le caractère flegmatique des fesses, qui l’amène à se « conchi[er] » à tous moments, animalité (mange dans l‘écuelle des chiens!). *L’occasion pour Rabelais

quoi tend, à votre avis, ce prélude et coup d’essai ? C’est que vous, mes bons disciples, et quelques autres fous oisifs, en lisant les joyeux titres de quelques livres de votre invention, comme Gargantua, Pantagruel, Fesse pinte. La dignité des braguettes, des pois au lard avec commentaire, etc., vous pensez trop facilement qu’on n’y traite que de moqueries, folâtreries et joyeux mensonges, puisque l’enseigne extérieure est sans chercher plus loin, habituellement reçue comme moquerie et plaisanterie