Brahman

(casta) qui veut dire pure, non mélanger terme d’origine occidentale et non indienne regroupes deux concepts liées mais différentes et parfois antagonique dans la société indienne : le varhma (couleur).en Inde le problème de caste se posait entre brahmane ou dalit et les intouchables de l’Inde sous considéré comme la base classe qu’on ne doit pas toucher. II°) LE SYSTEMES DES CASTES Au Sénégal il exit divers castes sont notés en milieu wolof : A°) les Guers : constituent la caste supérieur

Paul fondé en 1557. Mises en place rapidement, ces structures religieuses engageront l’avenir pour longtemps. Dans les campagnes, peuplées par une majorité d’hindous, 1540 marque les premières destructions de temples, consécutives à un refus des Brahmanes à une conversion imposée. L’on incitait les villageois à embrasser la foi chrétienne en donnant à leur communauté les terres saisies des temples dévastés. L’église était construite à la place du temple et touchait les mêmes revenus. Les nouveaux

été interdite sauf que dans les faits il y a toujours une pratique de castes. a) - Haut envoyés de Dieu : Brahman. - Propriété financier. - - - - bas : intouchables : mangent de la viande (vaches sacrées) + travaillent. => La séparation entre castes s’effectue selon le principe de répulsion/ purification ; les plus purs étant les Brahman. b) La société se structure selon un ordre religieux qui s’impose et ce qui distingue les différents

rédigés par les brahmanes et, on peut le dire, sinon pour eux, du moins à leur profit à l'époque même de leur triomphe 2. Ils ne nous montrent qu'un droit théorique. Ce n'est donc que par un effort de reconstitution, à l'aide des nombreux aveux qu'ils contiennent, que nous pouvons entrevoir ce qu'étaient le droit et l'économie des deux autres castes, ksatriya et vaiçya. En l'espèce, la théorie, « la loi du don » que nous allons décrire, le danadharma, ne s'applique réellement qu'aux brahmanes, à la façon

souvent assez tôt, pour vivre dans celle de son époux et contribuer à l'économie du foyer de ses beaux-parents. En outre, la famille de la fiancée doit s'acquitter d'une dot envers la belle-famille, pratique autrefois limitée aux familles de caste brahmane mais qui tend à s'étendre à l'ensemble de la population, et qui donne parfois lieu à des abus. Son versement peut ainsi entraîner de graves difficultés financières, voire la ruine, pour la famille de la mariée. Les cas de meurtres de jeunes mariées

un grand nombre de groupes héréditairement spécialisés, hiérarchiquement superposés et mutuellement opposés ». Pourtant, interdit par Nhéru, à cause de son fondement sur l’exclusion et la discrimination, ce système est encore usité en Inde. Les brahmanes sont dépositaire de l’ordre religieux, de ce fait il sont au dessus de la hiérarchie et contrôlent l’ordre politique avec le souverain. Les structures du pouvoir permettent de nombreux aménagements institutionnels, l’espace politique devient donc

 Bhaskara Né en 1114 à Vijayapura en Inde et mort en 1185 à Ujjain toujours en Inde. Bhaskara est également connu comme Bhaskara II ou Bhaskaracharya , ce dernier nom qui signifie « Bhaskara l'enseignant " . Son père était un brahmane nommé Mahesvara . Il a été célèbre comme un astrologue . C'est arrivé souvent dans la société indienne avec les générations d'une famille étant d'excellents mathématiciens et agissant souvent comme enseignants à d'autres membres de la famille . Bhaskaracharya

passage étudié, on découvre l’enfance de Médée. Elle est née dans les plaines de Colchide en Inde. Enfant sans parents et misérable, elle a grandi parmi les pestiférés. Belle et dansant à merveille elle est enlevée et conduite dans le temple des brahmanes. Magicienne, elle donne vie aux statues du temple et organise une orgie sexuelle à laquelle elle participe. Sacrée alors déesse (Kali), elle se libère et part en Grèce pour suivre son destin. Elle rencontre Jason, son premier amour d’une beauté

son mariage pour vivre dans celle de son époux et contribuer à l'économie du foyer de ses beaux-parents. En outre, la famille de la fiancée doit s'acquitter d'une dot envers la belle-famille, pratique autrefois circonscrite aux familles de caste brahmane mais qui tend à s'étendre à l'ensemble de la population malgré une loi l'interdisant, et qui donne parfois lieu à des abus. Son versement peut ainsi entraîner de graves difficultés financières, voire la ruine, pour la famille de la mariée. Les cas

L’espace, du filet des routes à l’espace en réseaux », le prologue de Lokenath BHATTACHARYA, et dans « Le filet du temps » — au même chapitre —, l’extrait du « Journal du scribe » de Liliane WOUTERS). Illustration représentant le poète Jayadeva (brahmane du Bengale, XII e siècle) en présence de la divinité Visnu (manuscrit sanskrit du XVIII e s.) (photo extraite du Grand Altlas des Littératures, Paris, Encyclopaedia Universalis, 1990, p. 78). Griot socé, Sénégal (photo extraite du Grand