Bras de mer

l'homme, pleins de sève,Se pâment longuement sous l'ardeur des climats ;Fortes tresses, soyez la houle qui m'enlève !Tu contiens, mer d'ébène, un éblouissant rêveDe voiles, de rameurs, de flammes et de mâts :Un port retentissant où mon âme peut boireA grands flots le parfum, le son et la couleur ;Où les vaisseaux, glissant dans l'or et dans la moire,Ouvrent leurs vastes bras pour embrasser la gloireD'un ciel pur où frémit l'éternelle chaleur.Je plongerai ma tête amoureuse d'ivresseDans ce noir océan

métal. Plus rien ne bouge. Pas même les souvenirs ardents des premières amours. Ni l'oiseau inconnu venu du jour lointain pour la prière des morts. Il est noir et immobile, les yeux brûlés, éternel. Ce corps qui fut une parole ne regardera plus la mer en pensant à Homère. Il ne s'est pas éteint. Il a été touché par un éclat du ciel brisant la parole et le souffle. Ces cristaux mêlés au sable sont les derniers mots prononcés par ces hommes sans armes. Visages noircis par un feu qui ne tremble point

ans d’histoire, toujours souvenue et utile à la mémoire collective. Ulysse, est-il héros plus connu et peut-être aussi incompris? Ne paraît-il pas victime de son insouciance, de son goût du plaisir immédiat? Comment perdre sa route pendant 10 ans, en mer Méditerranée, quand femme et enfant attendent? Quand les sujets ont besoin de leur roi? Rappel: Environ 1250 ans avant notre ère, dès la fin de la guerre de Troie dont le siège avait duré 10 ans, Ulysse fit voile vers Ismarus, dans l’ancienne Thrace

La cité de l’AtlantideC’est dans le Critias que Platon décrit l’Atlantide. Elle était composée de deux îles en forme d’anneau, qui entouraient un îlot central ou se dressait l’Acropole. Un canal de 9 km de long reliait ces anneaux à la mer. La cité était entourée par une muraille, au-delà de laquelle s’étendait une immense plaine cultivée cernée par de lointaines montagnes. Les Atlantes fournissaient en bois et en minerais dont l’orichalque, métal légendaire qui “brillait comme l’or sous le soleil”

Les vacances approchent… Quelle destination pour cet été ? A la découverte d’un lieu paradisiaque… Une destination de rêve, à 50 km de Marseille, 15 km de Toulon, elle vous tend les bras pour effacer en quelques heures la fatigue et le stress d'une vie citadine... Venez dorer au soleil et profiter pleinement de la nature ! Si vous aimez l’aventure, la chaleur, la détente, l’air pure ainsi que le farniente, n’hésitez plus ! Venez partager vos vacances dans un lieu qui répond à toutes

ème le scientifique et philosophe parlent d'une région du pays bas. Les habitants des pays bas sont les Néerlandais les néerlandais ont conquis la mer? Quelles furent les méthodes utilisées? En quoi la poldérisation peut entrainer des risques ? En quoi les polders a rendu le littoral néerlandais attractif? polder: terre gagnée sur la mer ou sur des eaux intérieures, endiguée et mise en valeur Les polders sont obtenus enendiguant des zonesque l’on assèche. Pour éviter qu’elles restent

5GT2 Anthologie sur le thème de la Mer. [pic] 1. Préface. 2. Introduction. Cette anthologie a été inspirée et écrite selon le thème de la mer, un thème qui n’est pas vraiment banal et qui donne certaines difficultés de recherche mais pas autant de problème que de naviguer en pleine tempête. En passant de Victor Hugo à Alfred de

pourtant déjà l'aboutissement d'une longue histoire. Une culture technique largement partagée La fin des années 70 voit converger plusieurs initiatives. A Douarnenez, une association, Treizour, est créée pour collecter la mémoire des hommes de la mer pêche, construction navale, etc. Elle parvient ainsi à ouvrir un musée dans les locaux de l'ancien Abri du marin 1 que la municipalité a mis à sa disposition. Elle http://terrain.revues.org/document3642.html 01/11/2007 Douarnenez : le musée

Des désirs errants et perdus ? L’homme vindicatif que tu n’as pu, vivante, Malgré tant d’amour, assouvir, Combla-t-il sur ta chair inerte et complaisante L’immensité de son désir ? Réponds, cadavre impur ! et par tes tresses roides Te soulevant d’un bras fiévreux, Dis-moi, tête effrayante, a-t-il sur tes dents froides Collé les suprêmes adieux ? Loin du monde railleur, loin de la foule impure, Loin des magistrats curieux, Dors en paix, dors en paix, étrange créature, Dans ton tombeau mystérieux

doucement vos mains le long du bord inférieur vous êtes sur le sable. En remettant vos mains sur les deux angles inférieurs et en montant verticalement le long du bord vous allez sentir des petites rainures horizontales. Elles figurent l’eau de la mer qui est derrière le personnage. Au-dessus toujours en suivant les bords découvrez le ciel qui est en arrière plan de la scène et non représenté tactilement. Vous pouvez maintenant découvrir le personnage qui est assis sur le sable. La femme est nue