Bras de mer

leurs bonds. Puis vinrent les immondes gageures ; ils s'enfonçaient la tête dans les amphores, et restaient à boire, sans s'interrompre, comme des dromadaires altérés. Un Lusitanien, de taille gigantesque, portant un homme au bout de chaque bras, parcourait les tables tout en crachant du feu par les narines. Des Lacédémoniens qui n'avaient point ôté leurs cuirasses sautaient d'un pas lourd. Quelques-uns s'avançaient comme des femmes en faisant des gestes obscènes ; d'autres se mettaient

amazone démantèle avec vigueur les fondations de l’armée ennemie. Aussi rapide qu’un guépard noir des Volsques, la terre vole en poussière sur son passage, se répandant dans l’air, les insectes retournent dans leur nid, les hommes s’effraient. Ses bras musclés sont comme des troncs noueux aux écorces rugueuses et dociles, son bouclier aussi léger qu’une feuille de chêne vert. Une flamme incandescente semble luire parmi les autres flammes fluettes, formant un brasier de plainte et de mort. De la

William Turner : Le Bateau négriers Il y a plusieurs choses que l'on peut remarquer sur cette œuvre au premier coup d'œil. Tout d'abord, on remarque la présence d'un bateau ainsi que des parties de corps enchaînées (jambes et bras) dans la mer. Le soleil est mis en évidence. Il y a plusieurs choses à dire concernant le contenu. Grâce aux différents éléments se trouvant sur le tableau ainsi qu'au titre, nous pouvons en déduire que les parties de corps à l'eau appartiennent aux esclaves du bateau

Vierge de GrèceDans le compas d'Isis unit leur double tresse ;Sa tunique est livrée aux Femmes de Milet,Et ses pieds sont lavés dans un vase de lait.Dans l'ovale d'un marbre aux veines purpurinesL'eau rose la reçoit ; puis les Filles latines,Sur ses bras indolents versant de doux parfums,Voilent d'un jour trop vif les rayons importuns,Et sous les plis épais de la pourpre onctueuseLa lumière descend molle et voluptueuse :Quelques-unes, brisant des couronnes de fleurs,D'une hâtive main dispersent leurs

ET IDÉAL I. Bénédiction II. Le Soleil III. Elévation IV. Correspondances V. VI. Les Phares VII. La Muse malade VIII. La Muse vénale IX. Le Mauvais Moine X. L’Ennemi XI. Le Guignon XII. La Vie antérieure XIII. Bohémiens en Voyage XIV. L’Homme et la Mer XV. Don Juan aux Enfers XVI. Châtiment de l’Orgueil XVII. La Beauté XVIII. L’Idéal XIX. La Géante XX. Les Bijoux (pièce condamnée) XXI. Parfum exotique XXII. XXIII. XXIV. Sed non satiata XXV. XXVI. Le Serpent qui danse XXVII. Une Charogne XXVIII. De

surfe pas, il n’y a pas de vagues réelles, à Nice (qui n’est d’ailleurs pas « Nice » mais seulement la rime de « Brice ») : « à chacun sa mer » (comme on dit : chacun sa route, chacun son chemin » : sauf qu’ ici personne ne fait semblant d’y croire). La mer de Brice est celle de son fantasme, qu’il figure, habillé de jaune, en short et son surf sous le bras, sur un rythme de rap ; les cheveux blonds et longs (longs parce que blonds, ou l’inverse), le mouvement de tête, pour relancer la casse comme

monsieur Lihn sort les deux paquets de cigarettes qu’il a reçu au dortoir. C’est la

première fois depuis longtemps qu’on fait un cadeau à monsieur Bark. Il se sent plein d’une grande émotion qu’il a presque envie de serrer monsieur Linh dans ses bras. Il allume une des cigarettes reçues et bien qu’il n’aime pas le menthol, il la trouve bien meilleure que les siennes. Quand monsieur Bark devient un peu triste parce qu’il parle de sa femme, monsieur Linh commence à chanter pour lui et monsieur

montent des berges. On distingue une veste rouge, peut-être d'autres costumes et des instruments de musique. Sont-ce des airs populaires, des bouts de concerts seigneuriaux, des restants d'hymnes publics? L'eau est grise et bleue, large comme un bras de mer. - Un rayon blanc, tombant du haut du ciel, anéantit cette comédie. » Analyse Le texte paraît bien inspiré par une vision de Londres, la ville étant évoquée par le terme de « canal » (« Regent's canal », « Grand Junction canal », etc.), et

minutes dans le salon de mon trois pièces et décide finalement qu'une escapade sur le toit de l'immeuble ne serait pas de refus. Là-haut, tout est différent et c'est ce qui me plait. Mes écouteurs dans les oreilles et mon « matériel » sous le bras, je monte et m'installe finalement à quelques mètres du bord. Ayant pris soin de bloquer la porte avec un poids pour pouvoir repartir une fois mon affaire terminée, je ne prête qu'à peine attention au bruits dans les escaliers, habitué à ne pas être

Untitled1. Oiseaux de mer mythologiques. 2. Nymphe marine, mère d’Achille tué pendant la guerre de Troie. 3. Originaire de Tarente, ville de Sicile. Entrer dans le texte 1 Dégagez la structure du poème et donnez un titre à chaque partie que vous avez révélée. Un périple 2 En quoi la représentation de la mer est-elle d’inspiration antique ? 3 a. Quel était le but du voyage de la Tarentine ? b. En quoi ce voyage devient-il symbolique ? De l’amour à la mort 4 Quels éléments font