Brigands

Esméralda, victime de la passion qu’elle inspire à un archidiacre et de l’amour qu’elle éprouve pour le jeune Phoebus, capitaine séduisant cependant aussi peu généreux qu’il n’est intelligent. Agée de seize ans, enlevée à sa mère et élevée parmi les brigands de la Cour des Miracles, Esmeralda succombe ainsi au charme du capitaine, peu avant d’épouser le poète Gringoire pour lui éviter la potence, selon une tradition de son peuple qui veut que tout condamné à mort à la Cour des Miracles peut être sauvé

et les bêtes le peuple. On observe bel et bien une absence du narrateur dans le récit. Ces sont les autres personnages qui sont, seuls, mis en scène. De plus les champs lexicaux de l’animalité et de l’humanité sont mêlés : « se vêtit », « roi », « brigands » en opposition « rugissements », « antre », « bêtes ». Enfin, le poète a pour mission de réveiller les consciences de dénoncer ce qui doit l’être mais il reste discret, il n’est qu’un messager d’une parole divine. Ce n’est pas Hugo qui a raison

désigne le chef des « brigands », nous avons donc un jeux sur les pronoms comme « le Tahitien est ton frère »(L23), « Nous avons respecté notre image en toi »(L30), le vieillard rappelle tout ce qui aurait pu être fait en matière de dépense et de refus et qui n'a pas été fait. Ce qui nous ramène à un comportement respectueux de l'autre. Ces deux pronoms s'opposent, ce qui marque leur style de vie. Ensuite pour dénoncer la malhonnêteté, on a un vocabulaire du Blâme, « brigands » (L1), « nuire » (L3)

servirez sous eux " et en face " ils " désignent les " hommes ambitieux et méchants ". Puis dans le second paragraphe, le pronom " nous " désigne le vieillard et les Tahitiens et le pronom " tu " désigne le chef de ces " brigands ". Ces deux pronoms s'opposent : " Et toi, chef des brigands qui t'obéissent " et " nous sommes innocents " ; " nous sommes heureux " et " tu ne peux nuire à notre bonheur "… Cette opposition marque leur style de vie. Il y a une interpellation de la personne par ce jeu d'interpellations

sous eux " et en face " ils " désignent les " hommes ambitieux et méchants ". Puis dans le second paragraphe, le pronom " nous " désigne le vieillard et les Tahitiens et le pronom " tu " désigne le chef de ces " brigands ". Ces deux pronoms s'opposent : " Et toi, chef des brigands qui t'obéissent " et " nous sommes innocents " ; " nous sommes heureux " et " tu ne peux nuire à notre bonheur "… Cette opposition marque leur style de vie. Il y a une interpellation de la personne par ce jeu d'interpellations

chapitre XVI du Pantagruel de Rabelais, fait l’objet d’un portrait de Panurge, le fidèle compagnon du héros éponyme, et établit surtout une illustration morale du personnage en mettant en évidence ses aspects malicieux. En effet il apparaît comme un brigand, un voleur et un faiseur de mauvaises farces, cependant la lecture de ce chapitre ne semble pas faire pencher le lecteur vers une vision dégradante de Panurge. Comment Rabelais parvient-il à faire d’un personnage malfaisant, un personnage louable

Esméralda, victime de la passion qu’elle inspire à un archidiacre et de l’amour qu’elle éprouve pour le jeune Phoebus, capitaine séduisant cependant aussi peu généreux qu’il n’est intelligent. Agée de seize ans, enlevée à sa mère et élevée parmi les brigands de la Cour des Miracles, Esmeralda succombe ainsi au charme du capitaine, peu avant d’épouser le poète Gringoire pour lui éviter la potence, selon une tradition de son peuple qui veut que tout condamné à mort à la Cour des Miracles peut être sauvé

nous identifier. Les temps sont majoritairement le présent et le passé composé qui renvoient à l’énonciation. B)Puis parce que la variété des interlocuteurs sollicite constamment l’attention Le vieillard s’adresse d’abord à Bougainville(« Chef des Brigands » ; « tu ») ensuite au français (« vous » l.21), après au « Ourou » et on repasse à Bougainville avec « tu » et enfin « vous » qui désigne ses compatriotes et français et de temps en temps « nous » qui représente les tahitiens. Le lecteur est attentif

instinct de la nature » → verbes au présent, champ lexical de la simplicité, ligne 12 « libre » : idéalisation de la vie des tahitiens unis avec le « nous ». Européens = vocabulaire dépréciatif : ligne 1 « et toi chef des brigands » apostrophe accusatrice. Tutoie, plus de respect. Brigand = voleur. « Nuire à notre bonheur, effacer de nos âmes son caractère » : volonté de détruire, champ lexical de la domination, ligne 13 « futur esclavage ». Pour étayer son discours, prend l’exemple des femmes. Ligne

complot tenté afin de supprimer Kiltong, le ministre Hong pris de pitié, lui autorise à le désigner correctement. Néanmoins, l'élément perturbateur est déjà apparu. Cela déclenche sa décision de partir. Grâce à sa carrure, il devint le chef des brigands dont il baptisa sa troupe « Hwalbintang » ( «  le Parti pour Sauver les Pauvres » ). Il pilla les riches corrompus pour donner aux pauvres. Après plusieurs péripéties, il chercha un lieu parfait pour y vivre avec ses « hommes et développer de grands