Britannicus Tragédie

Il fait jouer La Thébaïde en 1664, puis Alexandre en 1665, mais c'est le succès de la tragédie d'Andromaque en 1667 qui assure sa réputation. Il donne ensuite Britannicus en 1669 puis Iphigénie en 1674 et enfin Phèdre en 1677. Nommé Historiographe du Roi, réconcilié avec les jansénistes, il renonce alors au théâtre. Mais les encouragements de Mme de Maintenon le ramènent à l'art dramatique avec les tragédies bibliques d'Esther en 1689 et d'Athalie en 1691. Le théâtre de Racine peint la passion

Jean Racine, né à La Ferté-Milon le 22 décembre 1639 et mort à Paris le 21 avril 1699, est un dramaturge français considéré comme l'un des plus grands auteurs de tragédies de la période classique de la France de Louis XIV. Issu d'une famille de petits notables et vite orphelin, il est élevé par sa grand-mère et sa marraine et reçoit une solide éducation littéraire marquée par le jansénisme. Il choisit ensuite de se consacrer à la littérature et particulièrement au théâtre en faisant jouer La Thébaïde

C'est à la troupe de Palais-Royal, celle de Molière qu'en 1664, il présente sa première tragédie : La Thébaïde, sujet tiré de l'Antiquité grecque. Le théâtre tragique est alors dominé par Corneille, qui commence à vieillir et quelques autres : la concurrence est rude. L'année suivante, la deuxième pièce de Racine : Alexandre, commence à connaître le succès au Palais-Royal en décembre 1665. En 1667, sa nouvelle tragédie : Andromaque, remporte un éclatant succès. L'héroïne est incarnée par la Du Parc, une

destin, il est condamné dès sa naissance. Réalisant l'idéal de la tragédie classique, le théâtre racinien présente une action simple, claire, dont les péripéties naissent de la passion même des personnages. Les tragédies profanes (c'est-à-dire Esther et Athalie exclues) présentent un couple de jeunes gens innocents, à la fois unis et séparés par un amour impossible parce que la femme est dominée par le roi (Andromaque, Britannicus, Bajazet, Mithridate) ou parce qu'elle appartient à un clan rival

scène 7 Travail d’écriture => Analyse du texte : L’auteur et l’œuvre : Bérénice est la cinquième tragédie de Racine et la deuxième dont l’argument est tiré de l’histoire romaine. Fils de l’empereur Vespasien, Titus s’est épris de la reine de Palestine, Bérénice, pendant la campagne de Judée (70 après J-C). Devenu empereur à son tour, il veut épouser la reine, mais la loi romaine s’y oppose. La tragédie est l’illustration de la phrase de l’historien latin Suétone : « invitus invitam dimitis » (« il

SUJET DU DEVOIR Texte A: Jean Racine, Britannicus, Acte 1, scène 1 Texte B: Molière, les fourberies de scapin, Acte 1, scène 1 Texte C: Molière, Les femmes savantes, Acte 1, scène 1 Si vous accepter de m'aider des extraits doivent être disponible sur le net. Questions: 1) Quelles informations délivrent ces trois scènes d'exposition? Répondez de façcon organisée. 2) Trouvez-vous que ces informations sont données au spectateur de façon naturelle ou artificielle? Justifiez. 3) À quel genre

succès de la tragédie Andromaque (1667) qui assure sa réputation. Après une comédie, les Plaideurs, en 1668, il revient définitivement à la tragédie et donne successivement Britannicus (1669), Bérénice (1670), Bajazet (1672), Mithridate (1673), Iphigénie (1674) et Phèdre (1677). Membre de l'Académie française depuis 1673, il est nommé historiographe du roi et renonce alors au théâtre. Toutefois, à la demande de Madame de Maintenon, il écrira encore pour les élèves de Saint-Cyr les tragédies bibliques

Ce sujet revient à nous poser la question de savoir si la mort du héros doit-être inévitablement pathétique, c’est à dire: émouvante, touchante, bouleversante… La mort d’un ou de plusieurs héros est, en principe, le ressort et la finalité de la Tragédie. Si la mort est une « obligation » dans ce genre dramatique, le « pathétique » n’est pas forcement utilisé par les dramaturges. Le mouvement classique, représenté, essentiellement, par Corneille et Racine n’utilise que très parcimonieusement le

de Camille. Britannicus de Racine : Les personnages principaux : Néron : fils naturel d'Agrippine et fils adoptif de l'empereur Claude, Néron est un « monstre naissant » d'après Racine (cf. : Préface). Personnage très noir, il apparaît d'abord vertueux puis s' émancipe de sa mère au fur et à mesure qu'augmente ses envies de puissance et de pouvoir. Sa mère a d'ailleurs négocié avec l'empereur sa future accession au trône, au détriment du propre fils de celui-ci, Britannicus. Mais Néron révèle

centre de la culture le principe d’imitation des Anciens. C’est le culte de la raison. Nous verrons lors de cette réflexion quand est-ce qu’une pièce de théâtre peut-elle être qualifiée de classique à travers les deux registres du classicisme, la tragédie et la comédie. Nous étudierons leurs formatins, leurs règles et leurs buts. Conclusion : Une pièce de théâtre peut alors être qualifiée de classique si elle met en valeur le naturel, qui doit être maitrisé et régulier, le vraisemblable, le culte