Brocart

courbe et contre courbes Canapé: • duplication de fauteuils • courbes et contrecourbes • bois apparents manchettes garnies • console d’accotoir en retrait • pieds roquillard Canapé fin de style, joues à oreilles ou oreillons Les Etoffes Dama, Lampa, brocart, cuir, broché de soie, verdure, tapisserie, motifs végétaux non existant qui donnent naissance à des motifs bizarres. Les rideaux Lambrequin coupé découpé frangé, les rideaux sont plus hauts 

bon prince Premier paragraphe Berger -> souverain Second paragraphe Souverain -> berger absurde avec luxe, mot « or » répété (5 fois ligne 4) Soie(pour le XVII): tissus rare, précieux, fragile, difficile à obtenir( réservé aux souverains, Brocart , velours, bijoux (« pierreries ») - Gaspillage * ex habiller le souverain inutile, faste -luxe, richesse extérieure* plus assez d’argent si utiliser pour luxe pour protéger. -Corruption «  chien collier d’or » , «  laisse d’or et de soie »

à récupérer avec ses dents "les choses mortes" que les habitants jettent dans un étrange "ruisseau rouge". Le curé fustige le matérialisme paysan et organise des messes à grand spectacle: la religion doit être un luxe : « Dieu c'est un coussin de brocart d'or, c'est un diamant serti dans le soleil, c'est un précieux décor ciselé dans l'amour [...]. » Quant à Jacquemort, il doit se contenter de lutiner la bonne, Culblanc, à défaut de pouvoir l'analyser. Seconde partie : Clémentine comprend que ses

scandale provoqué par un ambassadeur turc. Lors de sa venue le 5 novembre 1669, Louis XIV reçoit Soliman Aga, un envoyé du sultan de l'Empire ottoman. Le Roi-Soleil a déployé tout le faste dont il est capable pour impressionner l'ambassadeur turc. Son brocart d'or est tellement couvert de diamants qu'il semblait « environné de lumière ». Pourtant au sortir de la réception, l'invité aurait dit à des proches : « Dans mon pays, lorsque le Grand Seigneur se montre au peuple, son cheval est plus richement orné

gloire de l’unité de l’Espagne. Francisco Pradilla va exceller dans la représentation des détails, qu’il s’agisse de la nature (les cyprès, le sol jonché de boue au premier plan), des vêtements des différents protagonistes (les tuniques, les superbes brocarts) ou encore des chevaux et de l’architecture (le palais de l’Alhambra au dernier plan sur la colline éponyme)... L’artiste fait preuve d’une grande maîtrise picturale, il s’en dégage une impression générale de réalisme et de sensualité. La composition

d'autres antithèses qui répondent à d'autres fonctions : "fumier/brocart; le moindre/le plus grand" etc…). On peut associer aussi au registre polémique le procédé de l'interrogation rhétorique (1° strophe) dans la mesure où ce procédé vise à prendre à partie directement le destinataire qui est ici aussi l'adversaire de l'auteur. Enfin, il faut signaler l'usage d'un lexique de l'agression : "sots, niais, brutes, fumier sous un dais de brocart (il s'agit de Napoléon III) etc…" et le recours à l'ironie :

construction des réflecteurs. C'est ainsi que Mariano Fortuny utilisa du satin coloré et traité de différentes manières pour la réalisation de ses réflecteurs de lumière indirecte. Depuis les tissus coptes jusqu'aux tapis d'orient, en passant par les brocarts et les tissus damasquinés de la renaissance provenant de la collection du père puis enrichie par sa mère, Mariano avait une connaissance directe, quasi physique, des étoffes les plus diverses. Cette familiarité était une aide précieuse pour ses recherches

se fait importer des oranges et des citrons de Castille, des fruits et du vin de Grèce, des étoffes et des épices d'Alexandrie, des peaux d'animaux dans la région de la mer Noire ainsi que tous les produits d'Italie tel que la soie, les armes, le brocart et bien d'autres encore. En échange de tous ces produits exotiques, Bruges, ville située dans une zone textile, vend à ses marchands toute sorte d'étoffes. D'après l'auteur, « l'activité commerciale de Bruges dépasse celle de Venise ». Il défend ses

importés de tout les continent. Au Nord, ils venaient d'Angleterre, d'Hollande, de France, de Brabant. On y retrouvaient aussi des oranges et des citrons de Castille, des fruits et du vin de Grèce et des étoffes et des épices d'Alexandrie et des brocart, de la soie et des armes d'Italie pour les pays du Sud. En échange, Bruges vendait du lainage et des draps. L'auteur considère Bruges supérieur à Venise car elle est situé au centre de L'occident ou tout les pays se rejoignent, tout les bateaux devaient

accès presque immédiat à l’Europe dans sa totalité et au Portugal étant pour elle un pays frontalier. L’énumération suivante : « Les richesses d’or, d’argent, de perles, de pierres précieuses, d’émaux, de coraux, de soies et de toutes sortes, de brocarts, de toiles les plus fines et de vêtements sont si grandes. » Nous indique à nouveau son intégration dans les circuits économiques, elle reçoit de nombreux produits de beaucoup de pays du monde. Nous pouvons ainsi confirmer l’intégration de Séville