Bruit blanc

parc, devant le bar, des clients parlent avec agitation à des gendarmes. On entend des sirènes. LEON se cache derrière un arbre, essoufflé. Son visage est brillant de sueur, ses yeux grands ouverts, sa bouche haletante. Il regarde vers le bas. Le bruit des touches d'un téléphone mobile. Il porte le téléphone à son oreille. Il ferme les yeux, penche sa tête en arrière, porte la main devant sa bouche, comme si il allait pleurer. Le téléphone sonne dans le combiné. ALBERT Allo ? Le visage de

| | | | | | Colonne 1 : à compléter Colonne 2 : laissée en blanc ; elle sera remplie par l’élève tout au long de la progression ; Colonne 3 : permettra à l’élève de donner une nouvelle définition du texte poétique en fin de séquence, lors de la séance bilan. ❖ Mise en commun des représentation : notées au

nom Sur les images dorées Sur les armes des guerriers Sur la couronne des rois J'écris ton nom Sur la jungle et le désert Sur les nids sur les genêts Sur l'écho de mon enfance J'écris ton nom Sur les merveilles des nuits Sur le pain blanc des journées Sur les saisons fiancées J'écris ton nom Sur tous mes chiffons d'azur Sur l'étang soleil moisi Sur le lac lune vivante J'écris ton nom Sur les champs sur l'horizon Sur les ailes des oiseaux Et sur le moulin des ombres J'écris

Franquin Description et analyse de la planche : "Il ne faut pas confondre pâle capitaine et peine capitale" La BD se présente sur une page.  Elle comprend sept vignettes en noir et blanc. Elle est constituée essentiellement de dessins, le texte (bulles ou encart) y est rare. Les principaux personnages sont assez clairement identifiables : dans la première vignette on trouve un juge, reconnaissable à son costume (manteau d’hermine, couvre-chef traditionnel), un prêtre en aube noire, portant un

EXPÉRIENCE... C’était dans une nuit noire, alors que je marchais, que tout a commencé. Je m’étais perdue loin de mon village. J’entendais beaucoup de bruits étranges, et le noir et la peur me faisaient imaginer tant de scénarios. Et si un fou me trouvait! Je voyais déjà la scène qui se serait produite: une femme qui criait (moi) alors qu’un fou s’approchait d’elle avec un pistolet. Si elle n’obéissait pas, le pistolet tirerait... et il en serait fini de sa vie à 16 ans. Quelle

était minuit et demi lorsque je décrochais mes yeux de ma montre pour me servir un verre de Whiskey. Aux alentours de 1h15 je revins à ma chambre, l’esprit brouillé par le verre que je m’étais servi. Dans une totale noirceur, j’écoutais le bruit des secondes qui perçaient le silence comme les souvenirs, mon cœur. Les remords assaillaient mon esprit et des larmes perlaient sur mes paupières. Soudain, un craquement se fit entendre, puis une douce lumière blanche me sortit de ma noire torpeur

(premiers essais de photographie aux lumières artificielles) Je commençai naturellement une expérience in animâ vili sur ma simple personne et sur mon personnel de laboratoire. Si médiocres et même détestables que fussent ces premiers clichés, le bruit de la tentative s’était répandu dans notre microcosme photographique où chacun tenait l’œil ouvert sur le voisin et j'étais aussitôt invité à donner une séance au Cercle et journal La Presse scientifique, alors installés rue Richelieu, à côté de la

oelle chem -de-fer" des psychiatres am in éricains Le bruit des portes des voix des essieux grinçant sur les rails congelés Le ferlin dor de m avenir ' on M brow on ning le piano et les jurons des joueurs de cartes dans le com partim dà côté ent ' L'épatante présence de Jeanne L'hom eaux lunettes bleues qui se prom m enait nerveuse ent dans le couloir et m regardait en passant m e Froissis de fem es m Et le sifflem de la vapeur ent Et le bruit éternel des roues en folie dans les ornières du ciel Les

intégrée à l’équipe pluridisciplinaire, considérée comme faisant réellement partie de celle-ci. Ainsi, j’ai pu constater des difficultés régulières de concentration de la part des résidents. En effet, l’attention de certains est parfois détournée par un bruit, un geste…, d’autres n’assistent pas à la totalité de l’activité, quittant les lieux pour cause de fatigue. Tous les ateliers se déroulent simultanément dans la même pièce, à chaque table, un éducateur anime un travail. Le fait qu’il n’y a pas de séparation

cinquante ans, vieux garçon revient sur une petite chose navrante dont il a été témoin dans sa vie. Jeune homme, il étudiait le droit et allait chaque matin se promener dans la pépinière du jardin du Luxembourg ; au calme, il lisait un peu et écoutait les bruits de Paris. Il se pique de curiosité pour un vieillard qui, se croyant seul, danse dans les allées du jardin. Ils deviennent amis et l’homme lui raconte sa vie : il était maître de danse à l'Opéra de Paris sous Louis XV ; il est marié avec la Castris