Brume

donner un I- cauchemar du poète A- Une atmosphère lugubre flach back, vision désordonnée comme cauchemar → concentration les accessoires ; étalon ; visage ; manteau ; bouche (cris) tempête (mer déchaînée, brume) vent aspect négatif → vitesse fatalité rapide « nuit noire » « orage » « brume » → fantastique B- Un mouvement rapide perturé On tourne en rond dynamique comme un cauchemar (mouvementé) Rythme des vers rapides quintil heptasyllabe et tétrasyllabe (dernier) vers impair et pair dissymétrie

fraîcheur aux actifs hydratants. Durée : 1h15 Démaquillage : Utiliser le démaquillant Phyco-marin suivi de la brume phyco-marine. Exfoliation : Procéder a l’exfoliation avec le soin gommant, pour enlever les cellules mortes qui sinon seraient les premières à fixer les actifs. Il est indispensable que seules les « nouvelles » bénéficient des principes actifs. Tonifier avec la brume Phycho-marine. Vapeur : Vaporisation de chaleur sur le visage afin d’ouvrir les ostias folliculaire pour par la

amoureux c'est à travers cette poésie qu’Apollinaire explique cela. Analyse de vocabulaire : Paragraphe 1 Parle de sa romance qui meurt le soir et renaît le matin = Phénix Paragraphe 2 Soir un peu brumeux rencontre avec le voyou « Demi-brume » = Mois de septembre « voyou » = corruption « Ressemblait à mon amour » = par rapport à la classe sociale, on le comprendra par après. « Sifflotait les mains dans les poches »= vie de bohème. «  Onde ouverte de la mer rouge » Onde modification

quitter le quai et prendre le boulevard François-Ier, sa femme se retourna encore une fois pour jeter un dernier regard sur la haute mer ; mais elle ne vit plus rien qu'une petite fumée grise, si lointaine, si légère qu'elle avait l'air d'un peu de brume. ATTENTION! La présentation ci-dessous correspond à une METHODE POUR L'ORAL du bac qu'il est vivement conseillé de connaître pour une bonne utilisation de toute fiche ainsi présentée! L’Intro : Au XIX° siècle, autour d’Emile Zola,

lugubre. Il nous est décrit grâce à la présence de différents champs lexicaux, comme celui de l’obscurité : « de vastes nuages noirs », « Le bois était ténébreux », « il y avait des étendues lugubres. » ou bien celui de la brume : « des pans de fumée. », « une épaisse couche de brume […], lugubrement empourprée », qui indique que cet endroit est repoussant, et effroyable. De plus, comme le montre l’hyperbole « énormité noire de la nature » qui met l’accent sur l’omniprésence de la couleur noire, l’obscurité

aujourd’hui grâce a tous ces artistes qui ont sut se rebeller contre le matérialisme et donner un nouveau sens à l’art. "REVERIE" DE VICTOR HUGO (1829) Oh ! laissez-moi ! c'est l'heure où l'horizon qui fume Cache un front inégal sous un cercle de brume, L'heure où l'astre géant rougit et disparaît. Le grand bois jaunissant dore seul la colline. On dirait qu'en ces jours où l'automne décline, Le soleil et la pluie ont rouillé la forêt. Oh ! qui fera surgir soudain, qui fera naître, Là-bas, -

d’arrêt, une réflexion, de part ce simple signe l’auteur nous permet de respirer avant de passer à la seconde partie. 5) L’épigraphe « Cette brume insensée où s’agitent des ombres, comment pourrais-je l’éclaircir ? » annonce la première partie. Cette citation de Queneau est très poétique et ce rattache parfaitement à l’ambiance de la première partie car la « brume » peut faire référence au fait que Perec a des souvenirs flous/embrumés de son enfance et les « ombres » sont ses souvenirs qui sont entourés

Présentation de français Filles de Lune T.1 : Naïla de Brume I. Sommaire • Présentation Rapide • L’Auteur • Les Personnages • Le Résumé de l’Histoire • Lecture d’un extrait • Mon avis • La suite de la série … II. Présentation rapide Saga : Filles de Lune Titre : Tome 1 : Naïla de Brume Auteur : Elisabeth Tremblay Edition : Mortagne Fantasy Date de parution : 2010 Langue d’origine : Français Nombre de pages : 430

faire un mouvement, sentant bien pourtant qu'il était là, mais qu'il m'échapperait encore, lui dont le corps imperceptible avait dévoré mon reflet. Comme j'eus peur ! Puis voilà que tout à coup je commençai à m'apercevoir dans une brume, au fond du miroir, dans une brume comme à travers une nappe d'eau ; et il me semblait que cette eau glissait de gauche à droite, lentement, rendant plus précise mon image, de seconde en seconde. C'était comme la fin d'une éclipse. Ce qui me cachait ne paraissait point

souvent décrié des Fleurs du Mal · La Cloche fêlée Agnès DISSON Il est amer et doux, pendant les nuits d'hiver, D'écouter, près du feu qui palpite et fume, Les souvenirs lointains lentement s'élever Au bruit des carillons qui chantent dans la brume. Bienheureuse la cloche au gosier vigoureux Qui, malgré sa vieillesse, alerte et bien portante, Jette fidèlement son cri religieux, Ainsi qu'un vieux soldat qui veille sous la tente! Moi, mon âme est fêlée, et lorsqu'en ses ennuis Elle veut de