Brume

: « sous un plafond de brume ou dans un vaste éther ». Pourtant, l’écoute de la musique doit se faire dans le mouvement. Si ce qui est autour du poète reste calme, il y a désespoir : « D’autres fois, calme plat, grand miroir De mon désespoir ! » La musique qu’écoute le poète doit l’agiter pour ne pas le renvoyer à son propre désespoir. C’est pour cela que la musique est décrite par des métaphores renvoyant à la météo. Le champ lexical de la météo est multiple dans ce poème : brume, bon vent, tempête… Le

bateau qui sort du port (mer) et Jean est sur la plage (terre), ce qui montre les deux univers opposé de Pierre et Jean alors qu’ils sont frère. « Elle ne vit plus rien qu’une petite fumée grise, si lointaine, si légère qu’elle avait l’air d’un peu de brume »l.38 montre encore plus l’éloignement de Pierre envers sa famille. « Le paquebot en effet diminuer de seconde en seconde comme s’il eût fondu dans l’Océan. Mme Roland tournée vers lui le regardait s’enfoncer à l’horizon vers une terre inconnue, à

éclairer les rues, mais aussi grâce à « brume de suie » référence aux usines à charbon signe de modernité à l’époque. La pluie est l’image de la tristesse dans ce poème, elle y est présente au début, dés le premier vers « éternelle pluie », « les flaques d’eau  ». Elle s’attenue dans la deuxième strophe, puis reviens dans le deuxième vers de la troisième strophe « l’averse toujours » « la boue », preuve que sa tristesse de la vie et toujours présente et dure… La « brume de suie » peut aussi être l’image

« Un monde désenchanté », extrait des Confessions d’un enfant du siècle (p. 352 du manuel), d’une biographie de Napoléon 1er et de deux tableaux : Bonaparte franchissant le col du Grand Saint-Bernard, de David, et Le voyageur au-dessus de la mer de brume, de Caspar David Friedrich. ÉTAPE 1 Lire le texte de Musset Lisez le texte d’Alfred de Musset « Un monde désenchanté », extrait des Confessions d’un enfant du siècle, p. 352 de votre manuel. ÉTAPE 2 Mettre en relation une biographie de Napoléon

renouveau 1) Un poète perdu : Le champ lexical de la brume omniprésent dans ce poème insiste bien sur l’impression que le poète ne sait pas ce qu’il fait et où il va. En effet il est possible d’observer une notion de vague intense, de flou venant de la part de l’auteur qui mélangé à la mélancolie donne au lecteur une vue très limitée insinuant à un manque d’inspiration voire une vérité. Sur ce même contexte, la personnification de cette brume donne au poète une situation d’immense détresse qui le

rien qu'une petite fumée grise, si lointaine, si légère qu'elle avait l'air d'un peu de brume. La conclusion du passage et du roman : Une et dernière Brume : polysémique Indications révélatrices : le deuil est fait. Cette brume ce sont les nuages qui effacent tout repère du bateau qui s ‘éloigne ou une brume plus " mentale " (cf Ch IV : " C’est le cri d’une sirène, le cri des navires perdus dans la brume " ou encore Ch IX : " Mais lorsque Pierre eut quitté son collègue et se retrouva dans la

ensemble le tableau ci-dessous. Conclusion : , Il existe une multitude de signaux. Ils peuvent être classés selon leur nature ou l’usage que l’on souhaite en faire. Nature du signal Signaux Signification, information transmise Sonore La corne de brume Présence d’un bateau. Manœuvre. La cloche Le sifflet La sirène Visuel Le fumigène orange Assistance demandée. La fusée rouge Les bras agités de bas en haut Les balises Informe les marins sur les dangers potentiels. Guider les bateaux.

couchant dardait ses rayons suprêmes Et le vent berçait les nénuphars blêmes ; Les grands nénuphars, entre les roseaux, Tristement luisaient sur les calmes eaux. Moi, j'errais tout seul, promenant ma plaie Au long de l'étang, parmi la saulaie Où la brume vague évoquait un grand Fantôme laiteux se désespérant Et pleurant avec la voix des sarcelles Qui se rappelaient en battant des ailes Parmi la saulaie où j'errais tout seul Promenant ma plaie ; et l'épais linceul Des ténèbres vint noyer les

d’inaccessibilité du monde idéal des idées. C’est la brume qui brouille la difficile communication du poète. La double correspondance entre le « bruit des carillons » et « qui chantent dans la brume » marque un paradoxe entre les carillons qui sont sensés produire un son mélodieux et la brume, objet froid et morne qui transforme le chant en bruit. La brume a gagné contre les carillons qui ne produisent plus qu’un son étouffé. La brume masque donc les messages sonores et visuels du monde idéal

les Nibelungen ? Les Nibelungen, dont le nom signifie "ceux de la brume", ou "ceux du monde d'en bas" sont les nains des légendes germaniques. Ils possédaient de grandes richesses qu'ils tiraient de leurs mines en dessous des montagnes, là où ils habitaient.D'après C. Lecouteux, « Nibelung est formé du germanique nibel- (ancien haut-allemand : nëbel, ancien-saxon: nëbhal, ancien-bas allemand : nebble ou nibel, norroisnifl), “brume, brouillard, nuée”, apparenté au latin nebula, au grec νεφελη signifiant