Brutalité

d’intimité, il faut alors placer des balcons, qui vont apporter la lumière du jour et éclairer l’intérieur, tout en laissant à l’habitant un espace d’intimité. Ce bâtiment, créé entièrement avec du béton, impose une notion de gigantisme, de brutalité, mais il garde une élégance avec les pilotis qui l’élèvent avec grâce. L’architecte a réussi à mêler deux notions totalement différentes, ce qui est une grande invention. Il y a ainsi une nouvelle conception de l’urbanisme, avec cette ville qui donne

de le passer à un partenaire - de le jouer au pied en dribblant au sol ou bottant en l’air - d’aller au contact d’adversaires DROIT DE S’OPPOSER PHYSIQUEMENT SANS BRUTALITÉ On a le droit de ne plaquer que l’adversaire porteur du ballon, en le ceinturant à la taille ou aux jambes. On n’a pas le droit de s’opposer avec brutalité (croche-pied, placage à la tête ou au cou, prise aux épaules, coups, bousculade violente …) DEVOIR DE LIBÉRER LA BALLE Le porteur du ballon plaqué et tenu au sol doit

face au spectacle des Bergers Plan I - Réflexion du Loup a) l'entrée en ironie b) raisonnement du Loup c) bonne résolution transition : basculement de la fable II - Spectacle des Bergers a) constatation b) retour de la brutalité c) morale explicite I – Reflexion du Loup a) l'entrée en ironie dès le début : présentation du personnage principal : le Loup présentation ironique et moqueuse : antithése Loup et humanité, la parenthése nous impose d'avoir de l'imagination

d’emploi pour pouvoir la manger 1) La brutalité de l’homme : • Présence des 5 sens : -toucher : « apparence plus rugueuse » -goût : « à boire et à manger » -odorat : « flue et reflue à l’odeur » -vue : « la vue » • Présence du « on » qui désigne l’homme : « pourtant on peut l’ouvrir », « les coups qu’on lui porte », « à l’intérieur l’on trouve » celui-ci est souvent attribué à une action plutôt violente envers l’huître qui met en avant la brutalité des hommes • Le travail est « grossier

néglige les études, ne l’aime pas : « Tu n’es rien. Tu n’es toujours rien, et tu me fais peur ! » l. 34 chap. 37. Il l’humilie sans cesse et méprise « son allure arrogante, sa démarche assurée ». A contrario, Anton a su percer le masque de brutalité de brutalité derrière lequel se cache le jeune homme et voit en lui l’enfant qu’il est encore ; de ce fait, il lui fait confiance dès leur première rencontre : « C’est lui qui va ramener l’ambulance, j’en suis certain » (chap. 57 l. 70/71.) répète-il à

progressivement ils perdent de leur humanité, car l’emploi de ces pronoms les déshumanise. * Baudelaire propose un portrait en action (« prennent », « déposé », « mime », « agace »). Ces actions renvoient à une cruauté et à une violence. Cette brutalité est soulignée par un parallélisme syntaxique (« l’un agace / l’autre mime »). Ce parallélisme mécanise leurs gestes et souligne leur violence. * Le caractère trivial du vocabulaire employé (« brûle-gueule »), qui est un objet appartenant aux

Le nouvel ordre mondial Post guerre froide, les 30 dernières années ●1989-91 → Le communisme s’effondre. La guerre froide se dégonfle et disparait sans un bruit (image du ballon de baudruche). Tout le monde est surpris par la brutalité de se désamorçage total. ● Après un monde bipolaire à quoi sommes nous passé ? →Un monde multi bipolaire →Unilatéralisme avec l’hyper puissance américaine mais avec une nouvelle instabilité (insécurité) à cause des réseaux terroristes (différent des états)

policière. Puis rythme accumulatif, de plus en plus vite, souligne la violence, la somme d’humiliation infligés aux immigrés. Références à l’animalité avec la comparaison dans « on vous marquait comme des bêtes ». Le langage familier exprime la brutalité. A partir ligne 7 plus de virgules, va très vite, rapidité de l’expulsion, gradation dans maltraitance pour lecteur → lecture suffocante → traduit ignominie de la maltraitance. B) L’évasion (l 10 à 18) Changement de paragraphe, absence de

finalement de ne pas mourir. De plus, si tout ce que les détracteurs de la culture peuvent opposer à la supposée mollesse qu’elle engendre, ce sont les vertus militaires , on peut idéologiquement et moralement préférer le pacifisme de l’esthète à la brutalité du conquérant. Quand une société développe une politique culturelle par l’aide à la création, à la diffusion, par des programmes d’éducation musicale ou autres, elle affirme des valeurs autres que de pure et simple rentabilité. Elle vise un

la vie ordinaire et naturelle du village, qui s’en trouve bouleversé, voire traumatisé. Ils génèrent des conséquences qui amplifient ce traumatisme et révèlent la violence cachée de toute l’architecture sociale sur laquelle repose le village, ses brutalités, ses haines, ses jalousies et ses vengeances perverses, comme les dénoncera plus tard la baronne : le malheur qui frappe la famille paysanne, l’angoisse et le dépit de la baronne, le rigorisme moral du pasteur, les violences secrètes que dissimule