Buffle

professions qui exigent d'être attentif pendant la nuit, comme les chauffeurs routiers. Cette boisson contient de la caféine et de la taurine. Pour lutter contre le décalage horaire, il a vite adopté cette boisson locale, appelé le Krating Daeng ("buffle rouge" en thaï). C'est cette composition de base qui intéressait l'homme d'affaires autrichien, qui a donc négocié avec le fabricant de Krating Daeng, pour exploiter une version européenne de la boisson. Avec moins de sucre et plus de bulles, Red

orale : dans « Le Retour de l’enfant prodigue » (Chants d’ombre), Soni Ali, le souverain songhaï, est dit « fils de la bave du Lion » (51), de même que Soundjata, par exemple, est qualifié dans certaines versions de l’épopée mandingue de « fils du buffle, fils du lion » (sigi den, jata den, allusion à sa double ascendance maternelle et paternelle). Ces séquences formulaires abondent dans tous les recueils de l’Oeuvre poétique : parfois elles traduisent littéralement des expressions figées dans une

masques et remplis le tableau Présentation (tribu, pays) Matériau utilisé Masque de Guli Baoulé (Côte Ivoire) bois de fromager (arbre d’Afrique noire) ; peinture, clous figure allongée, géométrique avec traces de polychromie représente un animal = buffle, symbole de fécondité utilisé par les société secrètes pour l’apprivoiser. forme, grosseur, motif, les dents et les yeux exorbités Masque Mossi Haute-Volta (Burkina Fasso) bois peintures, fibres ; ficelle Masque Guéré Côte d’Ivoire Bois Traces

Stocké, il peut ensuite être acheminé vers les épiceries et supermarchés. La production mondiale est dominée par le lait de vache, soit 83% des quantités produites en 2009. Loin derrière, le lait de bufflonne pèse pour 12%. Issu de la femelle du buffle, ou ‘bœuf sauvage’, il est peu prisé en Europe et essentiellement collecté dans les pays asiatiques (Inde, Pakistan, Chine). Viennent ensuite les laits de chèvre (2%), brebis (1%) et autres mammifères, comme la chamelle (0,2%). En 2009, la production

l’agriculture. Les Hurons-Wendats de la région des Grands Lacs sont, comme les Iroquois, des agriculteurs et des chasseurs. Les Cris et les Dénés du Nord-Ouest sont des chasseurs-cueilleurs. Les Sioux sont des nomades qui suivent les troupeaux de bisons (buffles). Les Inuits se nourrissent des animaux sauvages de l’Arctique. Les Autochtones de la côte Ouest font sécher et fumer le poisson pour le conserver. Les groupes autochtones se font souvent la guerre pour agrandir leur territoire, maîtriser les ressources

changeaient tout ça. Ils couraient courbés dans l’herbe haute qui couvrait la plaine. Cette capacité , comme celle de grimper aux arbres pour faire le point, leur donnait l’avantage de la surprise. Les nouveaux dards rendaient possible de tuer des buffles. Ils essayâmes la nouvelle arme sur des crocodiles et des hippopotames. Mais eux aussi sont dangereux et les résultats furent médiocres. Edouard en conçut l’idée de tendre des pièges. Pour cela, il fallait creuser des fosses. Il eut l’idée de suspendre

l’action. Une profusion de bruits, tant naturels qu’humains, identifiables ou non, occupe l’espace hors-champ et diffuse mystère et inquiétudes sur le plateau et dans la salle. D’abord, les bruits de l’Afrique à la périphérie : les cris des crapauds-buffles, des éperviers. Puis, des manifestations humaines directes ou indirectes : rires et pleurs de Cal, cris de Horn, et surtout appels des gardes régulièrement réitérés, auxquels s’ajoutent les bruits de machines (camionnette, moteur, générateur, fusil

menace pour l’ensemble du biotope, doivent régulièrement subir un abattage contrôlé, à l’indignation des écologistes. On observe dans les parcs nationaux la plupart des animaux sauvages et l’incontournable ensemble du « big five » (cinq grands) : buffle, lion, léopard, éléphant et rhinocéros noir, devenus l’enjeu d’un safari réussi, sont immanquable au Kruger, mais subsistent également ailleurs. Aux côtés de ces stars, vivent des milliers d’antilopes, de babouin, de guépard, de girafes d’hippopotames

d’abuser de quelqu’un à son profit ». Nous voyons qu’un parcours figuratif de « l’exploitation » concernant Tam est mis en exergue par les figures « chargeait Tam des besognes les plus ingrates », « seule Tam travaillait », « envoya Tam mener paître le buffle », « Tam s’occupait de tout ». Cette dernière figure relève du figuratif abstrait, en ce sens qu’elle ne retient de la réalité qu’un minimum de traits ; par contre, les figures qui lui succèdent juste après dans le conte relèvent du figuratif iconique

sur des trouées blanches, à des hauteurs vertigineuses. La fumée de Monsieur Bark semble vouloir rejoindre le ciel. Elle s’échappe de ses lèvres, puis monte très vite. Parfois il la souffle par les narines. Monsieur Linh pense alors aux naseaux des buffles, aux feux aussi, allumés dans la forêt le soir afin d’éloigner les bêtes sauvages, et qui se consument avec lenteur durant les heures de la nuit. (Édition Le Livre de Poche, pages 25 à 28) Rédiger le commentaire Thème : La rencontre entre