Bulle spéculative japonaise

l’éclatement de la bulle financière qui est sans doute la crise la plus grave depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale continuera de peser pendant un certain temps encore sur l’économie réelle et par conséquent sur les perspectives d’embauche qui s’en trouveront retardées. Toutefois, elle ne signifie pas l’arrêt de toute activité économique, mais une vigilance accrue pour retrouver des bases plus saines et se recentrer sur des activités beaucoup plus axées sur la finance « réelle » que spéculative, ce qui

plus à l'idéologie et, dès lors, à la déontologie. Ensuite, quand ils le veulent, les économistes sont d'excellents décrypteurs de la réalité. Ils peuvent raconter la richesse, la pauvreté, l'inégalité, la croissance, la dette, la récession, la bulle boursière, et le reste. Mais là où il faut être très prudent, c'est dans leur interprétation des faits. Raconter le chômage c'est bien, dire que le marché du travail est inefficace c'est déjà autre chose. Cela consiste à apparier les notions de travail

jeudi 24 octobre, la bourse de NY connait une nouvelle activité anormale, mais c’est le lundi 28 octobre 29 que les transactions atteignent leur maximum. Les cours commencent à chuter, a dégringoler jusqu’en 1932. Depuis 1926, il existe une bulle spéculative qui s’expliquait par un sentiment général d’optimisme et de confiance. Mais l’optimisme et les liquidités abondantes rassuraient et créaient de la spéculation. Elle ne reposait QUE sur la confiance. En octobre, il y a donc un ralentissement

en pleine explosion, il est loin d’atteindre cette valeur. Même si ce rachat prouve la puissance de Facebook, elle a surtout eu un effet négatif. En effet, on lui a reproché d’être déconnecté des réalités et de précipiter l’éclatement de la bulle spéculative internet. Avec le recul, même si cet investissement n’a pas eu de conséquences trop lourdes pour Facebook, divers financiers estiment que c’est néanmoins une des causes de l’introduction ratée de cette société en bourse. Certaines entreprises

travaux de R&D effectués par les multinationales restent concentrés dans leur pays d'origine. En 1980, par exemple, 90 % environ des dépenses de R&D des fabricants américains étaient effectuées aux États-Unis mêmes. Seules quelques entreprises japonaises réalisaient des travaux de R&D hors du Japon (Dicken, 1992). Et bien que les activités de R&D tendent à se mondialiser, Dicken (1992) constate que les fonctions de recherche de haut niveau continuent d'être localisées à proximité du siège des

émergents vers les pays occidentaux (phénomène de fuite vers la qualité).une bulle financière s’est ainsi formée dans le monde développé. Son ampleur fut d’autant plus grande que beaucoup d’investisseurs ont surestimé les perspectives des nouvelles technologiques de l’information et de la communication (NTIC). La crise de confiance dans la sincérité américaine et les tensions entre les Etats-Unis et l’Irak firent éclater cette bulle, ce qui provoqua la crise financière de l’année 2002. Il est essentiel

dollars, les banques préfèrent recourir aux euromarchés (défiscalisés et dérèglementés) qui offre alors un contraste saisissant avec le degré très élevé de réglementation et de cloisonnement qui existait alors sur les marchés nationaux. Les banques japonaises ont internationalisé leurs activités seulement dans les 85’s / 90’s. Leur internationalisation n’a pas réellement été voulue, elle a été forcée et provoquée par l’accumulation d’énormes excédants de la balance des transactions courantes. Le choc

2008 a eu pour conséquence une réduction drastique du tourisme. Mais ce n’est pas tout. Un an auparavant, Rodrigo a cherché à s’agrandir en rachetant le fonds de commerce voisin. La banque semblait favorable à son dossier. Mais l’éclatement de la bulle des subprimes aux États-Unis, ces emprunts gagés sur des prêts hypothécaires très fragiles, a eu un impact sur toutes les grandes banques d e l a p l a n è t e . D a n s s o n a g e n c e du c e n t r e d e M a d r i d , à 8 000 kilomètres des ménages

nouveaux domaines ; • abandon progressif des anciens domaines de production dont l’avantage comparatif se réduit au profit de nouveaux pays en cours d’industrialisation (par exemple, abandon progressif du textile, puis de la construction navale japonaise et passage à la production à plus forte valeur ajoutée, telles que l’optique, l’électronique ou, aujourd’hui, la robotique). Ainsi la Chine a mené une politique économique combinant ouverture aux investissements directs étrangers et abaissement

2008 a eu pour conséquence une réduction drastique du tourisme. Mais ce n’est pas tout. Un an auparavant, Rodrigo a cherché à s’agrandir en rachetant le fonds de commerce voisin. La banque semblait favorable à son dossier. Mais l’éclatement de la bulle des subprimes aux États-Unis, ces emprunts gagés sur des prêts hypothécaires très fragiles, a eu un impact sur toutes les grandes banques d e l a p l a n è t e . D a n s s o n a g e n c e du c e n t r e d e M a d r i d , à 8 000 kilomètres des ménages