Bulle spéculative japonaise

Sortie progressive de la déflation La reprise fait tache d’huile Le PIB a progressé de 0,9% au T4, tiré dans une large mesure par la robustesse de la demande asiatique et les mesures d’incitation à l’achat de produits « verts ». L’économie japonaise a enregistré une croissance de 0,9% au quatrième trimestre par rapport au précédent, après un repli de 0,1% au T3 2009. Les exportations ont été encore une fois la principale locomotive de la croissance, affichant une hausse de 5% par rapport au

euro-obligations, sont une vieille idée des partisans d'une Europe plus fédérale. Le principe : les états membres de la zone euro lanceraient des emprunts communs sur les marches, en émettant des euro obligations, afin de se proteger mutuellement des attaques spéculatives et de mutualiser leurs dettes publiques. Alors une euro-obligation est une obligation libellée en euro qui serait émise au nom de l’union européenne et non plus des gouvernements nationaux. 2. Les obligations étrangères : Les obligations étrangères

organisations internationales montre que leurs estimations pour l’année 1994 (tableau 1) concordent quant au signe de l’écart de production 9, les ordres de grandeur différant sensiblement dans le cas du Japon. Si de toute évidence, l’économie japonaise opère en-deçà de son 8. Une présentation détaillée des principes généraux retenus par le FMI est présentée dans Adams, Fenton, Larsen (1987) ; elle est résumée dans FMI (1988). 9. 1994 est une année de sortie de récession en Europe continentale

des Nations Unies sur l’environnement et le développement (CNUED). * Ce Guide avait d’abord été conçu en 1991 pour Hydro- Québec International qui l’utilise depuis au sein de l’organisation E-7, un consortium d’ONG nord-américaines, européennes et japonaises dans le cadre de leurs projets hydroélectriques dans les pays en développement, puis, en 2001 pour la division conformité environnementale de l’Agence canadienne de développement international (ACDI). 1 Conférence internationale L'EDUCATION

leurs dépenses, les banques financent moins l'économie et, enfin, les Etats accroissent les impôts, ce qui amoindrit plus encore les incitations à investir et à consommer... C'est la raison pour laquelle les économies connaissent en général après une bulle de crédit une longue période de stagnation durant laquelle l'endettement est progressivement purgé. Cette lente purge n'est pas une fatalité. Pour libérer rapidement les économies du sud de l'Europe, il faut restructurer les dettes publiques et privées

moins cher dans leurs usines américaines, elles y gagnent : ces exportations leur ouvrent le droit d'utiliser une plus petite proportion de pièces détachées mexicaines pour produire les automobiles destinées au marché local. les voitures japonaises(exemple de restriction volontaire aux exportations): Dans les années 1960 et 1970, les goûts des consommateurs pour les voitures étaient tellement différent de ceux du reste du monde que l'industrie automobile était largement à l'abri

la fin de la guerre, toutes les rues sont envahies par la foule. A Manhattan, 2 millions de personnes se rassemblent à cet endroit. Il y a un écran géant avec écrit V-J Day. C’est le triomphe de l’armée américaine sur le totalitarisme et l’armée japonaise. La Deuxième Guerre mondiale devient la bonne guerre en opposition à la sale guerre (Vietnam). Pour la dernière fois de leur existence, les américains n’ont aucun doute sur leurs actions. Ils sont vus comme des libérateurs de l’humanité. A travers

précédée de bien d’autres. Citons pour mémoire, dans les périodes les plus récentes : les crises des dettes externes de l’Amérique latine dans les années 1980 puis les crises asiatiques de même type, les crises bancaires scandinave et japonaise des années 1990, la bulle Internet et la crise boursière des années 2000. Depuis début 2007, certains économistes avaient tenté d’alerter les autorités et les marchés sur les risques financiers découlant de la dette croissante des États-Unis (publique et externe)

en bourse. Les volumes de transaction ont augmenté de manière exponentielle. La fin des années quatre-vingt-dix a été marquée par la montée des valeurs issues des secteurs des nouvelle technologies. Ceci a conduit à l’apparition d’une bulle spéculative, dite bulle internet, qui s’est rapidement dégonflée en 2000 et 2001. La crise actuelle rappelle avec acuité, si cela était nécessaire, que des événements extrêmes peuvent se produire au sein du système financier. Au cours des deux dernières années

faire activement, et la liberté d’agir sur les euromarchés (défiscalisés et dérèglementés) offre alors un contraste saisissant avec le degré très élevé de réglementation et de cloisonnement qui existait alors sur les marchés nationaux. Les banques japonaises ont internationalisé leurs activités seulement dans les 85’s / 90’s. Leur internationalisation n’a pas réellement été voulue, elle a été forcée et provoquée par l’accumulation d’énormes excédants de la balance des transactions courantes. Après une