Bulle Spéculative

réduit son taux directeur de 6,5% à 1,5%. Cette baisse s’est poursuivie jusqu’à un plancher historique de 1% à la mi-2003. C’est en voulant amortir l’impact récessif du krach du Nasdaq, que la FED a créé les conditions de formation d’une nouvelle bulle spéculative, dont la flambée de l’immobilier et celle de la Bourse étaient les manifestations les plus visibles. 2ème PARTIE : DROIT Question n°1 : Les faits reprochés à M. Cyrille S sont qu’il mettait à disposition du public sur Internet, sans autorisation

leurs titres à crédit, ne peuvent plus rembourser les intérêts qu'ils doivent verser, la hausse des actions devenant inférieure au coût de l'emprunt. Le cycle vicieux est entamé. c Mecanismes Tout commence par la création d’une bulle spéculative vers 1927. La bulle est amplifiée par le nouveau système d'achat à crédit d'actions, qui depuis 1926 est permis à Wall Street. Le système marche « ainsi » : • Plus le taux d’emprunt est bas, plus les gens empruntent . • Plus ils empruntent, plus ils

prix suivent la loi de l’offre et de la demande cependant depuis la libéralisation des marchés des produits dérivés aux Etats-Unis en 2006, de nouveaux investisseurs sont apparus (fonds d’investissement, fonds de pension, etc.) et avec eux une bulle spéculative qui fait évoluer le marché différemment de la réalité physique. En effet, on peut déstabiliser le système et donc les prix en gardant une grande quantité de stock. De plus les marchés de gré à gré sont peu régulés : les produits s’y échangent

vedette (le CAC 40) ont connu des fluctuations très importantes depuis 20 ans, à la hausse comme à la baisse. Au cours des deux dernières décennies, deux krachs boursiers majeurs sont à signaler : - le krach de 2000, qui marque l’éclatement de la « bulle Internet », période au cours de laquelle les investisseurs avaient beaucoup parié sur la réussite des entreprises liées aux nouvelles technologies ; - le krach de 2008, qui accélère la « crise des subprimes » dont les effets se font toujours ressentir

position débritrice vis à vis d'autres agents économiques, la crise de solvabilité se transmet par dominos à l'ensemble de l'économie. Le risque de marché lié aux variations des cours des titres/intérêt/ taux de changes. L'explosion d'une bulle spéculative peut affecter grandement l'économie réelle. Le risque lié aux comportements imprudents/gré-guerre des opérateurs (trader...) le risque systémique (risque ultremme). C'est à dire que la crise touchera l'ensemble du système financier mondiale

l’histoire nous a fait connaître régulièrement depuis le 19ème siècle. La première de ses formes , et la plus ancienne, est la crise de spéculation. Pourquoi les actifs patrimoniaux (actions, immobilier, or…) peuvent-ils faire l’objet de bulles spéculatives ? Parce que leur prix, au contraire de celui d’un bien ou service industriel ou commercial reproductible, ne dépend pas de leur coût de revient. Pour peu que les informations ne soient pas bien partagées (entre le prêteur et l’emprunteur, l’actionnaire

destruction créatrice ») ensuite revient d’une nouvelle vague d’innovations. (exemple automobile qui n’a pas fait sa révolution du « sans pétrole ») 1.2 Des théories qui s’appliquent aussi aux Marchés  La crise des tulipes : La première bulle spéculative, aussi connue sous le nom de tulipomanie,.après l’introduction en Hollande de la Tulipe autour de 1559, le bulbe de cette fleur augmente rapidement de façon exponentielle et irrationnelle. C’est l’effet spéculatif. Tout le monde s’enrichit, jusqu’à

à 25 %. La seconde consiste à construire un indicateur de pression spéculative, combinant la variation du change aux variations des réserves officielles et du taux d’intérêt supposées représenter l’intensité de la défense de la parité par les autorités monétaires. La définition de crise boursière ou de krach renvoient à deux acceptions différentes mais non exclusives. La première correspond à l’éclatement d’une bulle spéculative, elle-même définie comme un écart important et persistant du prix d’un

notamment les erreurs cognitives, les comportements biaisés, les diverses émotions et passions mais aussi les conséquences de ces anomalies sur le marché : les volumes des transactions, la volatilité des cours, mais aussi l’existence de bulles spéculatives et de crises financières. Dans un deuxième temps il s’agira d’envisager les mesures susceptibles d’assurer un meilleur fonctionnement des marchés notamment par la lutte contre la spéculation déstabilisante et en réduisant l’importance des marchés

banques. La politique budgétaire des États dont les comptes sont déjà largement dégradés a perdu une grande part de sa latitude par rapport à la situation des années 2000. Ces politiques portent également en elles-mêmes le risque d'une nouvelle bulle spéculative et donc d'une nouvelle crise car elles encouragent l'endettement dans un marché déjà surliquide, engendrant les conditions d'une reprise de l'inflation, et créent un aléa moral en renflouant systématiquement les institutions bancaires en difficulté