Burlesque

ce qui le conduira aussi à sa perte. (v.19) c) La dimension burlesque La cour du lion n’est pas ancrée dans la réalité, elle reste dans le domaine de l’imaginaire « vassaux » (v.4), « circulaire écriture » (v.6). On trouve un comique burlesque dans la parenté établie entre ce « lion là » (v.26) et l’empereur romain Caligula (v.27). « Chez Pluton » (v.19) n’est en fait qu’un doux euphémisme burlesque pour parler de la mort de l’ours. III- L’ironie sert la réflexion

Il critique le côté clinquant et le style lourd du baroque. Il critique le burlesque trivial. Vers 39 : « pointes triviales » = la bassesse de vocabulaire « parla »=chose qui devrait être terminée « Parnasse/halle »=antithèse Champ lexical de la maladie, de la contagion (vers 43) Mais Boileau distingue le burlesque (choses héroïques) du bouffon (parodies de choses non héroïques). Il sous-entend que le burlesque a de bons sujets mais une écriture mauvaise. Il critique le non respect de

Nature Titre : Les Temps Modernes Titre original : Modern Times Réalisateur/scénariste/producteur/monteur : Charlie Chaplin Date de sortie : 5 février 1936 au États-Unis Durée : 1 heure 23 minutes Nationalité : Américain Genre : Comédie burlesque Techniques : Noir et blanc, muet, sonorisé Contexte de Production Public visé : Tout public Conteste Historique : La crise économique de 1929, l'industrialisation Acteurs célèbres : - Charlie Chaplin - Paulette Goddard - Henry Bergman -

renouvelle-t-il l'art de la dispute entre maître et valet ? Pour réponre à cette question, nous étudierons donc la "dispute" entre maître et valet, nous verrons ensuite comment le comique renverse les rôles, pour enfin nous intéresser à la philosophie burlesque et à la philosophie impie qui opposent les deux personnages. a. Les personnages, étant dans la fôret pour échapper à douze hommes, doivent probablement se déplacer assez vite. Sganarelle doit surement faire de grands gestes en même temps qu'il

les tuait ». Quelques notes sur le cours INTRODUCTION : Situation… Cette scène, dialogue, va consister en l’annonce de sa mort au roi Bérenger et des sentiments qu’elle suscite chez lui. Registres : comme précédemment : mélange des tons à burlesque à démythification de la tragédie. Toujours fantastique. COMPOSITION : Deux mouvements  1°/ du début… « on devrait le faire rembourrer » : L’annonce de sa mort au roi et le refus de celui-ci d’accepter cette idée 2°/ « Comment se porte le pays…

provoquant une émotion chez le lecteur. La fable de La Fontaine évoque une querelle de basse-cour en faisant référence à  la mythologie antique. Le combat qui oppose les deux coqs fait l’objet d’une narration parodique et burlesque dont le fabuliste nous invite à tirer une leçon. Le burlesque consiste à transformer l’épopée antique en une vulgaire querelle de poulailler. L’auteur utilise par ailleurs un style soutenu pour ridiculiser les personnages . En mêlant, comme il le fait, un sujet des plus communs

allégorie de la paresse sous les traits d’un personnage apathique dans un lit, sourd et comme mort au bruit du monde. Il sera donc intéressant d’analyser de quelle manière ce poème provocant nous invite à chercher ce qui se cache derrière son côté burlesque.** D’abord perplexe face au ressenti contrasté de ce paresseux, le lecteur s’interroge en effet sur les facettes du comique que propose le poète pour finalement peut-être comprendre que cet étonnant portrait fait l’éloge d’un certain art de vivre

la farce et aux mécanismes simples, l'autre cultive en revanche une représentation enjouée de la réalité dissimulant une critique des moeurs. Le premier privilégie les attaques du physique, des ridicules corporels d'un individu, par exemple le burlesque des "yeux de fouine" ou du "menton fuyant" de M. Besson (selon Guillon). Le second attaque en souriant les puissants aux prises avec des thèmes qui les dépassent : la reprise par M. Besson de thèmes attribués au Front national (toujours selon Guillon)

lampes présentes sur l’œuvre. Les rouages ont un aspect vétuste et « déglingué » car ils sont composés de pièces ayant déjà servies, usées, rouillées, présentant des traces d’une utilisation antérieure, recyclées en quelque sorte sur cette machine burlesque. Ces rouages sont disposés selon des axes verticaux et horizontaux. Certains axes peuvent produire un son qui renforce l’impression d’une machine pleine de mouvements, de bruits, de vie. Le ballet des lumières projette autour de l’œuvre des ombres

rayonne. Enfin, la charogne est assimilée à une proie traquée par son prédateur, la chienne « inquiète » et « fâchée ». Ainsi la charogne est vivante, ce qui lui donne un côté encore plus repoussant et effrayant. 5°) Étudier les registres baroque et burlesque On remarque la présence du registre baroques, notamment par l’étrangeté de la scène : lors d’une ballade avec sa maîtresse, le narrateur et elle ont vu une charogne en décomposition qui a marqué le narrateur, si bien qu’il la compare avec sa bien-aimée