Burqa

romantique du XIXème siècle d’un peuple qui se libère du joug de la tyrannie est ici remplacée par une version très noire et apocalyptique où le gavroche parisien porte un casque et un masque à gaz. Quant à la liberté, elle se voit recouverte d’une burqa. Le collectif d’artistes russes AES+F , contrairement à Gérard Rancinan, ne cite pas une oeuvre précise de l’histoire de la peinture dans ses mises en scène photographiques qui puisent leur inspiration dans Le Festin de Trimalcion récit tiré du Satiricon

bâtiments, aux services… En général, les tribunaux britanniques veillent à ce que la religion soit acceptée dans la sphère publique à condition qu’elle ne constitue pas une menace à la sécurité. (C’est ainsi que l’on voit beaucoup de foulards et de burqas dans la rue). Cependant, depuis le début de ce siècle, on assiste à un certain durcissement : une assistante pédagogique est licenciée en 2006 au motif que le « niqab » qu’elle porte nuit à sa capacité de se faire comprendre par les élèves, le tribunal

de nationalité pour les fcais d’origines étrangères naturalisés depuis moins de 10 ans ? Constitutionnellement peut on ou pas ? Est ce qu’un mm crime peut être puni par deux peines différentes ? Est il possible de télécharger des films ? Burqa : la société doit elle poser comme règle ? Euthanasie : peut on l’autoriser ? Le psdt de la République respecte ou non la lettre de la constitution selon art.5 de la Constitution de 1958 : « Le Président de la République veille au respect de la

l’accès des medias destiné spécifiquement à l’expression d’une culture. Il est problématique de séparer de façon précise les objets de revendications des groupes dans certains cas. En France, par exemple, les polémiques autour du voile (et de la burqa) et des prières publiques sont usuellement interprétées sous l’angle culturel. Le problème, toutefois, est que l’exploitation médiatique et politique de ces thématiques « culturelles » laisse de côté le caractère lui aussi très « culturel » de la laïcité

pouvoirs publics), les épreuves importantes doivent être organisées en dehors de ces jours. Ce dispositif dans son ensemble a finalement été validée par la CEDH (décision du 30 Juin 2009 « Mlle Tuba-Aktas contre France »). L’interdiction de la burqa irait à l’encontre de trois libertés fondamentales (aller et venir, culte et opinions). - Application du principe d’égalité Il s’applique d’abord aux collaborateurs et agents du service public, et explique en particulier le système du concours

constant mouvement. Dans la proximité, la présence d’autrui perturbe et gêne. C’est la raison pour laquelle les crises se sont surtout multipliées autour de phénomènes visibles et spectaculaires : foulards islamiques, niqab (voile cachant le visage), burqa, minarets, auxquels il faut ajouter les expressions culturelles ou religieuses perçues comme « étrangères », c’est-à-dire différentes, inhabituelles ou trop « visibles » car pas encore « normalisées » (voire « neutralisées », au sens de rendues « neutres

publique. Cette formulation a été choisie pour se mettre en conformité avec la jurisprudence de la Cour européenne des droits de l’homme, notamment en Turquie on avait sanctionné le fait que certaines personnes en vertu de leur religion portent la burqa. Les exceptions où l’on accepte que le visage soit dissimulé sont au nombre de 3 : si la tenue est prescrite par un texte règlementaire, comme la loi (par exemple, un casque intégral pour les routiers). Aussi, lorsque la protection de l’anonymat est

administratif a admis que le ministre de l’intérieur puisse se fonder sur un comportement incompatible avec les valeurs essentielles de la communauté française et notamment avec le principe d’égalité des sexes, qui incluait en l’espèce le port de la burqa, pour caractériser un défaut d’assimilation et justifier légalement un refus d’acquisition de la nationalité française par mariage sur le fondement de l’article 21-4 du Code civil (CE, 27 juin 2008, Mme M., n° 286798), ce qui devrait s’appliquer a

1er de ce projet de loi prévoit que nul ne peut dans l’espace public porter une tenue destiné à dissimuler son visage. Cette loi n’est pas encore définitive. Mais cela heurte l’égalité des sexes. En effet, seules les femmes porte le nikhab ou la burqa et cela peut représenter un symbole d’infériorisation de la femme (marque d’apartheid sexuel). On enlèvera alors toute individualité à la femme et on fera acte d’atteinte à sa dignité (voir les travaux préparatoire du Sénat sur internet sur la dissimulation

devant le tribunal d’Oklahoma pour appuyer la plainte d’une famille musulmane dont la fille avait été exclue de l’école car le règlement de l’école interdisait tout couvre-chef. En Grande-Bretagne une Cour d’Appel a censuré un règlement autorisant la Burqa à l’école. Le Conseil d'Etat a rendu un avis le 30 mars 2010 où il explique qu’il ne faut pas d’interdiction générale et absolue dans les lieux publics. Il donne ensuite beaucoup d’exemples. Au Canada, il existe la jurisprudence de l’accommodement