Burqa

quelques centaines d’invités présents étaient si peu convaincus que les applaudissements polis, timides et rares, n’ont véritablement éclatés qu’à l’affirmation présidentielle selon laquelle « la France est un pays où il n’y a pas de place pour la burqa. » Démonstration éclatante du refus populaire d’une immigration à la fois ostentatoire, provocante, revendicatrice et éloignée de notre civilisation et de nos mœurs. Dans l’émouvante évocation des maquis du Vercors et des sacrifices consentis, Nicolas

année, au cours de l’été, une femme dissimulée sous une burqa bleu ciel a frappé au portail. Quand je me suis approché, j’ai constaté qu’elle vacillait sur ses jambes, comme si elle était trop faible pour tenir debout. Je lui ai demandé ce qu’elle voulait, mais elle ne m’a pas répondu. — Qui êtes-vous ? ai-je insisté. Elle s’est écroulée par terre. J’ai appelé Hassan, qui m’a aidé à la porter sur le canapé du salon puis à lui ôter sa burqa. Dessous se trouvait une malheureuse édentée aux cheveux

islamique, la France se montre inconfortable face au symbole de l’appartenance de la gent féminine à l’Islam. Après l’interdiction du port du voile dans les établissements scolaires du primaire au lycée, en 2004, c’est au tour des femmes qui portent la burqa dans la voie publique de raviver les sentiments dits laïcs2. Pour résoudre le 1 « problème », une commission au Parlement examine cette question qui ne concerne que quelques centaines de femmes. Nous regrettons que les débats – peu importe les

une perruque, les religieuses françaises. Dans les pays européens=préoccupation -En France, il est q° d'interdire la burqa (avec le grillage)=ce mot renvoie à l'Afghanistan. Un de ses synonymes est le nikab (on ne voie que les yeux). En France, affaire politique contrairement aux autres pays européens=reconnait le droit de refuser la nationalité à une personne qui porte la burqa. Loi 14 septembre 2010=interdit la dissimulation du visage dans tous les lieux ouverts au public (commerce, transport

déconstruction de la norme http://lemarginal.com/dossiers.html : De polyandrie, de polygynie et de monogamie http://science-univers.qc.ca/sexual... : la sexualité du futur : la bisexualité et l’omnisexualité http://membres.lycos.fr/burqa/ : hebdo d’opinions et de réflexions inspirées de l’actualité et du quotidien de transgenres marginales. http://membres.lycos.fr/endehors/pa... : émancipation des femmes et à l’abolition des classes http://www.total.net/%7Ejogamo/9812c.htm :

de l’homme et du citoyen, « la loi doit être l’expression de la volonté générale ». Cependant, elle est plus désormais l’expression du législateur, de bureaucrates, de groupes de pression ou le moyen de résoudre un problème de société (loi « anti-burqa » de 2010). Les lois mémorielles ont pour but de reconnaître une tragédie de l’Histoire et espèrent ainsi enterrer le passé (loi de 2001 reconnaissant le génocide arménien …). Les lois n’ont plus de contenu normatif. Les citoyens sont davantage associés

personne est invoqué par les juges afin de limiter la liberté.  Le CE avait commencé dans l'arrêt Commune de Morsang-sur-Orge a utilisé la dignité de la personne pour protéger l'individu. Mais dans un avis de 2010 sur la question de l'interdiction de la burqa dans l'espace public. Le principe de dignité ne peut être la base de cette interdiction porterait atteinte à la liberté de la personne. C'est l'utilisation de cette notion de dignité qui est problématique pas le fait que cela réintroduise la morale

fidèle aux articles 111-2 et 111-3 du code pénal qui les reprend littéralement. Mais rien n’interdirait au législateur de créer des contraventions par le biais d’une loi au sens strict. L’hypothèse est rare, mais ce fut le cas pour la loi contre la burqa, il incrimine cela au moyen d’une contravention. Indépendamment de la loi au sens stricte, on peut évoquer d’autres dispositions qui figurent dans la C°, l’article 16 qui autorise le Président a débordé sur les pouvoirs du Parlement. Rien ne l’interdirait

question de savoir comment prévenir des provocations répétées à la haine et à la discrimination raciale et des propos portant atteinte à la dignité humaine ». Dans un avis de Mars 2010, le CE a considéré que l’interdiction générale et absolue de la burqa serait contraire aux principes fondamentaux qui régissent la société. Le texte a néanmoins été adopté et le CC a jugé que cette loi était conforme à la Constitution, prenant le contre-pied de l’avis du CE : « le législateur a estimé que de telles pratiques

membre des instances dirigeantes du FFS, après 1989. Elle est notamment l’auteur de L’Énigme du Maghreb, où elle dénonce la polygamie dans les pays maghrébins. Elle est également l'auteure de "Une éducation algérienne" chez Gallimard/Folio, en 2007, Burqa? En collaboration avec Claude Ber, éditions du Chèvre feuille Étoilée, en 2010, Une femme en colère : lettre d’Alger aux Européens désabusés, éditions Gallimard, en 2009. Le 8 mars 2012, elle est à l’initiative, avec 7 autres femmes arabes, de L’appel