Bâle Iii Impact

de générer des fonds occultes et de l'argent noir en liquide. => Financement du terrorisme Conclusion : un secteur 1) majeur – 2) très exposé au risque. Solution actuelle normes prudentielles (Bâle 2) et réglementaires (CRBF 97-02) Ouverture vers 3ème directive et puis surtout BALE III et projet de taxe

majeures. C'est pourquoi La Banque des Règlements Internationaux (BRI) dont le siège est à Bâle (Suisse) a établi des ratios de solvabilité que toutes les banques doivent respecter. On compare donc le niveau des engagements d'une banque (credits et autres placements) au montant de ses fonds propres (capital apporté par les actionnaires et profits de la banque). En 1988, à la creation du premier ratio (Bâle I ou ratio Cooke), il était égal à 8% ce qui signifiat que pour prêter 100 millions d'euros

* le retrait des assureurs crédit face à la montée des risques * une crise de liquidité des banques qui les a amenées à une plus forte sélection dans la distribution du crédit. En effet, les banques, qui depuis l’instauration des accords de Bâle III doivent augmenter leurs ratios de fonds propres, font face à un renchérissement du coût de refinancement et ainsi ont durci leurs conditions d’accès au crédit pour les entreprises. Or ceci rend d’autant plus difficile l’accès au financement des

propres par rapport aux risques etc. 7) Régulation micro : Régulation fondée sur les mécanismes de marché : Bâle 1 et 2 : « La stabilité systémique, qui est de l’ordre macroéconomique, est supposée atteinte en additionnant des établissements individuels qui seraient séparément sécurisés selon certaines normes 1 et 2 ». Bâle I=1988 = focalisé sur le risque de crédit, via le ratio Cooke. Bâle II = 2004 = sur le risque de marché et le risque opérationnel, omettant de fait le risque systémique. Ratio

et leur solvabilité (I).Deuxièmement, elles doivent mettre en place et participer aux opérations de contrôle (II). I. L’application de normes de gestion destinées à garantir leurs liquidités et leur solvabilité A. La mise en place des ratios « Bâle II » - De solvabilité ou Mc Donough : fonds propres prudentiels /ensembles des risques pondérés sup à 8% -> Exigence minimale de fonds propres tenant en compte les risques de crédit, de marché et opérationnel ; Amélioration du processus de surveillance

avant les mesures règlementaires appliquées par les établissements de crédits pour prévenir le risque systémique et, dans une seconde partie, nous verrons les mesures prudentielles qui sont appliquées. I ) les mesures règlementaires Les accords de Bâle III ont été publiés en décembre 2010 et, comme leurs prédécesseurs, forment un ensemble de propositions de réglementation bancaire partant du constat que la sévérité de la crise mondiale de 2007-2008 s’explique en grande partie par la croissance excessive

favoritisme », souligne Alan Lemangnen, économiste chez Natixis. Au- delà, c'est la méthode utilisée qui sera scrutée. En apparence, la Banque centrale ne pousse pas très loin le curseur des fonds propres durs exigés, reproduisant les exigences de Bâle III (7 % de fonds propres durs «core» Tier-1, voire 8 % pour les établissements systémiques). En réalité, l'exercice sera exigeant, puisque les actifs placés en face de ces fonds propres seront surveillés de très près via l'AQR. Le périmètre de revue

LES ACCORDS DE BALE SYNTHESE Chacune des recommandations du Comité de Bâle comporte de multiples dimensions, jugées nécessaires à un moment donné. Toutefois, elles s’articulent toutes autour d’un outil principal : le ratio de fonds propres. Ce ratio a été le grand principe posé par Bâle I. Il s’agit alors d’imposer un rapport minimum entre les fonds propres dont dispose une banque et les risques qu’elle porte sur les marchés ou sous forme de crédits à ses clients. En 1988, Bâle I a imposé d’avoir

Les banques Centrales et les régulateurs bancaires ont adopté le dimanche soir à Bâle un plan visant à accroitre la solidité du système face à de futures crises. Il vise notamment à: - Relever les fonds propres des établissements financiers - Constituer un amortisseur financier supplémentaire Dispositions La part la plus solide des fonds propres sera porté de 2% actuellement à 4,5%. Le ratio de fonds propres « tiers 1 » passera de 4% à 6%. Il représente les fonds propres de meilleure

positif. La baisse des couts de la productivité peut entraîner la baisse des prix des produits, donc favoriser leur diffusion auprès des consommateurs d’où hausse de la productivité et augmentation de la croissance. TABLEAU DES DIFFERENTS CHOCS. III. Les explications endogènes des fluctuations : l’exemple du cycle de crédits. * Comprendre les principales origines endogènes des fluctuations économiques. A- L’exemple du cycle de crédit. * Ce sont les banques commerciales qui créaient