Bérénice Grandeur D âme

de manière circulaire : il s’ouvre et se ferme sur l’évocation de l’esprit de ce personnage, caractérisé par son excellence. Entre ces deux évocations de son esprit, le portrait vante son âme, qui est lui-même le reflet de cette qualité supérieure. Il accorde peu d’importance à la beauté ; en revanche, son âme n’a pas d’égale et son esprit pas de bornes. La négation sert à mettre en évidence le caractère absolu. Elle est ici le support de l’hyperbole. L’esprit de Cléomire est étudié par opposition

(1646) ; Héraclius (1647) ; Andromède (1650) ; Don Sanche d’Aragon (1650) ; Nicomède (1651) ; Pertharite (1652) ; Œdipe (1659) ; La toison d'or (1660) ; Sertorius (1662) ; Sophonisbe (1663) ; Othon (1664) ; Agésilas (1666) ; Attila (1667) ; Tite et Bérénice (1670) ; Psyché (1671) ; Pulchérie (1672) ; Suréna (1674) ] 2. Les comédies de Corneille C commence à écrire des comédies dans les années 20. C’est le genre farcesque qui prédomine à cette époque (La farce est un genre dramatique qui a comme

quasi mystique d’abandon à l’amour du Christ, en marge de toute sagesse pragmatique ou de spéculation théologique). La Comédie de Mont-de-Marsan (1548): met aux prises la Mondaine (n’aime que son corps) et la Superstitieuse (n’aime que son âme), elles se rendent à l’enseignement de la Sage. Toutes trois rencontrent la Ravie (attitude religieuse purement affective). p 390 2. La Comédie, « miroir de la vie ». Pierre de Larivey. Ses comédies sont « traduites » d’originaux

quarantes « immortels » y ont beaucoup contribué. Et ce sont les créations littéraires de Corneille et Racine qui ont marqué l’histoire de la tragédie classique. Les deux grands hommes ont caractérisé la tragédie. Les traits distinctifs tels que la grandeur du spectacle de Corneille et la finesse de l’analyse psychologique de Racine captent l’attention des lecteurs et provoque en eux une lamentation profonde. Boileau traite des règles fondamentales de l'écriture en vers classiques, et de la manière

choisit de sacrifier son amour à l’honneur de sa famille, conformément aux mœurs de l’époque. Allons, mon bras, sauvons du moins l’honneur, Puisqu’après tout il faut perdre Chimène. P.54 Les paroles du Cid confirment à la fois sa lucidité et sa grandeur d’âme, car, même s’il a tué le Comte, il ne cesse d’aimer Chimène, il vient lui parler pour justifier son geste, et pour lui demander de le juger puisqu'elle est la seule personne qui a le droit de le juger. Il dit à Elvire : Mon juge est

d'Agrippine. 20 Il vous doit son amour. AGRIPPINE. Il me le doit, Albine. Tout s'il est généreux lui prescrit cette loi. Mais tout, s'il est ingrat, lui parle contre moi. ALBINE. S'il est ingrat, Madame ; ah ! Toute sa conduite Marque dans son devoir une âme trop instruite. 25 Depuis trois ans entiers qu'a-t-il dit, qu'a-t-il fait, Qui ne promette à Rome un empereur parfait ? Rome depuis deux ans par ses soins gouvernée - 13 -Au temps de ses consuls croit être retournée, Il la gouverne en père. Enfin Néron

s’empara de la Franche-Comté, jusque-là espagnole. Intérêt de l’action Avec ‘’Iphigénie’’, Racine revint aux sujets grecs et mythologiques qu'il avait délaissés depuis ‘’Andromaque’’ pour des tragédies historiques romaines (‘’Britannicus’’ et ‘’Bérénice’’) ou orientales (‘’Bajazet’’ et ‘’Mithridate’’). Il reprit l’un des épisodes les plus pathétiques et les mieux connus de la vie de la famille maudite des Atrides : celui du sacrifice d’Iphigénie par son propre père, Agamemnon. Il s’inspira des

s’empara de la Franche-Comté, jusque-là espagnole. Intérêt de l’action Avec ‘’Iphigénie’’, Racine revint aux sujets grecs et mythologiques qu'il avait délaissés depuis ‘’Andromaque’’ pour des tragédies historiques romaines (‘’Britannicus’’ et ‘’Bérénice’’) ou orientales (‘’Bajazet’’ et ‘’Mithridate’’). Il reprit l’un des épisodes les plus pathétiques et les mieux connus de la vie de la famille maudite des Atrides : celui du sacrifice d’Iphigénie par son propre père, Agamemnon. Il s’inspira des

s’empara de la Franche-Comté, jusque-là espagnole. Intérêt de l’action Avec ‘’Iphigénie’’, Racine revint aux sujets grecs et mythologiques qu'il avait délaissés depuis ‘’Andromaque’’ pour des tragédies historiques romaines (‘’Britannicus’’ et ‘’Bérénice’’) ou orientales (‘’Bajazet’’ et ‘’Mithridate’’). Il reprit l’un des épisodes les plus pathétiques et les mieux connus de la vie de la famille maudite des Atrides : celui du sacrifice d’Iphigénie par son propre père, Agamemnon. Il s’inspira des

Iphigénie ’’, Racine revint aux sujets grecs et mythologiques qu'il avait délaissés depuis ‘’ Andromaque ’’ pour des tragédies historiques romaines (‘’ Britannicus ’’ et ‘’ Bérénice ’’) ou orientales (‘’ Bajazet ’’ et ‘’ Mithridate ’’). Il reprit l’un des épisodes les plus pathétiques et les mieux connus de la vie de la famille maudite des Atrides : celui du sacrifice