Bêtise De La Guerre De Hugo

"Le plus lourd fardeau, c'est d'exister sans vivre." Victor Hugo Le monde de Sophie - Maman, tu ne trouves pas que c’est bizarre de vivre ? commença-t-elle Sa mère fut si ahurie qu’elle ne trouva rien à répondre. D’habitude, quand elle rentrait, Sophie était en train de faire ses devoirs. - Euh…commença-t-elle

celle du prolétaire, de l’artiste, du journaliste, du capitaliste, du boutiquier. Selon Annette Rosa et Isabelle Tournier (Balzac, Armand Colin, 1992), Victor Hugo montrera bien mieux l’antagonisme des forces en présence et leur puissance d’éclatement : « À l’image balzacienne du corps social dont tous les éléments sont rouages de l’ensemble, Hugo opposera celle de l’égout où tout se perd, et de la barricade où tout explose. » « Qui n’a pas admiré tes sombres paysages ? » C’est à Balzac que revient

monde » (Émile Zola). Dans ce roman, et dans ce personnage de courtisane, Zola a peint à la fois la corruption d'une femme, de la société où elle recrute ses amants, et d'un régime politique, le Second Empire, qui se rue avec insouciance vers la guerre et la débâcle. Sexualité, histoire et mythe vivent et meurent ensemble, dans un même souffle brutal. SDM Le comte Muffat, grand Chambellan de Napoléon III, est un homme de rigueur sans faille. Pourtant cet homme va succomber au charme de Nana

de la réalité sociale de son temps, il peint la diversité des caractères et des milieux. Il ne s’agit donc pas d’idéaliser le monde, mais bien de montrer l’humanité telle qu’elle est, sous ses aspects les plus sombres ou les plus enivrants. Victor Hugo, après avoir éclairé le romantisme de son génie, participe à l’éclat du réalisme grâce à des textes réquisitoires qui dénoncent la misère sociale de son temps, en particulier Les Misérables (1862). Gustave Courbet et Honoré Daumier, peintres de la

boutique -) qui crée la fêlure. D'où le choix entre le meurtre, ce que réalise Pierre, ou la passivité (Valentin Brû qui, dans Le Dimanche de la vie, subit la mercerie et l'encadrement décoratif en rêvant de la bataille d'Iena et en prophétisant la guerre). Elle peut avoir pour source le regard des autres, de façon plus ou moins traumatisante : le moi perçu de l'intérieur et le moi social sont par exemple sentis comme disjoints par Jacques l'Aumône dans Loin de Rueil, en rapport avec un problème

oubli de plaisir en plaisir de sanglots en découvertes de rires en sanglots de baisers en baisers de souvenirs en paroles nous allons doucement l’un vers l’autre Pour moi, le mot tendresse veut dire : qu’il n’y a plus de disputes qu’il n’y a plus de guerres qu’il n’y a plus de prises d’otages qu’il n’y a plus de viols qu’il n’y a plus de racisme qu’il n’y a plus d’injustices qu’il y ait plus d’amitié. La tendresse c’est mon regard émerveillé sur ce que tu me donnes, c’est ton regard ébloui sur ce que

romanciers du « moi ». Les auteurs décrivent des états d’âme dans des fictions fortement autobiographiques (ex. : René de Chateaubriand) - Ensuite, une autre tendance romantique : le roman à tendance historique (ex. : Notre-Dame de Paris de Victor Hugo où il recrée l’atmosphère du Moyen Age parisien) qui évoluera vers le roman d’aventures (ex. : Les trois mousquetaires d’Alexandre Dumas) - Dans la 2ème moitié du 19è S., la description de la société devient la grande préoccupation : c’est le

I) L’année terrible, un faux départ, agité 4 septembre 1870 Impératifs de « Défense nationale » Assemblée nationale monarchiste Guerre civile : la Commune A) La proclamation à l’épreuve La soudaine proclamation de la République Sous l’Empire : plébiscite triomphal du 8 mai 1870, « parti républicain » fort minoritaire et peu organisé. Milieu urbain révolutionnaire (étudiants,employés,intellos ) à Paris, idées de Blanqui, de Proudhon. Modérés : Jules Favre, Picard, Jules Simon. « Radicaux » :

âge d’or » de l’Angleterre sous l’impulsion des Tudor, notamment. - Après une période de guerre avec l’Espagne, l’Angleterre se dote d’une flotte importante pour vaincre l’Invincible Armada espagnole. Francis Drake fait le tour du monde (77-80) - L’Angleterre est marquée par une volonté d’expansion coloniale : le commerce prend de l’ampleur comme dans toute l’Europe. - Le contexte troublé né des guerres de religion trouve un écho en Angleterre, mais de manière atténuée. Henry VIII (1491-1547)

récession au moment du krach, alors qu’aujourd’hui nous sommes encore dans une période de croissance mondiale très forte, d’environ 4%. La deuxième raison qu’il indique c’est que les banques centrales bénéficient des enseignements de 1929 et les bêtises faites alors ne sont plus faites. A l’époque, elles avaient supprimé des liquidités, alors qu’elles en injectent aujourd’hui (la Fed a injecté 70 milliards de dollars et la BCE 70 milliards d’euros ndlr) - Autre réaction, de Mr. Lionel JOSPIN