C dans l'air

d’humidité dans l’air, cela veut dire que sur le 4% maximum, il y a 2% de l’air qui est constitué de vapeur d’eau. Nous pouvons mesurer cette humidité de l’air avec un hygromètre. Matériel : 2 Thermomètres Table psychrométrique Horloge (calculer le temps) De l’eau (100 ml) Un bécher Une mèche Support universel 2 Pinces universelles Manipulations : 1. Faire le schéma qui se situe à l’annexe 2. Remplir le bécher avec 100 ml d’eau 3. Prendre en note la température de l’air avec le thermomètre

L’aspect sanitaire a) Risques b) Solutions I) Le système du puits canadien a) Le principe de fonctionnement Le puits canadien est un système de climatisation de l’air qui utilise l’énergie géothermique, qui est l’énergie créée par l’inertie du sol, en France elle ne peut varier qu’entre 5 et 15°C à 2 mètres alors que l’air extérieur varie entre -20 et 40°C. Schéma de la température suivant la profondeur du sol pendant les mois extrêmes On remarque sur ce graphique que les températures

produisant seulement en présence d'O2. Le principal produit de ces déchets est le CO2 Les cellules ne sont jamais en contact avec l'air : nécessité d'étapes pour que l'O2 puisse rentrer dans l'organisme et dans les tissus. Ces étapes se trouvent dans le mécanisme de ventilation. • 1ère étape : mécanisme ventilatoire : renouvellement de l'air alvéolaire à partir de l'air atmosphérique : cela à des conséquences sur la physiologie. • 2ème étape : respiration externe : échange de gaz entre le

Ce sera seulement à la fin du XVIIIème siècle qu'un britannique comprend qu'il est inutile d'imiter le vol battu des oiseaux et que les ailes doivent être fixes. Dès lors, d'immenses découvertes ont été faites pour permettre aux "plus lourds que l'air" de s'envoler. Ce que nous avons souhaité à apprendre durant ce TPE, c'est comment une banalité comme le vol d'un avion a été rendue possible, jusqu'à permettre aujourd'hui de relier tous les points du globe. En effet, aujourd'hui la voie aérienne

plus grands rêves de l'humanité. Ce rêve a été réalisé par la création de deux types d'aéronefs: les "plus léger que l'air" qui volent grâce au principe d'Archimède, telles les montgolfières, et les "plus lourd que l'air". Notre étude sera centrée sur ces derniers, plus précisément sur les avions. Le problème posé par de tels aéronefs, est de faire voler un objet plus lourd que l'air. Comment fait-on pour faire voler un avion de plusieurs centaines de tonnes? C'est bien évidemment grâce à ses ailes

limiteur Sectionneur et disjoncteur Distributeur Contacteur ou interrupteur Vérin ou moteur Moteur Fonction Production - Adaptation Traitement de l'énergie Isolation et protection Commande de puissance Actionneur 1.1) La composition de l’air L’air est composé d’azote, de gaz rares et de gaz carbonique. Des particules ou impuretés s’ajoutent à cette composition. Ce sont principalement : -les poussières -la vapeur d’eau Elles sont nuisibles au bon fonctionnement des éléments d’un système

d’une fonction à l’aide de la calculatrice et on démontre la conjecture en utilisant la définition du maximum d’une fonction. La zone (l’aire ) de la baignade est un rectangle de longueur L et de largeur On a donc Ainsi la largeur de la zone de la baignade est . D’où l’aire, A, de la zone de la baignade en fonction de la largeur : et de contour 150 m Soit L’aire . de la zone de baignade est donc une fonction qui varie selon les valeurs de . Déterminons d’abord les valeurs possibles de . La

de l'aéronautique la structure de tout avion est sans cesse confronté à de nombreuses forces, ce qui necessite de faire de nombreuses révisions et des changements de pièces souvent utilisés. La traction est une force qui fait avancer l'avion en l'air ou au sol vers l'avant. Dans la plupart des cas ce sont le ou les moteurs qui s'occupent de cette tache. Cependant dans le cas des planeurs ou des montgolfières, c'est le vent qui déplace l'avion.  On dit que la traînée s'oppose à la traction car

Une fontaine, une cascade. Tout ceci réuni dans la même goutte d’eau ! De la végétation abondante, une jungle ! Tout à l’air d’avoir été recouvert d’émeraude ! Un petit étang à mes pieds. A ma droite, une plage. En face de moi la cascade qui se jette de toute sa grandeur dans une rivière. A ma gauche un soleil immense se couchant. A ma droite une lune levant. Ce coucher de soleil fait ressortir le vert de la forêt abondante. Derrière moi une autres îles, mais en plein centre de la mer un volcan

trajectoire du boomerang. Nous évoquerons donc une courte présentation du boomerang dans une première partie que nous introduirons par une courte explication sur le centre de gravité puis nous étudierons deux grands phénomènes physiques : la portance de l’air sur l’objet, la trainée. En plus nous évoquerons la force de la poussée et l'existence des différentes vitesses du boomerang. Ainsi que l’effet gyroscopique qu’il exerce. Ensuite nous argumenterons notre projet par quelques une de nos expériences.