CaCO3

directement préchauffée. 36 1ère étape : décarbonatation (dans le four pour une voie humide et en pied de tour pour une voie sèche) Le calcaire (CaCO3) est décomposé en oxyde de calcium (CaO) + gaz carbonique (CO2). Ce dernier est évacué à la cheminée. CaCO3 -------> CaO + CO2 T° env. 900 à 1000 °C (réaction fortement endothermique) Pour 1 tonne de CaCO3, on évacue à la cheminée 440 kg de CO2, du simple fait de la décarbonatation. 1ère combinaisons des différents oxydes Si +Ca et Al + Ca 37 2ème

lacustres d'Antsirabe Figure n°5 : système de pompage par émulsion Figure n°6 : réseau de répartition de R7 Figure n°7 : schéma montrant le réseau de distribution de R8 Liste des abréviations Ca2+ : calcium CaCO3 : carbonate de calcium ou calcaire Cl- : chlore CNCT : Centre National de Crénothérapie de Thermo-climatisme HCl : acide chloridrique HCO3- : carbonate d’hydrogène Km : kilomètre m : mètre mm: millimètre MA : million d’année N°:

dehors du H.F On ajoute du Na2CO3 à la fonte Na2CO3 Na2O + CO2 Na2O + Fe FeO + 2Na MnS ou [FeS] + 2Na Na2S + Mn ou [Fe] Na2CO3 +MnS Na2S +MnO + CO2 Na2S flotte à la surface de la fonte liquide et on lui ajoute CaCO3 en poudre pour faciliter sa séparation de la fonte. Pour des raisons économiques, puisque au H.F on aurait ajouté trop de CaO et le laitier serait ainsi très réfractaire et sa fusion nécessiterait de très grandes quantités de coke, on adopte la désulfuration

distribution sont encore en plomb, métal lourd qui peut donc se dissoudre dans l’eau. C’est pourquoi l’utilisation de tuyaux en plomb est aujourd’hui interdite. L’eau traverse dans la nature des sols géologiques contenant plus ou moins de calcaire (CaCO3) qui, en excès dans l’eau peut favoriser l’entartrage des canalisations. Le chlore est utilisé pour désinfecter l’eau mais à trop forte concentration (> 5mg/l), il devient polluant. Le pétrole déversé en mer constitue aussi une pollution importante

Ca2+ 0,361 HCO32- 0,140 + 0,361 Mg K 2- Si on évapore l'eau de mer, on pourrait concevoir, sur base des ions présents, de recueillir à l'état solide des substances pures telles que : NaCl, MgCl2, KCl, Na2SO4, MgSO4, CaCO3. À partir d’un mélange, il est ainsi possible d’obtenir diverses substances pures qui ont chacune des propriétés physico-chimiques bien définies. Une substance pure peut, selon les cas, correspondre à : - un corps simple4, c’est-à-dire constitué

carbonatation et la filtration : le jus est clarifié par épuration calcocarbonique, qui fait intervenir 2 produits complémentaires : la chaux vive (CaO) qui précipite les impuretés et le gaz carbonique (CO2), qui avec la chaux, reforme le carbonate de chaux (CaCO3, pierre calcaire), fixe les impuretés et les précipite. Le carbonate de chaux et les impuretés sont alors éliminés par filtration. Le jus à ce stade contient 12 à 13% de sucre. Le précipité, lui, est séché à l’air comprimée et est racheté par les

Cinorg est celui qui est associé à des composés inorganiques, c'est-à-dire des composés qui ne sont pas et n'ont pas été du vivant et qui ne contiennent pas de lien C-C ou C-H, comme par exemple le carbone du CO2 atmosphérique ou celui des calcaires CaCO3. Le cycle global du carbone La figure ci-dessous présente le cycle global du carbone et ses flux entre les quatre sphères "superficielles" de la Planète: lithosphère, hydrosphère, biosphère et atmosphère. Y est indiquée aussi la dimension des réservoirs

modér ément dans la dureté de l’eau. L'unité utilisée pour exprimer la dureté de l'eau est le degré hydrotimétrique français (°F) ou le Titre Hydrotimétrique (°THF) qui correspond à la dureté d'une solution contenant 10 mg/L de carbonate de calcium (CaCO3). Un °F équivaut à 4 mg de calcium par litre et à 2,4 mg de magnésium par litre. Le TH est inférieur à 10°F, l'eau est très douce et à tendance naturelle corrosive. De 10 à 20°F l’eau est douce. Dans ces 2 cas il ne faut surtout rien faire qui réduirait

utilisée soit directement pour la croissance des tissus du polype lui-même soit transférée aux polypes qui vont précipiter les ions Ca2+ avec les ions CO32- présent dans l’eau de mer. Cette précipitation donne des micro cristaux de carbonate de calcium CaCO3, le calcaire, qui vont être ajoutés au « calice » (squelette du corail). C’est cette succession de couches qui permet la croissance du corail hermatypique qui est plus rapide que celle des coraux ahermatypiques car grâce aux micro-algues il fabrique

simplifiée [H2CO3]* qui définit le CO2 total ou carbone minéral total (CMT) = CO2T =[H2CO3]*+[HCO3-]+[CO32-]. Notons également que ce gaz carbonique dissous est en équilibre dans l'eau avec le bicarbonate de calcium (Ca(HCO3)2 et le carbonate de calcium (CaCO3). Cet équilibre calco-carbonique dépend essentiellement de l'acidité (pH), de l'alcalinité et de la température de l'eau. A fortes doses, tout déséquilibre conduit soit à la dissolution du carbonate de calcium soit à l'entartrage décrit plus haut.