Camille Chautemps

favorable aux ligues qui traite l'affaire est renvoyé par Daladier. Deux ministres compromis démissionnent et le gouvernement tombe. Les ligues d'anciens combattants, appellent à manifester le 6 février 1934 , jour où Daladier qui remplace Camille Chautemps, doit présenter son nouveau gouvernement. La manifestation dégénère et provoque 16 morts et 1435 blessés. Cette journée ne peut être considéréé comme une tentative de coup d'état de la part de l'extrême-droite française puisque les ligues divisées

beau-frère du président du Conseil du moment, Camille Chautemps : les premiers numéros de l’A.F. du mois de janvier 34 fourmillent d’accusations et d’explications sur la vaste escroquerie mise en place par un certain Alexandre Stavisky, en fuite depuis Noël.   D’une banale affaire d’escroquerie, “l’Affaire Stavisky” devient un scandale politico-financier qui touche tous les milieux de la république, en particulier le parti radical et la franc-maçonnerie (Chautemps), à cette époque très présente dans la

survenue en janvier 1934, succédant au décès dans des circonstances mystérieuses d'Alexandre Stavisky, dit « le beau Sacha ». Ce scandale symbolisa la crise d'un régime instable soupçonné de corruption et contribua à la chute du gouvernement Camille Chautemps et au déclenchement des émeutes antiparlementaires du 6 février 1934. Les faits[modifier | modifier le code] Le 25 décembre 1933, sur ordre du sous-préfet Antelme, le directeur du Crédit municipal de Bayonne Gustave Tissier fut arrêté pour

revenus moyens ont subi une baisse de 40% ! Chacun à leur tours, les gouvernements ayant proposé des solutions innefficaces se sont vu remplacés par un suivant, traduisant d’une instabilité ministérielle. Du gouvernement Tardieu au gouvernement Chautemps, en passant par le gouvernement Daladier, tous n’ont contribué qu’à la propagation d’idées alternatives soutenues par des groupes d’extrême droite, comme le Parti populaire français de Jacques Doriot. Ces groupes, parfois proches des idées fascistes

et en reduisant le deficit public. 2. L’immobilisme de Chautemps et la tentation keynesienne de Blum achevent l’echec du Front populaire Gouvernements diriges par Camille Chautemps entre 1937 et mars 1938 sont resumes par « l’immobilisme ». Depart de Blum se traduit par un reequilibrage a droite surtout dans le domaine economique et social avec l’arrivee aux Finances de Georges Bonnet, un stabilisateur. Cedant Bonnet, Chautemps accepte l’augmentation des impots et diminue largement les credits

sont continuellement reportés à une date ultérieure. Il obtient jusqu’à dix-neuf renvoies successifs de son procès. De plus, il choisit comme avocat des personnes très proches du gouvernement : en janvier 1934, lorsque l’affaire éclate, c’est Camille Chautemps qui est à la tête du gouvernement, et l’avocat de Stavisky n’est autre que son beau frère. A partir de 1931, il prend le nom de Serge Alexandre et fonde un crédit municipal dans la ville de Bayonne, avec l’aide du député maire, il s’agit d’un

« pause » des réformes. Blum était de plus en plus détesté pour avoir refusé l'aide aux Espagnols en pleine guerre d'Espagne, de mener une économie qui allait toujours mal. 21 juin 1937: Leon Blum démissionne sous la pression. Il sera remplacé par Camille Chautemps, homme politique français, qui créera entrôtre la SNCF. 13 mars 1938: Retour de Blum à la tête du gouvernement. 8 avril: Renversé par le Parlement ( Sénat ) , il laissera sa place à Edouard Daladier ce qui signera la défaite définitive du Front

le soutien des communistes et d’une partie des ouvriers. Démission de Blum en juin 1937 (le SFIO perd la majorité) remplacé par Camille Chautemps (radical), qui devient président du conseil. Le Front populaire est fragilisé. Chautemps se heurte à de nouvelles grèves et terrorisme de l’extrême droite ( La Cagoule) et des anarchistes. Le gouvernement Chautemps tombe. Rappel de Blum par le président de la république Albert Lebrun. Retour de Blum en mars-avril 1938. Il souhaite mieux contrôler

formé le 4 juin 1936, en plein vague de grèves. Ne représente que partiellement la majorité sortie des urnes: soutien sans participation du PCF (volonté de ne pas se compromettre). Gouvernement de socialistes et radicaux. 3 ministres d'Etat: Camille Chautemps (PR), Maurice Viollette (Républicain-socialiste), Paul Faure (SFIO). A la SFIO les grands ministères économiques et sociaux; l'Intérieur au socialiste Roger Salengro; Daladier à la défense nationale. 3 Femmes: Cf. Irène Joliot-Curie (recherche

un gouvernement à direction radicale dirigé par Camille Chautemps du 22 juin 1937 au 14 janvier 1938.En janvier 1938, Chautemps déclare son hostilité face aux communistes et les socialistes se retirent au gouvernement donc chute du gouvernement. Mais le 18 janvier, intervient le deuxième gouvernement Chautemps (il se succède a lui-même), celui-ci encore plus dominé par les radicaux. La situation financière étant de plus en plus alarmante, Chautemps démissionne le 9 mars 1938.Blum fut charger du nouveau