Camille Etait Ignoble

Les émotions que j'ai ressenties en lisant ce livre sont l'ennui et les limites de ne pouvoir faire autre chose que d'analyser notre environnement. J’ai pensé que le roman de Thérèse Raquin était un peu long et sinistre à la fin mais c’était plutôt un bon roman dans l’ensemble.Le passage que j’ai aimé dans ce livre c’est quand Thérèse et Laurent ont enfin eu une liaison. Le moment que j’ai moins apprécié c’était

La première apparition du personnage est caractéristique : « Il était petit, chétif, d'allure languissante, les cheveux d'un blond fade, la barbe rare, le visage couvert de taches de rousseur, il ressemblait à un enfant malade et gâté » (ch. I). Chacun de ces traits est à prendre comme une lacune dans l'ordre de la masculinité idéale. L'allure maladive implique l'effacement du corps et l'altération de la fonction sexuelle, les cheveux blonds, les taches de rousseur et l'absence de pilosité maintiennent

écartée. L’ŒUVRE Publié en 1867, Thérèse Raquin est le premier grand roman à succès de Zola. Il y expérimente sa théorie naturaliste et raconte comment Thérèse et son amant Laurent sont conduits par le déterminisme de leur corps au crime de Camille. Le roman montre l’effroi, la souffrance et la haine qui suivent le meurtre et mènent inexorablement au suicide des deux amants criminels. C’est un roman nouveau qui rompt avec la tradition littéraire de la morale, de la psychologie et des héros

s’installer à Paris, Mme Raquin,vivait paisiblement à Vernon, avec son fils Camille et sa nièce Thérèse ; celle-ci est une orpheline, recueillie à l’âge de deux ans par sa tante ; Thérèse, née à Oran, a donc peu connu ses parents. Les deux cousins grandissent ensemble ; de santé fragile, malingre et souffreteux, Camille mène une vie monotone et terne, couvé par sa mère qui craint toujours de le perdre. Thérèse épouse Camille lorsqu’elle atteint vingt et un ans, selon les vœux de sa tante. Chapitre

dépassent ? I/ Un personnage déterminé par son tempérament a) Les regrets : Thérèse envisage ce qu’elle aurait pu être. - Discours de Thérèse à la P1 mais discours déterminé par une instance extérieure : « on m’a dit que ma mère était fille d’un chef de tribu, en Afrique » - Thérèse se reconnait dans cette hérédité : « J’ai compris que je lui appartenais par le sang et les instincts ». - Regrets, désirs irréalisables : irréels du passé « j’aurais préféré », « j’aurais

1867 7 5.1.2. Le fantastique dans la littérature 7 5.1.3. Pourquoi au 19ème ? 7 6. Le fantastique 8 6.1. Comment se fait son intrusion. ? 8 6.1.1. Le portrait et la cicatrice (Chap.6 et 11) 8 6.2. Chapitre 6, page 51 8 6.2.1. Le portrait de Camille : quels sont les termes qui le définissent ? Qu’en dire ? 8 6.3. Chapitre 11 8 6.4. Chapitre 13 8 6.4.1. Comment la construction du récit permet-elle au fantastique de se mettre en place ? 8 6.4.1.1. Passage 1 8 6.4.1.2. Passage 2 9 6.4.1.3

L’histoire de Thérèse épousant le faible Camille, puis qui rencontre le vigoureux Laurent, doit être lue comme une sorte d’expérience médicale. 2-la mise en valeur Zola compare la vie sociale à la vie organique, il a « choisi des personnages souverainement dominés par leurs nerfs et leur sang […] fatalités de leur chair » et a développé à travers 4 personnages, 4 tempéraments différents, Laurent et Thérèse représentant les tempéraments sanguin et nerveux, Camille le maladif et Madame Raquin la molle

L’histoire de Thérèse épousant le faible Camille, puis qui rencontre le vigoureux Laurent, doit être lue comme une sorte d’expérience médicale. 2-la mise en valeur Zola compare la vie sociale à la vie organique, il a « choisi des personnages souverainement dominés par leurs nerfs et leur sang […] fatalités de leur chair » et a développé à travers 4 personnages, 4 tempéraments différents, Laurent et Thérèse représentant les tempéraments sanguin et nerveux, Camille le maladif et Madame Raquin la molle

immobile, la tête un peu renversée, attendait. » Quand Laurent a serré la gorge de Camille qui a commencé à crier au secours, « la jeune femme regardait, se tenant des deux mains à un banc du canot qui craquait et dansait sur la rivière. Elle ne pouvait fermer les yeux ; une effrayante contraction les tenait grands ouverts, fixés sur le spectacle horrible de la lutte. Elle était rigide, muette. » Après le dernier appel de Camille, « Thérèse éclata en sanglots. Ses nerfs se détendaient. La crise qu’elle redoutait

d’égoutier littéraire, eux dont les yeux exercés devraient reconnaître en dix pages les intentions d’un romancier, et je me contente de les supplier humblement de vouloir bien à l’avenir me voir tel que je suis et me discuter pour ce que je suis. Il était facile, cependant, de comprendre Thérèse Raquin, de se placer sur le terrain de l’observation et de l’analyse, de me montrer mes fautes véritables, sans aller ramasser une poignée de boue et me la jeter à la face au nom de la morale. Cela demandait