Camille Etait Ignoble

d’égoutier littéraire, eux dont les yeux exercés devraient reconnaître en dix pages les intentions d’un romancier, et je me contente de les supplier humblement de vouloir bien à l’avenir me voir tel que je suis et me discuter pour ce que je suis. Il était facile, cependant, de comprendre Thérèse Raquin, de se placer sur le terrain de l’observation et de l’analyse, de me montrer mes fautes véritables, sans aller ramasser une poignée de boue et me la jeter à la face au nom de la morale. Cela demandait

« Thérèse Raquin » en « caractères rouges » → on attendrait « Veuve Raquin ». Mais en reprenant le nom du personnage éponyme et en l’associant au rouge → met l’accent sur l’héroïne et son caractère passionné. IIè axe : Un travail de peintre : Zola était ami des peintres impressionnistes et il cherche à rivaliser avec eux. Ce texte comporte trois tableaux : ce sont des « clairs obscurs ». Le premier tableau (premier paragraphe) = scène extérieure la nuit. Plusieurs personnages sont esquissés en quelques

« Thérèse Raquin » en « caractères rouges » → on attendrait « Veuve Raquin ». Mais en reprenant le nom du personnage éponyme et en l’associant au rouge → met l’accent sur l’héroïne et son caractère passionné. IIè axe : Un travail de peintre : Zola était ami des peintres impressionnistes et il cherche à rivaliser avec eux. Ce texte comporte trois tableaux : ce sont des « clairs obscurs ». Le premier tableau (premier paragraphe) = scène extérieure la nuit. Plusieurs personnages sont esquissés en quelques

jusque là. - les frissons qu’elle ressent face à Laurent. Cependant Laurent a reconnu depuis le début de la rencontre la femme de Camille et se souvient de Thérèse étant petite. A la fin de la soirée, Laurent trouve un prétexte pour revenir à la mercerie qui pour lui est un endroit- bien confortable et qui ne coûte rien : il décide de faire le portrait de Camille ayant quelques expériences en tant que peintre. Cette décision amène aux prochaines rencontres. 1.2. Les rencontres suivantes (à

qui est donc une Curiace et les fiançailles de Curiace et Camille qui elle est donc une Horace, ils donc amis et beaux-frères. Néanmoins, ils s’affrontent vaillamment, deux Horaces moururent mais n’étaient pas mort en vain, car les 3 Curiaces étaient blessés, c’est alors que l’unique survivant chez les Horaces tua successivement tous ses assaillants et donna la Victoire à Rome. Nous étudierons dans la scène V, de l’acte IV où Camille qui était la soeur de l’Horace vainqueur mais aussi la femme du Curiace

de Thérèse épousant le faible Camille, puis qui rencontre le vigoureux Laurent, doit être lue comme une sorte d’expérience médicale. 2-la mise en valeur Zola compare la vie sociale à la vie organique, il a « choisi des personnages souverainement dominés par leurs nerfs et leur sang […] fatalités de leur chair » et a développé à travers 4 personnages, 4 tempéraments différents, Laurent et Thérèse représentant les tempéraments sanguin et nerveux, Camille le maladif et Madame Raquin la

d’égoutier littéraire, eux dont les yeux exercés devraient reconnaître en dix pages les intentions d’un romancier, et je me contente de les supplier humblement de vouloir bien à l’avenir me voir tel que je suis et me discuter pour ce que je suis. Il était facile, cependant, de comprendre Thérèse Raquin, de se placer sur le terrain de l’observation et de l’analyse, de me montrer mes fautes véritables, sans aller ramasser une poignée de boue et me la jeter à la face au nom de la morale. Cela demandait

Qu'est ce que emile zola a voulu nous montrer par ce passage descriptif En premiere patie nous allons voir tous les elements qui serapporte a un tableau morbide en deusieme partie nous allons observé que c'est une description reel et ireel Camille était ignoble. Il avait séjourné quinze jours dans l’eau. Sa face paraissait encore ferme et rigide ;les traits s’étaient conservés, la peau avait seulement pris une teinte jaunâtre et boueuse. La tête, maigre, osseuse, légèrement tuméfiée, grimaçait ; elle

brûle les rues, une clarté blanchâtre tombe des vitres sales et traîne misérablement dans le passage. Par les vilains jours d'hiver, par les matinées de brouillard, les vitres ne jettent que de la nuit sur les dalles gluantes, de la nuit salie et ignoble. A gauche, se creusent des boutiques obscures, basses, écrasées, laissant échapper des souffles froids de caveau. Il y a là des bouquinistes, des marchands de jouets d'enfants, des cartonniers, dont les étalages gris de poussière dorment vaguement

d’égoutier littéraire, eux dont les yeux exercés devraient reconnaître en dix pages les intentions d’un romancier, et je me contente de les supplier humblement de vouloir bien à l’avenir me voir tel que je suis et me discuter pour ce que je suis. Il était facile, cependant, de comprendre Thérèse Raquin, de se placer sur le terrain de l’observation et de l’analyse, de me montrer mes fautes véritables, sans aller ramasser une poignée de boue et me la jeter à la face au nom de la morale. Cela demandait