Candide Jardin Quête Du Bonheur

révélateur de sa personnalité complexe. Ce dialogue à l’allure enfantine, dans lequel il s’invente un personnage est révélateur de sa mythomanie. Question : en quoi la scène révéle-t-elle II) Lecture analytique I. Un scène de dialogue à la dimension candide et puérile a) Un désir d’information typique d’une rencontre enfantine - Le dialogue correspond tout à fait à une conversation entre deux enfants qui se rencontrent : Comment t’appelles-tu ? Et toi ? (1-2)= prise de contact entre deux enfants (tutoiement

il accourait avec l’agilité d’un singe et la soumission d’un chien. » Extrait N°2 : Han d’Islande Han d’Islande, écrit par Hugo à l’âge de 20 ans, est aussi un roman qui se rattache au genre du roman noir. C’est une caricature du roman de la quête chevaleresque. L’action se déroule dans un royaume scandinave terrorisé par un être bestial, Han, qui vit seul et qui se repaît de sang humain. Figure mythique du roman, il n’en est cependant pas le personnage principal. Dans ce roman, nous retrouvons

grands oiseaux, posés un instant avant de reprendre leur vol. “Mon vénéré Maître Lang-Ho m’emmena un jour visiter cette contrée privilégiée et, tout en admirant la joliesse du paysage, je ne pouvais m’empêcher de témoigner ma surprise : “Dans les jardins s’étendant autour des maisonnettes, des amarillys ouvraient leurs calices somptueux, du sein desquels s’élançaient leurs pistils chargés de pollen, comme de longs cils de femme, alourdis de fards ; dans les parterres, s’ouvraient des roses, mièvres

l'heure, en pénétrant dans la chambre, que de s'asseoir au bord du lit et d'entraîner Bernard d'étape en étape jusqu'au point où il arrêtera Thérèse : __ << Je comprends maintenant ; lève- toi ; sois pardonnée. >>. Elle traversa à tâtons le jardin du chef de gare, sentit des chrysanthèmes sans les voir. Personne dans le compartiment de première, où d'ailleurs le lumignon n'eût pas suffi à éclairer son visage. Impossible de lire : mais quel récit n'eût paru fade à Thérèse, au prix de sa vie

trop longue aussi, et sans molles inflexions de lignes sur les contours. Ce qu’elle avait de beau, c’étaient les yeux ; quoiqu’ils fussent bruns, ils semblaient noirs à cause des cils, et son regard arrivait franchement à vous avec une hardiesse candide. Une fois le pansement fait, le médecin fut invité, par M. Rouault luimême, à prendre un morceau avant de partir. Charles descendit dans la salle, au rez-de-chaussée. Deux couverts, avec des timbales d’argent, y étaient mis sur une petite table, au

de ceux qui sont portés vers les rêves de reconnaissance : «  Les articles qui devaient rendre compte de l’ouvrage se firent attendre et finalement ne vinrent jamais ».( l 10 et 11). Puis, l’auteur met en relief dans l’échec de son personnage en quête de reconnaissance, le rôle des médias. Le début de roman est quelque peu dramatique ( sens étym : action) car le temps semble comme arrêté. L’emploi de l’adverbe de temps «  jamais » résonne comme un couperet. Le narrateur poursuit sa confession douloureuse

Rencontre d’Hussonnet (qui fabrique des réclames pour l’Art Industriel) lors d’une manifestation en décembre. Incarcération de Dussardier. Après midi passée chez Arnoux grâce à Hussonnet, où il rencontre de nombreux artistes dont M. Pellerin, homme en quète d’accomplissement et Regimbart («le Citoyen »), républicain. + présence de Mlle Vatnaz (aperçue au théâtre). Arrivée de son ami Deslauriers à Paris. Le même jour, est invité à diner chez les Arnoux. A la fin de la soirée, va se promener et décide qu’il

de Suzanne, et le mari jaloux enjoint à celle-ci, évidemment sans succès, de se montrer; puis il sort avec la Comtesse tremblante pour chercher de quoi forcer la serrure, non sans avoir au préalable fermé à double tour la chambre — où Suzanne, par bonheur, a pu se cacher. Elle ouvre donc à Chérubin, qui saute par la fenêtre, et elle prend sa place. Retour du Comte et de la Comtesse, qui finit par tout avouer et par donner au Comte la clé du cabinet. Stupeur: «C’est Suzanne!» Le Comte, penaud, implore

d’autres) d’une contemplation ou d’une rêverie occasionnelle, la mer ici devient la référence permanente, essentielle, quasi obsessionnelle. Vivre, quand ce n’est pas ou quand ce n’est plus naviguer, c’est encore imaginer des bateaux, imaginer le bonheur de la navigation, et même s’imaginer soi-même toujours en attente ou sur le point de s’embarquer et de naviguer : « J’ai le temps d’imaginer un trois-mâts, filant grand largue sur la route des Indes. » (M, 77) « Il faut toujours reprendre

Nusch : « Vingt huit novembre mil neuf cent quarantesix Nous ne vieillirons pas ensemble. Voici le jour En trop : le temps déborde. Mon amour si léger prend le poids d'un supplice. Toi que j'aime à jamais toi qui m'as inventé Tu chantais en rêvant le bonheur sur la terre Tu rêvais d'être libre et je te continue. » Une réflexion sur le langage, écrire pour libérer la vie    le langage peut être un « but », une lumière contre la souffrance « J'ai la beauté facile et c'est heureux » (Capitale de