Canon alexandrin

Chaque artiste est un « phare » qui a mis son grain de sel dans la floraison de l’humanité. De plus, le poète met en relief la multiplicité des œuvres d’art qui se rejoignent dans une unité profonde. « Les phares » est constitué d’onze quatrains en alexandrins à rimes croisées (ABAB). Quant à la structure interne, il est important de remarquer que Baudelaire analyse huit peintres dans les huit premières strophes et il expose les particularités d’une œuvre d’art et la fonction de l’artiste dans les trois

: Victor Hugo insiste beaucoup sur les didascalies. Elle pousse des cris : toute une série d’exclamations : aspect pathétique de l’héroïne ayant pour but de susciter la compassion. IILe cid Corneille varie les vers : 1erv  octosyllabe, 2emev alexandrin hexasyllabe décasyllabe = changer le rythme Le débat entre l’amour et l’honneur Cœur : 2 significations : -lieu du débat et courage Mariage ne peut que se faire si les 2 parties sont d’acc ! Monologue délibératif de r • Le jeu des oppositions

Commentaire, Du Bellay, Las ! Ou est maintenant. Joachim du Bellay était un poète humaniste du 16eme siècle, membre de la Pléïade. Les Regrets, recueil des poèmes de Joachim du Bellay, paraît en 1558. Les Regrets sont composés de 191 sonnets en alexandrin, composés quelques temps après le retour d’un séjour de plusieurs années à Rome qu’a plutôt mal vécu Du Bellay. Après avoir déploré la chute de l’empire romain qu’il croyait grandiose, Du Bellay revient à lui-même pour déplorer une autre chute

est cependant très présent Conclusion : On a donc vu que ce texte est un poème, plus précisément un sonnet, forme fixe très appréciée des écrivains de la Renaissance et qui respecte ces régularités : deux quatrains et deux tercets, des vers, alexandrins ou décasyllabes, et des rimes, croisées et embrassées. Il évoque son village natal, sa région et rend compte de son voyage en Italie. Du Bellay exprime dans ce sonnet toute sa nostalgie du pays natal. Il oppose à la rime la terre de ses « ayeux

dénoncer - De nombreux vers sont des alexandrins au premier abord. Cependant, en y regardant de plus près, ils ne le sont pas et créent une fausse harmonie : - « Kabyles de la Chapelle et des quais de Javel » : rythme binaire + allitération en « l ». Perfection rythmique avec l’alexandrin et la coupure à l’hémistiche qui illustre l’harmonie contenue dans l’évocation de cette mixité culturelle. MAIS il y a le « e » muet à ce n’est pas un alexandrin. - « soleils adolescents de la porte d’Italie

l'un a coté de l'autre). ♫ Les formes de poèmes: plates ou suivies : aabb croisées ou alternées : abab embrassées : abba La régularité de la longueur des vers ou leurs irrégularité: octosyllabe «8 syllabes», décasyllabe «10 syllabes», alexandrin «12 syllabes». Le groupement des vers en strophe: distique «2 vers», tercet «3 vers», quatrain «4 vers», sizain «6 vers»

insiste une fois de plus sur le côté irrémédiable, résigné, de cette perte. La disparition du plaisir poétique est suggérée par l’image insolite du dernier vers qui contraste avec le vers 8. Le rythme 4+2/4+2 donne une certaine noblesse à cet alexandrin qui clôt le sonnet en mettant en avant le rythme binaire des termes « de moi » et « s’enfuient ». Ainsi Du Bellay semble traduire son désenchantement et sa mélancolie. Joachim du Bellay, Les regrets, 1558, « Las, où est maintenant… » CONCLUSION

» dans chacune de leurs répliques. 2- Une association avec le juge -Juge qui rime avec gruge = le juge ne remplit pas ses fonctions met s’empare de la fortune. Caricature par son nom, parce qu’il est pédant. Ton de président + alexandrins -Attitude qui conduit à la morale = il s’adresse directement au lecteur avec le pluriel généralisant La justice coûte plus qu’elle ne rapporte. La Fontaine remet en cause les institutions du 17ème siècle. L’apologue réussit à montrer que « l’apparence

faazzfzzazafzzffzfzfzfpoètes français pour les vers pairs. Il faudra pourtant retenir l’exemple de Verlaine qui conseille le vers impair danzas son recszuefil Jadis et Nzafzagzuère : De la musique avant toute chose / Et pour cela préfère l’Impair / Plus vague et plus solublzae dans l’air /zs Sans rien en lui qufi zaazapèse ou qui pose. fzaazzaffaz 6. Le vers zfazalibre azfzazazaffza zafLzae verfzfazafsfzaazfz zaflibre est azfune création des poètes symbolistes qui date de la fin du XIXe siècle

et infini de ce voyage. Refus des contraintes poétiques même s'il s'agit d'un sonnet mais beaucoup de liberté par prosodie classique > ton de fantaisie. Mélange de registres lexicaux : "culotte" opposé à "idéal".Beaucoup de ruptures dans les alexandrins + enjambements, rejets. "Oh! là! là!" > amusement de Rimbaud