Cantique des créatures

début du "Da Vinci Code", dans quel musée parisien le conservateur est-il assassiné ? Le Louvre Aux échecs, lorsqu'on met définitivement le roi de son adversaire en prise, on dit : "Échec et... Mat Selon la croyance populaire, en quelle créature fantastique se transforme un lycanthrope ? En loup-garou 112 Questions Réponses Quelle princesse d'un conte des frères Grimm est l'héroïne d'un film d'animation de Disney, en 2010 ? Raiponce Quel est le prénom du peintre et lithographe

qui se retint et regarda sa nouvelle amie s'éloigner en compagnie de la Supérieure Elle aurait voulu que la petite sœur, au nom si doux, la. quittât jamais et restât auprès d'elle pendant tout son séjour à Makogaï; elle savait qu'en compagnie d'une créature pareille, l'île des lépreux pouvait presque faire figure d'île enchantée... — Sœur Marie-Ange incarne ce que j'ai vu de plus pur à Makogaî, lui confia le Père Rivain. Faites-en votre amie et vous passerez mieux les heures difficiles. En pénétrant

entretenaient-ils avec Dieu des rapports de crainte et de contrition ? De la Bible, que Van Eyck lui lisait souvent, Jan avait surtout retenu que Dieu avait fait l’homme à son image. Il en avait déduit que le créateur devait être aussi fragile que ses créatures. Pourtant, la vision qu’on n’avait eu de cesse de lui inculquer était celle d’un Dieu vengeur. Où était la vérité ? La religion était un mystère qui échappait à la compréhension d’un enfant. Mais c’était peut-être le diable qui soufflait à Jan ces

elle est maigre et assez gracieuse, elle est femme. Ma tante Rosalie, son aînée, est énorme, un peu voûtée ; elle a l'air d'un chantre ; elle ressemble au père Jauchard, le boulanger, qui entonne les vêpres le dimanche et qui commence les cantiques quand on fait le Chemin de la croix. Elle est l'homme dans son ménage ; son mari, mon oncle Jean, ne compte pas : il se contente de gratter une petite verrue qui joue le grain de beauté dans son visage fripé, tiré, ridé. - J'ai remarqué, depuis

brun : elle est maigre et assez gracieuse, elle est femme. Ma tante Rosalie, son aînée, est énorme, un peu voûtée ; elle a l’air d’un chantre ; elle ressemble au père Jauchard, le boulanger, qui entonne les vêpres le dimanche et qui commence les cantiques quand on fait le Chemin de la croix. Elle est l’homme dans son ménage ; son mari, mon oncle Jean, ne compte pas : il se contente de gratter une petite verrue qui joue le grain de beauté dans son visage fripé, tiré, ridé. – J’ai remarqué, depuis,

195 ; – Fourcade : « Cache-toi objet », p. 237. • Un groupement sur « la femme dans le poème » : – Malherbe : « Sonnet à Caliste », p. 194 ; – Baudelaire : « L’Invitation au voyage », p. 208 ; – Apollinaire : « Poèmes à Lou », p. 220 ; – Aragon : « Cantique à Elsa », p. 247 ; – Senghor : « Il a plu… », p. 234 ; – Bonnefoy : « Le Myrte », p. 235. 2. Une séquence construite autour d’un recueil et d’une forme ou d’un registre Dans ce cas, il peut paraître souhaitable de débuter la séquence par la sensibilisation

vous disputez−vous la gloire A qui m'effacera plus tôt de sa mémoire ? Vous l'ai−je confié pour en faire un ingrat, Pour être, sous son nom, les maîtres de l'Etat ? Certes, plus je médite, et moins je me figure Que vous m'osiez compter pour votre créature, Vous, dont j'ai pu laisser vieillir l'ambition Dans les honneurs obscurs de quelque légion, Et moi qui sur le trône ai suivi mes ancêtres, Moi, fille, femme, soeur et mère de vos maîtres ! Que prétendez−vous donc ? Pensez−vous que ma voix Ait fait

divinité qui pénètre les choses, ce sont les choses elles-mêmes qui sont réellement la divinité. Une âme divine, répandue partout, dans ce monde, se divise en une infinité d’âmes également divines, réparties de tous côtés entre la diversité des créatures, si bien que les vertus, les passions les plus abstraites de l’homme ont aussi ce privilège d’être empreintes d’une marque surnaturelle, de porter le sceau divin, et de revêtir, avec une physionomie particulière, les insignes et les attributs de

divinité qui pénètre les choses, ce sont les choses elles-mêmes qui sont réellement la divinité. Une âme divine, répandue partout, dans ce monde, se divise en une infinité d’âmes également divines, réparties de tous côtés entre la diversité des créatures, si bien que les vertus, les passions les plus abstraites de l’homme ont aussi ce privilège d’être empreintes d’une marque surnaturelle, de porter le sceau divin, et de revêtir, avec une physionomie particulière, les insignes et les attributs de

D’autres compagnons amènent un autre esprit et barrent pour leurs frères la voie de l’expérience. Notre Evangile, c’est-à-dire l’Evangile de Dieu, celui qui est éternel, est un Evangile neuf par rapport à celui de l’église. « Chantez à l’Eternel un cantique nouveau. » Nous commençons notre œuvre là où Jésus se tient, là où il demeure. Il vient au-devant des hommes en tant qu’homme. C’est ce Jésus-là que nous représentons, c’est Lui que tu dois représenter. Il faut que Jésus soit en toi et qu’on le rencontre